La véritable histoire de l'humanité. Sur les véritables origines de la civilisation mondiale et le retour de la véritable histoire de l'humanité Matière noire : du « mysticisme » aux faits

Aujourd'hui, toute personne sensée, grâce à Internet, sait que l'histoire de l'humanité a été écrite et réécrite des centaines de fois pour plaire aux pouvoirs en place. À l'heure actuelle, cela est facile à observer, même dans l'exemple de l'Ukraine, dont les autorités réécrivent intensivement les manuels d'histoire pour répondre à leurs intérêts nationalistes. Cependant, non seulement les Ukrainiens, si vous demandez aux Américains qui ont vaincu Hitler pendant la Seconde Guerre mondiale, vous serez surpris d'apprendre que les vaillants guerriers américains l'ont fait, ils n'ont tout simplement pas entendu parler du rôle de la Russie dans la libération de l'Europe du peste brune du XXe siècle en Amérique.

Cependant, peu de gens savent que l'histoire de l'humanité n'est pas simplement réécrite - elle est inventée du début à la fin, et de telles «correspondances», que nous avons mentionnées ci-dessus, ne sont rien de plus que des «caprices» de personnes qui ont pris le pouvoir dans un pays particulier . En général, dès l'enfance (depuis l'école), on nous dit que nous descendons d'un singe, qui a pris un bâton dans ses mains et a progressivement commencé à se transformer en une personne raisonnable relativement récemment - il n'y a pas plus de cent ou deux cent mille ans .

Et personne ne s'étonne que les restes de peuples anciens, tels que les Pithécanthropes et les Néandertaliens, soient extrêmement rares pour les archéologues, nous parlons de dizaines d'ossements trouvés dans différentes parties de la Terre, à partir desquels les anthropologues ont reconstruit (du mieux qu'ils ont pu) ces prétendus descendants de l'homme moderne. Dans le même temps, des dizaines de tonnes de squelettes de géants, de personnes aux crânes allongés, etc., sont détruits ou cachés dans les recoins les plus cachés des réserves des musées. Pourquoi?

On pense que l'histoire de l'humanité a été réécrite par le Vatican, qui a tenté d'effacer de la mémoire des gens tous les souvenirs de l'ancienne civilisation brillante, dans laquelle il n'y avait pas l'obscurantisme d'aujourd'hui et la toute-puissance d'une poignée de riches sur des milliards de personnes démunies. De plus, ce « paganisme sauvage » est présenté comme une étape de transition vers la « société civilisée » moderne.

Au fur et à mesure que les gens deviennent plus sages et commencent à voir clair, depuis le XXe siècle, des académiciens de tous bords se sont joints à tromper les gens. Ce sont eux qui ont déclaré tous les objets et découvertes archéologiques qui ne rentrent pas dans l'histoire inventée de l'humanité comme des «artefacts gênants» et ils essaient donc de toutes leurs forces de cacher, détruire, déformer leur essence.

Par exemple, les historiens nous prouvent que les crânes allongés des Indiens sont à la mode, suivant les canons de la beauté. Cependant, l'essentiel est immédiatement étouffé - d'où viennent ces canons, qui les Indiens ont-ils imités? La même chose se produit avec les squelettes à six doigts, les orthodoxes de la science sont incapables d'expliquer ce fait et détruisent donc simplement les découvertes archéologiques qui leur sont répréhensibles. Dans le même temps, les Britanniques, par exemple, comptent toujours tout par dizaines, c'est-à-dire que leur mesure n'est pas de 10, mais de 12 unités. D'où cela vient-il? Et il y a beaucoup d'exemples de ce genre. Aujourd'hui, par exemple, il est curieux d'observer comment des chercheurs indépendants tirent de plus en plus de preuves d'une civilisation ancienne, plus brillante et plus développée.

Vidéo : Qui cache la véritable histoire de l'humanité ?

Mais pourquoi certains théoriciens du complot blâment-ils le Vatican pour tout cela ? Ils procèdent du fait que toutes les églises chrétiennes sont construites sur des "objets païens" - dans des lieux de pouvoir et, peut-être même sur des portails spatiaux érigés par des extraterrestres, que le Vatican a habilement transformés en leurs dieux, et a simplement caché toutes leurs traces . Et il a réécrit l'histoire de l'humanité. Ce n'est pas un hasard si, par exemple, un peuple slave très développé s'en est envolé - les descendants d'Hyperborée et bien plus encore. Tout ce qui restait était ce dont le Vatican avait besoin pour une domination illimitée sur les gens. Qu'on le veuille ou non, cependant, aujourd'hui, il est généralement connu que dans la (immense) bibliothèque secrète du Vatican, toute la sagesse de notre Terre, cachée à l'humanité, est stockée. En même temps, comme le disent les théoriciens du complot, il faut comprendre que le Vatican n'est pas le pape. Ce dernier n'est qu'un protégé, une figure publique de cette force obscure et immense qui a transformé l'humanité en une société d'esclaves privés de leurs droits et malheureux...

