Si ta mère ne t'aime pas. Et si ma mère ne m'aime pas ? Difficultés à défendre ses propres limites

Pas souvent et pas tout le monde viendra avec l'idée qu'une mère peut ne pas aimer son propre enfant. Beaucoup plus souvent, l'amour maternel est présenté comme quelque chose qui n'est soumis à aucune condition, quelque chose d'absolu et même de divin. Beaucoup pensent que l'amour maternel est le même pour toutes les femmes, qu'une mère non seulement comprendra et soutiendra n'importe lequel de ses enfants, mais pardonnera également le crime le plus grave. Il semble qu'il n'y ait rien de plus fort que l'amour d'une mère. Cependant, ce n'est pas toujours vrai, et toutes les mères n'aiment pas leurs enfants de la même manière.\r\n\r\nToutes les idées sociales sur la vie et les gens ont toujours été basées sur l'amour maternel, et sinon sur la chance maternelle Ne pas aimer. Habituellement, les conflits entre mères et enfants surviennent parce que les enfants ne sont pas d'accord avec la façon dont leur propre mère les aime. À leur tour, les mères ne sont pas toujours en mesure d'évaluer correctement le degré et la qualité de leur amour pour les enfants.\r\n\r\nAu fil du temps, les filles adultes souffrent également d'inconfort et d'un manque d'amour et d'attention maternels. Parfois, cela affecte leur destin futur et la façon dont ils construisent leurs relations avec les gens qui les entourent. Les mères critiques peuvent passer toute leur vie d'adulte à s'en prendre à leurs enfants, le plus souvent à leurs filles. Ils essaient d'élever des enfants adultes qui ont déjà eux-mêmes des enfants. Et puis ces mêmes mères se plaignent du peu d'attention que leurs enfants leur accordent.\r\n\r\n \r\n

\r\nLa chose la plus paradoxale dans une telle situation est que les filles de telles mères essaient jusqu'au bout d'obtenir l'approbation du parent, de voir un sourire sur leur visage et, peut-être, d'entendre des paroles de louange de leur part. Mais ces mères ne changeront pas. Malheureusement, ce fait peut être difficile à comprendre et à accepter, même si c'est le seul moyen de sortir du cercle vicieux.\r\n\r\n

\r\n\r\nLes psychologues recommandent d'accepter la situation et d'accepter comme un fait le fait que la mère n'aime pas. Si vous acceptez cela, la vie deviendra beaucoup plus facile. Il sera possible de construire sa propre vie sans tenir compte de l'avis de la mère. De plus, dans une telle situation, il ne faut pas être en inimitié avec le parent, les mères vivent assez paisiblement sous le même toit avec leurs enfants, qu'elles n'aiment pas, mais ne nient pas leur existence. C'est juste que leur communication se déroule à un niveau légèrement différent. Ils peuvent se respecter en tant qu'individus, mais en même temps ne pas envahir l'espace personnel. La principale chose à retenir est que la mère ne changera pas. Par conséquent, il vaut mieux laisser tomber la situation et vivre votre vie où vous pouvez avoir un mari et des enfants aimants.

Une mère qui n'aime pas son enfant... Un des sujets les plus tabous, et pour les deux faces de ce drame. De telles situations ne sont plus un secret pour les personnes de toutes les professions d'aide.

Il est difficile pour une mère de s'avouer qu'elle n'aime pas un enfant, il est difficile de voir pour une raison ou une autre la rareté de sa ressource et de demander de l'aide, et pour une fille qui a connu l'enfance dans une telle famille, il est difficile de voir la réalité non déformée par l'aversion.

Cet article parle justement de l'importance d'avoir le droit de parler d'une telle blessure - pas pour blâmer quelqu'un, mais seulement pour que la douleur ne reste pas dans un silence empoisonné, pour avoir le droit de dire "non, ce n'est pas avec moi tout ne va pas bien, je viens de vivre une expérience très difficile."