Les faits les plus brillants qui réfutent la version traditionnelle de l'histoire de la planète Terre

Quand les dinosaures ont-ils réellement disparu ? Le territoire de la Russie actuelle a-t-il été habité pendant la "période glaciaire" ? Combien de civilisations anciennes existaient sur la planète Terre et quel était leur niveau de développement technologique ? Est-il vrai que les gigantesques étendues du nord de la plaine russe, de l'Oural, de la Sibérie et de l'Extrême-Orient sont restées inhabitées jusqu'au New Age ? Quelles traces de civilisations anciennes ont été trouvées sur le territoire de la Russie actuelle ? Pourquoi les faits disent-ils une chose et les scientifiques disent-ils quelque chose de complètement différent ? Combien d'autres preuves irréfutables de l'existence des plus anciennes civilisations hautement développées ont été trouvées dans le monde ? Ce film ne contient que quelques-uns des faits les plus frappants qui contredisent l'histoire officielle qui domine le monde scientifique aujourd'hui. Des scientifiques, écrivains et voyageurs russes bien connus Andrei Burovsky, Georgy Sidorov et Vitaly Sundakov partageront leurs réflexions sur ce qu'était réellement l'histoire de l'humanité.

La véritable histoire de l'humanité (version améliorée)

Chaque habitant de la Terre, qui a eu la chance d'étudier à l'école, reçoit à peu près le même ensemble d'idées sur le passé de notre planète et de ses habitants. On pense qu'il y a environ 3 milliards d'années, la vie est née ici. Cela s'est développé, est devenu plus compliqué - et maintenant, il y a 2,5 millions d'années, quelque part en Afrique, la première personne est apparue qui marchait fermement sur deux jambes et a pris un club dans ses mains pour se protéger (encore incertain).

Pendant 2 millions d'années, il a vécu dans les arbres et dans des grottes de montagne difficiles d'accès. Il était engagé dans la cueillette - il cherchait des baies comestibles, des noix, des fruits d'angiospermes. Il extrayait des mollusques marins et fluviaux en eau peu profonde, les fendait et les mangeait crus. Ramassé charogne fraîche - les restes de la proie de quelqu'un d'autre.

Plus tard, il y a environ 300 000 ans, il maîtrisa la technologie de la chasse conjointe en utilisant les armes les plus simples. Dépourvu de crocs et de griffes acérées, notre lointain ancêtre a commencé à utiliser des morceaux de roche anguleux. Et au fil du temps, il a même appris à en fabriquer des haches et des lances en pierre.
Les peuples primitifs se sont rassemblés dans des brigades de chasse - et ensemble, ils ont chassé de grands et de petits animaux. Puis ils se partagèrent le butin et vivaient en petites tribus, se défendant des animaux sauvages et des tribus hostiles. C'est ainsi que la société humaine est finalement apparue. Peu à peu, le nombre de peuples primitifs a tellement augmenté qu'ils ont commencé à se disperser sur toute la planète, peuplant l'Europe, l'Asie, les Amériques et l'Australie. Une image familière, n'est-ce pas ?

De plus, lorsque nous disons « Europe », dans ce cas, nous entendons uniquement la partie sud de l'Europe occidentale. Et tout le nord du continent eurasien à cette époque, selon les scientifiques, était occupé par un glacier de plusieurs kilomètres qui n'a fondu qu'il y a 15 à 10 000 ans.

Et nous voilà face à la première contradiction sérieuse. Dans la seconde moitié du XXe siècle, plusieurs découvertes archéologiques de grande envergure ont été faites sur le territoire de la Russie, ce qui a mis en doute la théorie de la glaciation. En creusant une fosse de fondation dans la région de Vladimir, les constructeurs ont accidentellement découvert un lieu de sépulture d'anciens peuples. Plus tard, il deviendra le site archéologique de Sungir, mondialement connu, dont l'âge, selon certaines estimations, atteint 28 000 ans. Les anciens qui vivaient à Sungiri n'étaient pas différents de nous, leurs lointains descendants.