Et c'est d'autant plus difficile d'en parler quand, de l'extérieur, pour les autres, la famille paraissait tout à fait normale, voire idéale, et quand le « dégoût » n'est pas une enfance affamée et battue.

"Quand je raconte aux gens mon enfance, et qu'ils disent que je n'ai rien à redire, je dis toujours : si seulement on pouvait voir à travers l'épaisseur impénétrable des murs familiaux..."

Deux choses que j'entends tout le temps des lecteurs quand j'écris sur les mères toxiques. Le tout premier - "Je pensais que j'étais le seul" et dans ces mots toute la solitude d'un enfant mal aimé. La seconde - "Je n'en ai jamais parlé à personne, parce que j'avais peur que personne ne me croie, et même s'ils le faisaient, ils penseraient que c'était de ma faute."

La règle du silence, comme je l'appelle, fait partie du problème des filles mal-aimées, car discuter du comportement maternel est tabou. L'ironie est que ces mères - qu'elles aient des traits narcissiques, qu'elles fassent preuve d'un contrôle excessif, qu'elles soient émotionnellement indisponibles ou qu'elles soient trop conflictuelles - se soucient beaucoup de ce que les autres pensent.

La confusion émotionnelle et la douleur de la fille sont exacerbées par la différence que l'on peut observer entre la façon dont la mère traite sa fille en public et lorsqu'elle est seule.

La réalité est que la plupart de ces mères semblent merveilleuses pour les autres. Même si elles ne sont pas riches, ces mères peuvent avoir l'image d'une femme au foyer idéale, dont les enfants sont habillés et nourris. Souvent, ils participent à diverses réunions locales, à des initiatives caritatives - l'image publique est très importante pour eux.

"Ma mère, toute mon enfance, a dévalorisé ma réussite scolaire en disant que, eh bien, au moins quelque chose devrait marcher pour moi, sinon je suis tellement effrayant et gros. Elle me faisait me sentir mal tous les jours. Imaginez ma surprise quand j'ai découvert en tant qu'adulte qu'elle se vanterait de mon succès auprès des autres parce que cela faisait d'elle une mère prospère aux yeux des autres. C'était la goutte qui a fait déborder le vase. Juste de l'hypocrisie classique.

Se cacher de la vue directe

Parfois des parents éloignés sont au courant de ce qui se passe dans la famille, mais cela leur est servi avec de la sauce, notre fille est une enfant tellement "difficile", "capricieuse", "trop ​​sensible" ou "qu'il faut qu'elle reste à l'intérieur", "elle a besoin de rigueur" - cela justifie une attitude spécifique envers l'enfant, sinon les gens se poseraient des questions.

Mais le plus souvent le véritable état des choses, ce "secret", reste au sein de la famille. Lorsque tous les parents et connaissances éloignés se réunissent, de tels rassemblements sont organisés par la mère, entre autres, pour entretenir son image de femme aimante, attentionnée et familiale.

Parfois, les pères sont directement impliqués dans cette relation mère-fille négative, mais le plus souvent, ils ne le sont pas. Ils peuvent fermer les yeux sur le comportement du conjoint ou accepter ses explications parce qu'ils croyaient en leur idée « je sais comment élever des enfants, c'est une affaire de femme ». Dans certaines familles, le père trouve un moyen de subvenir aux besoins de sa fille, même si ce n'est pas ouvertement :

"Mon père ne voulait pas entrer directement en conflit avec ma mère et devenir la cible de son agression. Mais il a montré son amour et son soutien imperceptiblement, pas aussi ouvertement que je le voudrais, mais j'ai néanmoins ressenti sa protection. la douleur que l'attitude de ma mère m'a causé, mais la vérité était plus facile.

Dans d'autres familles, le "secret" est connu de la sœur ou du frère, qui rivalisent de passion sportive pour l'amour et l'affection de la mère. La mère contrôlante et conflictuelle, ainsi que la mère aux traits narcissiques, accordent un tel soutien "par portions" afin que toute l'attention soit là où, selon elle, elle devrait être : uniquement sur elle.