Ils étaient grands (jusqu'à 187 cm), avaient la peau blanche et le même volume cérébral que le nôtre. Ils avaient une civilisation développée avec un haut niveau de technologie pour cette époque. Ils savaient redresser un os de mammouth et se cousaient des manteaux en peau de mouton à la mode, en les décorant de strass (perles d'os multicolores). D'accord, c'est plutôt étrange pour les peuples primitifs qui, il n'y a pas si longtemps, sont descendus des arbres.

Une autre découverte frappa encore plus le monde scientifique. En Sibérie occidentale, dans le territoire de Krasnoïarsk, près de la ville d'Achinsk, sur des terres qui ont toujours été considérées comme "non historiques", l'archéologue soviétique Vitaly Larichev a découvert un objet étrange qui ressemblait à une baguette avec un motif en spirale.

Après une étude minutieuse, ce motif, composé de 1065 petites icônes, s'est avéré être un calendrier luni-solaire pendant plusieurs années. Quelque chose comme un calendrier souvenir moderne, que nous posons sur notre table. Seulement immédiatement pendant 3-4 ans. La nature du calendrier permettait d'affirmer que ses compilateurs avaient de sérieuses connaissances dans le domaine de l'astronomie et pouvaient prédire les éclipses lunaires et solaires. Cette découverte a été surnommée la "baguette d'Achinsk". Son âge est d'environ 18 000 ans. C'est le plus ancien calendrier sur terre. Et en plus assez précis.

Comme vous le savez probablement, la Sibérie a un climat très rigoureux encore aujourd'hui, alors qu'il n'y a pas de glacier sur le continent eurasien. Le thermomètre en hiver descend à moins 50 degrés. Qu'aurait-il dû y avoir lorsque le congélateur de plusieurs kilomètres du glacier de Wurm se trouvait littéralement à quelques centaines de kilomètres et que tout le territoire était recouvert de pergélisol ?.. La vie civilisée et... la science fondamentale sont-elles possibles dans des conditions aussi difficiles ?. .

Dans le même territoire de Krasnoïarsk, dans la grotte de Denisova, les restes d'une fille qui a vécu il y a 75 000 ans ont été retrouvés. Maintenant, le terme "homme Denisovsky" est apparu dans la science. Les archéologues suggèrent que déjà à partir de la période de 40 000 ans avant JC, "l'homme Denisov" habitait les vastes territoires de la Sibérie occidentale. Rappelons encore une fois que les historiens modernes considèrent la Sibérie comme une « terre non historique », prétendument il n'y aurait jamais eu de centres de civilisation. Tous les foyers ne se trouvent généralement qu'au Moyen-Orient et en Europe occidentale.

Mais voici la malchance - il s'avère que les découvertes archéologiques sibériennes sont plusieurs fois plus anciennes que leurs homologues dans d'autres parties du monde. Il s'avère que les gens vivent en Sibérie depuis des temps immémoriaux. Ne pourraient-ils pas créer la culture, la science et au moins le statut d'État le plus simple ? ..

Et la découverte faite au-delà du cercle polaire arctique, en Yakoutie, à l'embouchure de la rivière Berelyokh, ne rentre pas du tout dans la théorie de la glaciation. Un site de peuples primitifs y a été trouvé, qui - ATTENTION ! — des mammouths apprivoisés ! Oui, oui, les mammouths ont été apprivoisés et utilisés comme animaux de compagnie. Comme vous l'avez compris, les mammouths sont de très gros animaux, plus gros que les éléphants et bien plus gros que les vaches. Ils doivent manger beaucoup pour ne pas perdre de poids. Par conséquent, ils ne peuvent tout simplement pas vivre dans des territoires de pergélisol. Ils ont besoin de prairies envahies d'herbes et d'arbustes luxuriants ... Quelle conclusion peut-on en tirer? Un seul : dans l'Antiquité, au nord de la Sibérie, il y avait un climat assez doux. Le soleil généreux y brillait, des vents chauds soufflaient et la végétation faisait rage.

Soit dit en passant, l'habitation des mammouths au-delà du cercle polaire arctique actuel n'est plus un secret pour les scientifiques et les habitants ordinaires de ces latitudes - les peuples du nord, ainsi que les scientifiques, chercheurs et travailleurs russes. Le fait est que dans le nord de la Russie, dans le pergélisol, les défenses de mammouth ont toujours été trouvées et se trouvent aujourd'hui en quantités proches de celles industrielles.

Parmi ceux-ci, les peuples du nord de l'Antiquité fabriquaient des articles ménagers (par exemple, des couteaux en os et des fers de lance), ainsi que des œuvres d'art. Dans les musées historiques de presque toutes les grandes villes russes, de nombreux squelettes et même des momies de mammouths sont exposés.