Lutte sous couverture et éclairage au gaz

Les secrets de famille plongent la fille, qui de toute façon ne se sent pas à sa place, dans l'isolement. Sans surprise, la grande question qui hante ces enfants est très simple : si les gens qui devraient m'aimer ne m'aiment pas, alors qui dans le monde entier m'aimera ?

Cette question, en règle générale, noie tous les applaudissements entendus à propos de la fille mal-aimée du monde extérieur - rien ne peut augmenter l'estime de soi, pas de nouveaux amis, pas de succès à l'école, pas de talent dans quoi que ce soit.

La relation de la mère avec sa fille continue de déformer le sens de soi de la fille - goutte à goutte, goutte à goutte, des gouttes de doute sans fin. En fait, dans toute lutte cachée - y compris l'éclairage au gaz - les conséquences sont les plus dévastatrices, précisément du conflit non évident.

"Quand j'ai grandi et que j'ai essayé de parler à ma mère de ce qu'elle m'a dit et de ce qu'elle m'a fait, elle a simplement nié que c'était du tout. Elle m'a directement accusé de tout bouleverser. Elle m'a traité de fou et je a dit à mon frère de m'appeler "fou Jenny" Je sais que j'avais raison, mais à un certain niveau, je ne pouvais pas croire en moi et ma lutte interne continue. Je ne peux jamais croire ma perception des choses. Eh bien, vous comprenez."

Pourquoi est-il si difficile de briser le silence

Il est difficile de surestimer la complexité du lien affectif entre les filles mal-aimées et leurs mères. Ils veulent toujours que leur mère les aime, même lorsqu'ils voient que la mère n'a tout simplement pas cet amour. Ils se sentent mal aimés et complètement isolés, mais craignent que parler ouvertement de ce problème n'apporte encore plus de honte et un sentiment d'isolement. Et surtout, ils craignent que personne ne les croie.

Les chercheurs estiment qu'environ 40% à 50% des enfants ne voient pas leurs besoins émotionnels satisfaits pendant l'enfance et ont un style d'attachement insécure. Les secrets de famille rendent la vie difficile à ces enfants, et maintenant pour les adultes, il leur est difficile de se sentir écoutés et soutenus.

Et si vous avez eu de la chance et que vous avez eu une mère aimante ou des parents aimants, et même si ce n'est pas une enfance "idéale", mais quand même une enfance qui vous a aidé à vous relever en toute confiance, je vous prie de vous souvenir de ces chiffres et de comprendre que ce n'était pas donc avec tout le monde.

©Peg Streep, traduit par Yulia Lapina.

Toutes les mères ne peuvent pas donner de l'amour. Cela n'arrive pas parce qu'elle n'aime vraiment pas, mais parce que ... Pourquoi cela se produit-il et que faire à ce sujet - lisez l'article.

Quelle que soit la demande du client en thérapie, tôt ou tard, la figure de la mère apparaît dans sa demande. C'est vers elle que sont attirés le plus de sentiments. C'est d'elle que l'amour est le plus recherché. Mais toutes les mères ne peuvent pas donner de l'amour. Ce n'est pas parce qu'elle n'aime vraiment pas, mais parce que...

Qu'est-ce qui empêche une mère d'aimer sa fille et comment changer cela ?

Il y a diverses raisons à cela « parce que », par exemple, les caractéristiques du caractère de la mère, son histoire de vie. Si une mère a perdu quelqu'un qu'elle aimait beaucoup, elle peut à jamais fermer son cœur à l'amour, le protégeant de la douleur.

Influence le comportement de la mère et le modèle de son éducation. Par exemple, si une femme a été élevée par une mère froide, elle sera froide envers son propre enfant.

Maman peut être en famille et se percevoir comme n'étant pas une mère, mais, par exemple, la sœur cadette de sa fille ou même son enfant.

Il y a peut-être d'autres raisons à la froideur de maman, il y en a beaucoup...

De nombreux clients rêvent que leur mère vienne en thérapie et change miraculeusement. Cependant, dans la pratique, cela se produit très rarement.

Un jour, une de mes clientes, Valya, vingt-sept ans, est venue aux constellations avec sa mère. Maman est devenue "curieuse" de participer à cette forme de travail de groupe, de voir : "ce que c'est et comment ça marche".

En plus de rendre visite à un psychologue, Valya lit beaucoup de littérature psychologique, essayant de se comprendre et de comprendre sa relation avec sa mère. Selon elle, la mère exige beaucoup, ne loue JAMAIS, ne remarque que les lacunes, il est IMPOSSIBLE d'imaginer la mère comme chaleureuse, câlinante, généreuse. Maman travaille comme enseignante, elle a toujours donné et donne beaucoup de temps et d'énergie aux autres enfants, aide tous ceux qui le souhaitent. N'IMPORTE QUI, mais pas sa fille unique.

- Comment je veux que ma mère change. Elle a dit qu'elle avait honte, elle regrettait sa froideur. Et si on remontait dans le temps, tout serait différent. Elle prendrait le petit moi dans ses bras, l'étreindrait, la secouerait, me murmurerait à l'oreille que je suis la plus belle, la plus intelligente, la plus bonne, la plus aimée des filles de ma mère.

Et donc maman est venue aux constellations ... Je vais l'appeler comme ça - Maman avec une majuscule. Elle s'est avérée être une femme mince, jeune et sensible. Maman a observé la constellation de sa fille, puis a participé aux rôles d'adjoints dans deux autres constellations. Les deux fois, elle a dû remplacer des femmes qui avaient perdu le contact avec leur mère. En lien avec le sort de femmes qui lui étaient inconnues, maman pleure son propre destin, étonnamment semblable à ceux qu'on lui propose de vivre.

Et puis maman a voulu venir pour une consultation individuelle.

- Je sais que je suis une mère froide, j'aime beaucoup ma fille, mais ma langue ne tourne pas pour lui dire quelque chose de bien, mes mains tombent quand je veux la serrer dans mes bras. Je veux changer ça.

Le lien le plus proche de maman était avec ses ancêtres maternels. Elle a même été nommée d'après sa grand-mère - la mère de sa mère. Maman a raconté des histoires terribles sur sa grand-mère, qui a été donnée en mariage très jeune, le marié avait presque trente ans de plus. Le père de la mariée se tenait derrière elle avec un fouet, la fille ne voulait pas épouser le "vieil homme". Elle n'était même pas contente que le marié ait un moulin et une économie forte.

La jeune femme a "accidentellement" écrasé la première fille - un bébé dans un rêve, a laissé tomber la seconde "sans succès" sur le sol pendant l'alimentation, la mère de notre maman est née dans le champ et "oubliée" sous un buisson. Certes, le père a rapidement trouvé l'enfant et a amené la fille à la maison. Grand-mère a dû accepter l'apparence de sa fille, puis douze autres enfants sont nés.

Après la révolution, les grands-parents ont été dépossédés des koulaks et exilés du centre de la Russie vers l'extrême nord, cependant, en cours de route, un papier est arrivé, leur permettant de retourner dans leur ancien lieu de résidence. Il s'avère que les autres villageois ont pris soin de la famille, grand-père et grand-mère étaient très gentils avec les gens vivant à proximité, ils n'ont jamais rien nié à leurs voisins.

- Ton désir d'aider tout le monde autour, ça vient pas de là, ça vient de cette histoire ? Il s'avère que la famille de la grand-mère a été sauvée grâce à l'aide d'autres villageois ?

- Je n'y ai jamais pensé de cette façon. Je suis d'accord avec votre hypothèse. On dirait que c'est le cas. Comme si une sorte de force me faisait aider tout le monde autour, comme si quelqu'un chuchotait : « Vous ne survivrez pas sans ça.