Et dans la zone de pergélisol, les chasseurs et les éleveurs de rennes trouvent parfois de la viande de mammouth congelée à ce jour. Faute d'une meilleure utilisation, ces gens ordinaires en donnent à manger aux chiens.

Que voyons-nous ? Là où, selon les scientifiques, un glacier géant gisait et où régnait une désertion complète, il s'avère que des gens assez civilisés vivaient assez bien. Ils étaient engagés dans l'agriculture, élevaient du bétail, développaient leur culture et leur science... Et tout cela est conforme aux données archéologiques officielles. Il s'avère que la version scolaire de l'histoire en la matière est erronée ? ..

Et ce n'est qu'une partie des découvertes faites en Russie. Dans d'autres pays et sur d'autres continents, non moins de découvertes ont été faites qui réfutent complètement la version traditionnelle de l'histoire, et leur visibilité est parfois tout simplement étonnante. Une expédition de chercheurs russes dirigée par Andrey Sklyarov a découvert au Pérou et en Bolivie sur les ruines d'anciennes villes des traces d'une civilisation qui possédait déjà il y a 10 000 ans des technologies de construction dont la science de l'ingénierie moderne est encore très loin.

Surtout, les scientifiques d'aujourd'hui sont frappés par le phénomène de la soi-disant maçonnerie polygonale. Lorsque les grands blocs de pierre ne sont pas de taille standardisée, mais parfaitement adaptés les uns aux autres en fonction des caractéristiques de leur forme, y compris les plus petits renflements et pentes. Grâce à cet ajustement, les blocs se superposent comme des puzzles et tiennent parfaitement sans aucun mortier.

À propos, les blocs des pyramides égyptiennes sur le plateau de Gizeh sont posés de la même manière. Les chercheurs trouvent quelque chose de similaire en Russie. Un exemple en est la découverte récente à Gornaya Shoria, faite par l'expédition de Georgy Sidorov. En essayant d'imaginer avec quels outils il était possible de poser les pierres de cette manière, les chercheurs russes ont avancé plusieurs hypothèses, chacune supposant le plus haut niveau de progrès technique. Une autre hypothèse suggère une méthode actuellement inconnue d'adoucissement chimique ou thermique de la pierre à l'état de pâte à modeler. Cette prétendue technologie était conditionnellement appelée "argile".

Les membres de l'expédition d'Andrey Sklyarov ont voyagé dans le monde entier et ont trouvé dans de nombreux endroits des traces de traitement mécanique de haute technologie sur les bâtiments les plus anciens, dont l'âge est caché par la brume des millénaires. Y compris des traces de scies circulaires et de meulage sur un tour. Voici un exemple du Liban, des ruines de l'ancienne ville de Baalbek. Récemment, les scientifiques du monde entier pensent de plus en plus que le moment est venu de reconsidérer nos idées sur le développement de la civilisation humaine.

Au Mexique, le musée d'histoire locale de la ville d'Ikka possède une immense collection de pierres gravées de scènes de la vie d'anciens peuples qui vivaient côte à côte avec des dinosaures. Ils ont été collectés au milieu du XXe siècle par le chirurgien et aristocrate espagnol local Javier Cobrero. Un millier et demi des dessins les plus complexes sont appliqués sur des morceaux de granit coulés dans l'eau. Il est difficile de le faire même avec l'aide d'appareils modernes. Et dans la collection du Dr Cobrero, il y a plus d'un millier et demi de ces pierres. Le plus étonnant est que certaines pierres représentent des animaux anciens connus uniquement des spécialistes. Comment les Indiens, peu familiarisés avec la paléontologie, pourraient-ils connaître les caractéristiques structurelles des animaux disparus ? ..

Les chercheurs suggèrent que les pierres d'Ikki sont une sorte de bibliothèque conçue pour stocker une variété de connaissances et les transmettre à la postérité. Par conséquent, la collection du Dr Cobrero s'appelle une lithoteque. En plus des dinosaures, les pierres représentent des scènes de procédures médicales, y compris des opérations aussi complexes que les opérations abdominales et la craniotomie. Vous pouvez même voir des appareils d'anesthésie profonde et un anesthésiste ! D'autres pierres représentent des cours d'astronomie et même des avions stylisés.