Ensuite, maman parle de sa mère, qui aimait un gars et, pour une raison quelconque, en a épousé un autre.

Je n'ai jamais entendu un mot gentil de sa part envers mon mari - mon père. "Tu ne t'assieds pas comme ça, non vous dites, vous ne le faites pas », etc. Insatisfaction constante avec lui et moi. Et pour ceux qui l'entourent, tout le monde l'aime. Au début, ma mère ne pouvait pas donner naissance à un enfant, plusieurs grossesses se sont soldées par des fausses couches. Puis une fille est née, a vécu plusieurs heures et est décédée. Quand ma mère est tombée enceinte de moi, elle a voulu se faire avorter. Son père l'a découvert et au dernier moment l'a entraînée loin du guérisseur, vers qui elle s'est tournée pour obtenir de l'aide. Et après la mort de ma mère, j'ai trouvé sa lettre, enfermée dans un livre, adressé à mon père, dans lequel il était écrit : « Je n'ai pas pu aimer notre fille. À ce jour, c'est l'un de mes souvenirs les plus douloureux.

Des larmes sont apparues dans les yeux de maman, elle a commencé à ressembler beaucoup à sa fille, Valyusha. Les deux femmes, la plus jeune et la plus âgée, semblaient unies dans leur désespoir, leur aversion pour leur mère.

Quel que soit notre âge, il y a toujours en nous une "petite fille" qui a désespérément besoin d'amour maternel et, en reconnaissance d'être aimée comme ça, pour le fait qu'elle existe.

Quand il y a une mère attentionnée et aimante dans notre vie, elle est d'abord le soutien de l'extérieur, c'est-à-dire une personne sur qui on peut compter, lui faire confiance, se faire accompagner. Avec le temps, ce soutien externe devient interne, on apprend à bien prendre soin de soi. et aussi être une bonne mère pour vos enfants.

Valya et maman doivent traverser un chemin difficile pour s'accepter et accepter la femme qui a donné la vie, c'est-à-dire maman, seulement après cela, il deviendra facile de montrer de l'amour à votre enfant.publié.

Olga Milashina

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Le mot le plus précieux dans la vie de chaque personne est maman. C'était pour nous la source de la chose la plus précieuse - la vie. Comment se fait-il qu'il y ait des enfants et même des adultes dont on puisse entendre des mots terribles : « Maman ne m'aime pas… » ? Une telle personne peut-elle être heureuse ? Quelles sont les conséquences dans la vie adulte pour un enfant mal aimé et que faire dans une telle situation ?

enfant mal aimé

Dans toutes les œuvres littéraires, musicales et artistiques, l'image de la mère est chantée comme douce, gentille, sensible et aimante. Maman est associée à la chaleur et aux soins. Quand on se sent mal, on crie volontairement ou involontairement « Maman ! ». Comment se fait-il que pour quelqu'un maman ne soit pas ainsi. Pourquoi entendons-nous de plus en plus : « Et si ma mère ne m'aime pas ? des enfants et même des adultes.

Étonnamment, de tels mots peuvent être entendus non seulement dans les familles à problèmes, où les parents appartiennent à la catégorie des groupes à risque, mais aussi dans les familles, à première vue, très prospères, où tout est normal au sens matériel, la mère prend soin de l'enfant , le nourrit, l'habille, l'accompagne à l'école, etc.

Il s'avère qu'il est possible d'accomplir toutes les tâches d'une mère au niveau physique, mais en même temps de priver l'enfant de l'essentiel - amoureux! Si une fille ne ressent pas l'amour maternel, elle traversera la vie avec un tas de peurs et de complexes. Cela vaut aussi pour les garçons. Pour un enfant, une question interne est : « Que dois-je faire si ma mère ne m'aime pas ? se transforme en véritable catastrophe.Les garçons, en général, ayant mûri, ne pourront pas traiter une femme normalement, ils vont, sans s'en apercevoir eux-mêmes, se venger inconsciemment d'elle pour le manque d'amour dans l'enfance. Il est difficile pour un tel homme de construire des relations harmonieuses adéquates, saines et à part entière avec le sexe féminin.