Le monde scientifique a choisi de rejeter ces découvertes, les qualifiant d'artisanat des Indiens locaux à vendre aux touristes. Souvenirs en général. Mais dites-moi, qui peut appliquer des dessins complexes sur du granit dur ? Faites des milliers de ces articles dans le même style? Représenter avec une précision scientifique des animaux qui se sont éteints il y a plusieurs millions d'années et qui ne sont pas tous décrits, même dans les manuels modernes ? Pour transmettre des processus complexes à l'aide de dessins, même des opérations abdominales et craniocérébrales ? Et tout cela dans le but d'essayer de vendre aux touristes à bas prix (les pierres d'Ikki n'ont jamais été dans le prix)?.. D'accord, la combinaison de ces facteurs exclut complètement toute production artisanale.

Dans une autre partie du Mexique, au milieu du XXe siècle, d'innombrables figurines en céramique ont été trouvées représentant des dinosaures dans tous les détails possibles. L'aristocrate blanc local Waldemar Julsrud a embauché des paysans ordinaires avec son propre argent, et pendant 7 ans, ils ont extrait ces personnages du sol pour lui avec de simples pioches et pelles. Naturellement, avec cette méthode d'excavation, la plupart des figurines étaient simplement cassées. Et Julsrud ne payait les paysans que pour des figurines entières. Combien d'artefacts sont morts dans le processus, on ne peut que deviner. Mais il y avait tellement de survivants que l'aristocrate a dû dépenser toute sa fortune pour eux.

Et tout comme les pierres de la lithothèque du Dr Cabrero, les figurines de Valdemar Julsrud nous montrent des dinosaures cohabitant pacifiquement avec les humains. Cette figurine représente une femme avec un petit bébé dinosaure dans les bras. Des études en laboratoire ont montré que l'âge des figurines de la collection Julsrud est de 3 à 6,5 mille ans. Supposons qu'il y a six mille ans, les gens ne voyaient plus de dinosaures, mais les sculptaient dans de l'argile selon une ancienne tradition transmise par les générations précédentes.
Mais même dans ce cas, la tradition pourrait durer un - deux millénaires au maximum. Après cela, sa signification serait perdue et le style général des figures changerait inévitablement. Cependant, nous avons des images anatomiquement détaillées d'anciens lézards. Il est difficile de se débarrasser de l'idée qu'ils ont été sculptés d'après nature. De plus, les petits enfants le faisaient à leur guise à la maternelle. Il s'avère que soit les dinosaures ne se sont pas éteints il y a 65 millions d'années, soit ... c'est même effrayant à supposer ... ou des personnes de type moderne vivent sur Terre depuis plusieurs millions d'années.

Un oiseau de feu ordinaire, dites-vous ? Mais un paléontologue professionnel reconnaîtra rapidement dans ce dessin une image stylisée d'un fororacus, un ancien oiseau de proie géant qui vivait sur Terre à l'époque du Miocène, c'est-à-dire il y a environ 20 millions d'années. Le fait qu'il ne s'agisse pas d'un pigeon ou d'un grand tétras ordinaire est indiqué par plusieurs caractéristiques.
Premièrement, les pattes d'autruche sont trop longues pour notre faune.
Deuxièmement, d'autres créatures à plumes, de taille beaucoup plus petite, sont représentées sur la broderie à titre de comparaison.
Troisièmement, également à titre de comparaison, à côté des oiseaux, une personne est également représentée, qui atteint à peine la poitrine d'oiseaux géants (comme c'était vraiment le cas - fororacus a atteint une hauteur de 2,5 mètres). Au fait, faites attention à l'image étrange d'une tête humaine. Ça ne vous rappelle pas une combinaison spatiale ?..

Et voici des dessins d'autres nappes, serviettes et foulards slaves.

En général, selon l'anthropologue Georgy Sidorov, on peut souvent voir des animaux éteints et des plantes disparues sur des broderies slaves, des plats et des motifs d'architraves en bois sculpté. Des dessins similaires se retrouvent également dans les ornements d'autres peuples. Notre conscience refuse d'accepter ce fait, alors nous interprétons tous ces lézards, dragons et oiseaux de feu comme des créatures fabuleuses, fruit de la fantaisie folklorique. Mais que se passe-t-il si nous nous trompons ?

Nos lointains ancêtres pouvaient-ils voir tous ces animaux de leurs propres yeux ? Théoriquement, des représentants individuels d'espèces fossiles pourraient survivre jusqu'au début de l'âge de pierre. Pourtant, ils étaient des animaux à sang chaud et savaient s'adapter. Mais la probabilité d'un tel phénomène peut être assimilée à un miracle. Un autre miracle peut être considéré que nos ancêtres ont conservé la mémoire de ces animaux sous forme de dessins - et ont pu nous la transmettre.