Comment se manifeste l'aversion maternelle ?

Si une mère est sujette à une pression morale régulière, à une pression sur son enfant, si elle essaie de s'éloigner de son enfant, de ne pas penser à ses problèmes et de ne pas écouter ses souhaits, alors très probablement elle n'aime vraiment pas son enfant. Question intérieure qui résonne constamment : "Et si ma mère ne m'aime pas ?" conduit un enfant, même un adulte, à des états dépressifs qui, comme vous le savez, sont lourds de conséquences. L'aversion de la mère peut survenir pour diverses raisons, mais elle est surtout liée au père de l'enfant, qui ne traitait pas correctement sa femme, était gourmand avec elle en tout, à la fois matériellement et émotionnellement. Peut-être que la mère a été complètement abandonnée et qu'elle élève elle-même l'enfant. Et même pas un !

Toute l'aversion de la mère pour l'enfant provient des difficultés qu'elle éprouve. Très probablement, cette femme, étant enfant, elle-même n'était pas aimée par ses parents ... Il ne serait pas surprenant de découvrir si cette mère elle-même dans son enfance s'est posée la question: "Que dois-je faire si ma mère n'aime pas moi?”, Mais elle n'a pas cherché de réponses et quelque chose a changé dans sa vie, mais a simplement suivi imperceptiblement le même chemin, répétant le comportement de sa mère.

Pourquoi maman ne m'aime-t-elle pas ?

C'est difficile à croire, mais il y a des situations dans la vie d'indifférence totale et d'hypocrisie d'une mère envers son enfant. De plus, ces mères peuvent louer leur fille ou leur fils de toutes les manières possibles en public, mais laissées seules, insulter, humilier et ignorer. Ces mères ne restreignent pas l'enfant dans les vêtements, la nourriture ou l'éducation. Ils ne lui donnent pas d'affection et d'amour élémentaires, ne parlent pas de cœur à cœur avec l'enfant, ne s'intéressent pas à son monde intérieur et à ses désirs. En conséquence, le fils (la fille) n'aime pas sa mère. Que faire si des relations sincères et confiantes ne se créent pas entre la mère et le fils (fille). Il arrive même que cette indifférence soit imperceptible.

Le monde qui l'entoure est perçu à travers le prisme de l'amour maternel. Et si ce n'est pas le cas, comment l'enfant mal-aimé verra-t-il le monde ? Dès l'enfance, l'enfant pose la question : « Pourquoi suis-je mal aimé ? Qu'est-ce qui ne va pas? Pourquoi ma mère est-elle si indifférente et cruelle envers moi ? Bien sûr, il s'agit pour lui d'un traumatisme psychologique dont la profondeur est difficilement mesurable. Ce petit homme entrera dans l'âge adulte pressé, notoire, avec une montagne de peurs et pas du tout capable d'aimer et d'être aimé. Comment doit-il construire sa vie ? Est-ce voué à la déception ?

Exemples de situations négatives

Souvent, les mères elles-mêmes ne remarquent pas comment elles ont créé une situation avec leur indifférence, alors qu'elles posent déjà la question: "Et si l'enfant n'aime pas sa mère?" et ne comprennent pas les raisons, blâmant à nouveau l'enfant. C'est une situation typique, de plus, si un enfant pose une telle question, il cherche une issue avec son esprit enfantin et essaie de plaire à sa mère, en se blâmant. Et maman, au contraire, ne veut jamais comprendre qu'elle-même était la cause d'une telle relation.