Il existe de nombreux faits qui ne correspondent pas seulement à l'image des événements des 40 à 50 000 dernières années, mais même dans les limites de la simple logique humaine.

Les mineurs de Rostov dans un filon de charbon à une profondeur de 300 mètres ont trouvé une roue pétrifiée ... d'un chariot. L'authenticité de ces photographies ne fait aucun doute. Cependant, comment est-ce possible - après tout, le filon de charbon s'est formé ... il y a 250 000 000 d'années?! .. Encore une fois: il y a deux cent cinquante millions d'années ...

Dans les couches géologiques de la terre, formées il y a des millions, voire des milliards d'années, ils trouvent une variété d'objets qui semblent avoir une origine technogénique moderne. Ce sont des outils de pierre en Californie. Et une marmite en fer dans l'Oklahoma. Et d'étranges billes d'acier en Afrique. Et même - ce qui est absolument incroyable - des pièces d'horlogerie pétrifiées au Kamtchatka.

Certaines de ces découvertes vertigineuses peuvent être expliquées par la théorie de l'origine abiogénique (chimique) du charbon. Il y a une opinion que le charbon et le pétrole ne se sont pas formés il y a des millions d'années, mais se posent constamment même aujourd'hui. Par conséquent, les objets fabriqués par l'homme qui sont tombés accidentellement dans les couches de la terre peuvent éventuellement se retrouver dans les couches de charbon. Mais les mécanismes d'horloge dans les couches de pierre, vieilles de plusieurs millions d'années, n'ont pu apparaître qu'à la suite de la colonisation de la planète Terre depuis l'espace. Eh bien, ou on peut supposer que les horlogers suisses modernes ont inventé une machine à voyager dans le temps - et ont transféré leur production à l'ère paléozoïque. Bien sûr, de nombreuses découvertes comme celles-ci sont le résultat d'une falsification scientifique ou d'une mauvaise interprétation. Mais il y a des faits et absolument incontestables.

À ce jour, le monde a accumulé tant de découvertes fiables qui réfutent la version traditionnelle de l'histoire que pour les expliquer, il est nécessaire de créer un nouveau système d'idées historiques. Ce qui inclurait des données de toutes les sources fiables sur les événements du passé et les interpréterait logiquement. Bien sûr, seule une grande équipe de scientifiques peut faire un tel travail, en respectant toutes les exigences de l'école scientifique. Les instituts de recherche financés par l'État et les départements d'histoire des grandes universités devraient y travailler.

Mais, malheureusement, aujourd'hui la science fondamentale s'est retirée de la résolution de ce problème. Académiciens et médecins, professeurs d'université et auteurs de manuels d'histoire continuent d'insister sur l'infaillibilité de la version existante de l'histoire et refusent obstinément de remarquer les dernières découvertes. Tous les faits qui ne correspondent pas à leur image du passé, ils déclarent faux ou ne le remarquent tout simplement pas. Une situation paradoxale est apparue : les faits qui réfutent la théorie sont officiellement reconnus par le monde scientifique, mais la théorie elle-même ne change pas. Et cela dure depuis des décennies.

En attendant, la nécessité d'expliquer les découvertes faites et de donner à la société une nouvelle image cohérente du passé se fait attendre depuis longtemps. Par conséquent, des chercheurs individuels du monde entier, sans attendre la science officielle, ont commencé à créer leurs propres versions de l'origine de la vie sur la planète Terre. L'un d'eux était l'écrivain-historien, voyageur et anthropologue Georgy Alekseevich Sidorov. Résumant des informations provenant de diverses sources - des monographies scientifiques des scientifiques soviétiques aux traditions des chamans evenks - il dresse sa propre image de l'histoire de l'humanité. En tant que peintre impressionniste, il travaille les grands traits, la peinture des époques et des millénaires. Mais parfois, son œil de chercheur repère des détails très subtils du processus historique et culturel.

La particularité de Georgy Sidorov en tant que chercheur est qu'il n'appartient pas à la classe des scientifiques de fauteuil, mais mène une recherche indépendante de preuves du passé. Il a fait de nombreuses découvertes que la science n'est pas encore capable de maîtriser. Celles-ci incluent les traditions enregistrées des chamans des peuples du nord, qui racontent l'époque d'une grande catastrophe et la recréation ultérieure du monde. Et le décodage des informations historiques sur les broderies slaves et les sculptures sur bois. Et de nombreuses découvertes archéologiques en Sibérie, en Extrême-Orient, dans le Nord de la Russie et même en Allemagne. Pour certains, ses constructions historiques et idéologiques peuvent sembler trop fantaisistes. Mais rappelons-nous que les affirmations selon lesquelles la Terre est une sphère semblaient autrefois trop fantastiques à quelqu'un.

Comme tout chercheur qui suit son propre chemin et pense de manière indépendante, il n'est pas à l'abri des erreurs et des délires. En fait, il conseille lui-même toujours de vérifier les informations qu'il fournit et leur interprétation. Une chose est sûre : le travail effectué par Georgy Sidorov et d'autres chercheurs indépendants du monde entier est une avancée majeure dans la compréhension de qui nous sommes vraiment.

Des centaines de milliers de personnes dans différents pays du monde ont apprécié le travail de Georgy Sidorov. Ses livres sont vendus en gros tirages, ce dont les journalistes connus et même les politiciens ne peuvent pas toujours se vanter. Ses performances vidéo sur Internet sont toujours populaires. Et des gens des coins les plus reculés de Russie et même d'Europe viennent le rencontrer. Aujourd'hui, il n'est plus possible de simplement écarter de nombreux faits qui témoignent d'un cours complètement différent des processus historiques sur la planète Terre qu'on ne le pensait auparavant. Mais les informations à leur sujet continuent d'être étouffées et cachées.

Pour que les faits qui réfutent la version existante de l'histoire deviennent la propriété de toutes les personnes vivant sur notre planète, un catalogue électronique de découvertes historiques et archéologiques uniques "Propriété de la planète" a été créé sur Internet.

Si vous souhaitez en savoir plus sur les versions alternatives de l'histoire humaine, vous familiariser avec des artefacts témoignant d'événements d'un passé lointain ou participer à la recherche et à l'étude de monuments historiques uniques, rejoignez notre projet ! Allez sur le site Dostoyanieplanety.RF, inscrivez-vous et commencez à apprendre !

Comme l'a dit le politicien russe Piotr Stolypine, "Un peuple sans conscience nationale est du fumier sur lequel poussent d'autres peuples". On peut en dire autant de l'humanité dans son ensemble. Si nous n'avons pas une véritable connaissance de nous-mêmes, nous serons sans cesse manipulés à l'état d'animaux. Par conséquent, l'établissement de la vérité sur notre origine, l'éveil de la mémoire historique chez tous les habitants de la planète Terre est un besoin vital pour nous tous. En fin de compte, nous sommes également avec vous - PROPRIÉTÉ DE LA PLANÈTE !

Sidorov en Allemagne, 2013 Partie 1 - La véritable histoire de l'humanité

Voir l'original pour les 20 premières minutes de la réunion :

Partie 2 Rügen, Arkona :

Georges Sidorov. L'histoire inconnue de l'humanité, partie 1

La culture populaire slave a laissé un énorme héritage, dont la plupart n'a pas été étudié, ce qui signifie qu'il se perd progressivement. Et pour ne pas perdre complètement ce que nos ancêtres nous ont laissé, nous devons nous tourner plus souvent vers les coutumes populaires, les traditions, la mythologie et les étudier. Il est important de contribuer à fédérer toutes les richesses culturelles et de les transmettre à notre peuple. Après tout, sans connaître le passé, vous n'avez pas d'avenir !

"La Russie se réveillera, se souviendra de ses dieux, puis une telle accumulation fera le tour du monde ...".
FM Dostoïevski.

Nous Russ sommes les petits-enfants de Dazhdbozhia, les arrière-petits-enfants de Veles et Perun - les Slaves sont les descendants de Dazhdbog, qui nous ont donné naissance par la vache cosmique Zemun et le Dieu de la Famille.

Et en chacun de nous vit une particule divine de nos grands ancêtres, guerriers et vainqueurs. Nous devons ouvrir notre esprit pour comprendre cette vérité, et renforcer notre esprit pour la lutte, nous devons prendre le chemin de la victoire, le retour de nos traditions et de notre gloire nationales !

"Un homme peut être détruit, mais il ne peut pas être vaincu."
Ernest Hemingway.

"Mais contre le temps de la loi, sa science n'est pas forte..."
A. S. Pouchkine.

"En politique, rien n'arrive par accident. Si quelque chose arrivait, c'était censé arriver."
Le président américain Franklin Roosevelt.

"Beaucoup de choses nous sont incompréhensibles, non pas parce que nos concepts sont faibles, mais parce que ces choses n'entrent pas dans le cercle de nos concepts."
Kozma Prutkov.

"L'histoire ne doit pas dépasser les limites de la vérité, et pour des actes honnêtes, une seule vérité suffit."
Cicéron Mark Tullius.