Un exemple de l'attitude indésirable d'une mère envers son enfant est la note scolaire standard dans le journal. Un enfant sera réconforté si la note est basse, disent-ils, rien, la prochaine fois ce sera plus élevé, et l'autre sera négligé et sera appelé médiocrité et paresseux ... Il arrive aussi que maman s'en fiche d'étudier du tout, et elle ne regarde pas l'école, et elle, et ne demandera pas de quel type de stylo vous avez besoin ou un nouveau cahier? Donc, à la question : « Et si les enfants n'aimaient pas leur mère ? Tout d'abord, il faut répondre à la mère : "Qu'est-ce que j'ai fait pour que les enfants m'aiment ?". Les mères paient cher pour avoir négligé leurs enfants.

Juste milieu

Mais il arrive aussi qu'une mère plaise à son enfant de toutes les manières possibles et en tire un «narcisse» - ce sont aussi des anomalies, ces enfants ne sont pas très reconnaissants, ils se considèrent comme le centre de l'univers et leur mère est le source de satisfaction de leurs besoins. Ces enfants aussi grandiront incapables d'aimer, mais ils apprendront à bien prendre et à bien exiger ! Il faut donc qu'il y ait une mesure en toute chose, un « juste milieu », de la rigueur et de l'amour ! Toujours, quand on est mère, il faut chercher les racines par rapport au parent à son enfant. Il est généralement déformé et paralysé, doit être corrigé, et le plus tôt sera le mieux. Les enfants sont capables de pardonner et d'oublier rapidement le mal, contrairement à la conscience adulte déjà formée.

L'indifférence constante et l'attitude négative envers l'enfant laissent une empreinte indélébile sur sa vie. La plupart du temps même indélébile. Seuls quelques enfants mal aimés à l'âge adulte trouvent la force et le potentiel en eux-mêmes pour corriger la ligne de destin négative tracée par leur mère.

Que doit faire un parent si un enfant de 3 ans dit qu'il n'aime pas sa mère et qu'il peut même la frapper ?

Cette situation est souvent le résultat d'une instabilité émotionnelle. Peut-être que l'enfant ne reçoit pas assez d'attention. Maman ne joue pas avec lui, il n'y a pas de contact physique. Le bébé a besoin d'être souvent étreint, embrassé et lui a dit l'amour de sa mère pour lui. Avant d'aller se coucher, il a besoin de se calmer, de se caresser le dos, de lire un conte de fées. La situation de la relation entre maman et papa est également importante. S'il est négatif, ne soyez pas surpris du comportement de l'enfant. S'il y a une grand-mère dans la famille, son attitude envers maman et papa a une influence puissante sur le psychisme de l'enfant.

De plus, il ne devrait pas y avoir trop d'interdits dans la famille, et les règles devraient être les mêmes pour tout le monde. Si l'enfant est trop méchant, essayez de l'écouter, découvrez ce qui le dérange. Aidez-le, montrez un exemple de résolution calme de toute situation difficile. Ce sera une belle brique dans sa future vie d'adulte. Et tous les combats, bien sûr, doivent être arrêtés. En faisant signe à sa mère, l'enfant doit, en le regardant clairement dans les yeux et en lui tenant la main, dire fermement que sa mère ne peut pas être battue ! L'essentiel est d'être cohérent en tout, d'agir calmement et judicieusement.

Ce qu'il ne faut pas faire

La question la plus fréquente est « Que dois-je faire si je ne suis pas un enfant aimé de ma mère ? » se demandent des enfants déjà mûris trop tard. La pensée d'une telle personne est déjà formée et est très difficile à corriger. Mais ne désespérez pas ! La prise de conscience est le début du succès ! L'essentiel est qu'une telle question ne se transforme pas en une déclaration: "Oui, personne ne m'aime du tout!".

C'est effrayant de penser, mais l'affirmation intérieure que je ne suis pas aimé par ma mère a un effet catastrophique sur les relations avec le sexe opposé. S'il arrivait que le fils n'aime pas sa mère, il est peu probable qu'il puisse aimer sa femme et ses enfants. Une telle personne n'est pas sûre de ses capacités, ne fait pas confiance aux gens, ne peut pas évaluer adéquatement la situation au travail et à l'extérieur de la maison, ce qui affecte son évolution de carrière et l'environnement dans son ensemble. Cela s'applique également aux filles qui n'aiment pas les mères.

Tu ne peux pas te mener dans une impasse et te dire : « Tout ne va pas chez moi, je suis un loser (loser), je ne suis pas assez bon (bon), j'ai ruiné (ruiné) la vie de ma mère » , etc. De telles pensées mèneront à encore plus d'impasse et plongeront dans le problème. Les parents ne sont pas choisis, la situation doit donc être libérée et maman doit être pardonnée!

Comment vivre et que faire si ma mère ne m'aime pas ?

Les raisons de ces pensées sont décrites ci-dessus. "Mais comment vivre avec ?" - l'enfant mal aimé demandera à l'âge adulte. Tout d'abord, vous devez arrêter de tout prendre au tragique et près de votre cœur. La vie est une, et sa qualité dépend en grande partie de la personne elle-même. Oui, c'est dommage que cela soit arrivé à la relation entre maman, mais ce n'est pas tout !

Vous devez vous dire fermement : « Je ne laisserai plus les messages négatifs de ma mère influencer mon monde intérieur ! C'est ma vie, je veux avoir un esprit sain et une attitude positive envers le monde qui m'entoure ! Je peux aimer et être aimé ! Je sais comment donner de la joie et la recevoir d'une autre personne ! J'aime sourire, je me réveillerai avec un sourire tous les matins et je m'endormirai tous les jours ! Et je pardonne à ma mère et je ne lui en veux pas ! Je l'aime simplement parce qu'elle m'a donné la vie ! Je lui en suis reconnaissante et pour la leçon de vie qu'elle m'a donnée ! Maintenant, je sais avec certitude qu'une bonne humeur doit être appréciée et combattue pour le sentiment d'amour dans mon âme ! Je connais le prix de l'amour et je le donnerai à ma famille !

Nous changeons de conscience

Il est impossible d'aimer de force ! Bon, d'accord... Mais vous pouvez changer votre attitude et l'image du monde qui se dessine dans notre tête ! Vous pouvez radicalement changer votre attitude face à ce qui se passe dans la famille. Ce n'est pas facile, mais nécessaire. Vous pourriez avoir besoin de l'aide d'un psychologue professionnel. Si nous parlons d'une fille, elle doit comprendre qu'elle sera elle-même mère et que la chose la plus précieuse qu'elle puisse donner à son enfant, ce sont les soins et l'amour !

Pas besoin de s'efforcer de plaire à maman et à qui que ce soit d'autre. Vivez simplement et faites de bonnes actions. Vous devez le faire au mieux de vos capacités. Si vous sentez le bord, après quoi une angoisse peut survenir, arrêtez-vous, faites une pause, repensez la situation et passez à autre chose. Si vous sentez que votre mère vous presse à nouveau avec une attitude agressive et vous pousse dans un coin, dites calmement et fermement « Non ! Je suis désolé maman, mais ne me pousse pas. Je suis un adulte et je suis responsable de ma vie. Merci de prendre soin de moi ! Je t'aimerai en retour. Mais tu n'as pas à me briser. Je veux aimer et donner de l'amour à mes enfants. Ils sont mes meilleurs! Et je suis papa) dans le monde !".

Il n'est pas nécessaire de s'efforcer de plaire à votre mère, surtout si au cours de toutes ces années de vie avec elle, vous vous êtes rendu compte que tout acte, quoi que vous fassiez, sera critiqué ou, au mieux, indifférent. En direct! Vivez simplement ! Appelez et aidez maman! Parlez-lui d'amour, mais ne vous déchirez pas davantage ! Faites tout calmement. Et n'excusez pas tous ses reproches ! Dites simplement: "Je suis désolé, maman ... D'accord, maman ...", et rien de plus, souriez et passez à autre chose. Soyez sage - c'est la clé d'une vie calme et joyeuse!