Il convient de noter que l'histoire officielle moderne de l'humanité est non seulement complètement déformée, mais qu'il existe également des sujets d'histoire interdits. L'histoire la plus ancienne de l'humanité, qui couvre plusieurs milliers d'années, reste à ce jour, en fait, une "terra incognita" (un domaine de connaissance inconnu). Dans les manuels, toute la période précédant l'avènement de l'écriture tient facilement sur quelques pages. Là, il apparaît sous la forme d'une image assez claire et cohérente, formée sur la base de données archéologiques fragmentaires en stricte conformité avec le seul paradigme de la formation et du développement de l'humanité qui prévaut dans la science académique.

Cependant, à ce jour, une énorme quantité de faits archéologiques se sont accumulés, qui, au sens littéral du terme, «ne rentrent dans aucun cadre» du paradigme officiel. La science académique continue d'ignorer à la fois l'existence de tels artefacts eux-mêmes et l'existence d'hypothèses et de théories qui vont à l'encontre du point de vue « officiel ». Toutes les méthodes sont utilisées : les artefacts « gênants » sont déclarés « faux » ; un «mur de silence» est érigé autour d'eux, ce qui empêche activement la diffusion de toute information sur l'existence même de ces artefacts; les hypothèses et théories alternatives sont entravées et écartées de force des publications et conférences scientifiques, et les chercheurs qui osent adhérer à des hypothèses et théories en dehors du cadre du paradigme dominant se voient fermer à la fois les portes des institutions universitaires et la possibilité d'une carrière scientifique. En conséquence, l'étude de ces artefacts «gênants» est complètement privée de la possibilité d'utiliser la base de recherche disponible pour la science universitaire et est obligée d'être effectuée uniquement par des passionnés uniques.

Malgré tous les obstacles, les chercheurs ont déjà réussi à rassembler tellement de faits qu'ils sont plus que suffisants pour créer une image complètement différente du passé de l'humanité et on peut commencer à parler des véritables origines de la civilisation mondiale. Dans ces conditions, la percée du "blocus de l'information" est capable de stimuler le développement non seulement de points de vue alternatifs, mais aussi de la science académique elle-même. D'autre part, c'est la proximité de ces informations qui est à l'origine de l'intérêt considérable du grand public pour les faits "étranges" et les versions alternatives de l'histoire.

Les faits qui ont émergé permettent de documenter les matériaux sur la base de: expéditions dans différentes régions de la planète avec la participation d'un large éventail de spécialistes; analyse des artefacts conservés de l'Antiquité du point de vue des connaissances scientifiques les plus modernes, mais sans se limiter à une seule version ; large couverture de diverses hypothèses expliquant ces artefacts anciens.

Les idéologies totalitaires se compromettent maintenant parfaitement, et nous n'avons tout simplement pas besoin d'interférer avec elles. L'histoire a toujours souffert de déformations pour s'adapter à la situation politique. "Qui contrôle le passé contrôle l'avenir", la déclaration d'Orwell est vraie non seulement pour les régimes totalitaires (George Orwell, vrai nom - Eric Arthur Blair, 1903-1950 - écrivain et publiciste anglais, surtout connu comme l'auteur du roman culte dystopique " 1984" et l'histoire "Animal Farm").

De tout temps, les prédicateurs ont déformé l'histoire pour prouver la vérité de leur religion, les dirigeants - pour leurs objectifs politiques, les idéologues du soi-disant "peuple élu" - pour prouver leur plus grande antiquité, etc. Mais il existe des preuves historiques sur lesquelles aucune autorité n'a de pouvoir. Ce sont des artefacts anciens que personne ne connaît encore et qui attendent dans les coulisses d'être déterrés par les archéologues, ainsi que des mythes et légendes qui se sont transmis de génération en génération. De plus, les traditions orales présentent à cet égard un certain avantage sur les traditions écrites, puisqu'elles ne peuvent être « corrigées » sur ordre des autorités. Ainsi, ceux qui veulent « contrôler le passé » doivent compter avec eux et agir de manière détournée : inventer des théories selon lesquelles la mythologie n'est qu'un produit de l'imagination primitive des peuples anciens. Mais les découvertes des archéologues réfutent de plus en plus l'opinion selon laquelle les mythes antiques sont une fiction, comme ils le pensaient au siècle dernier, ou un reflet de la psyché humaine, comme ils le pensaient autrefois.

L'archéologue allemand G. Schliemann, rejetant l'opinion généralement acceptée sur le fantasme complet de la mythologie grecque antique, s'est précipité à la recherche de l'or "mythique" de Troie (Johann Ludwig Heinrich Julius Schliemann, 1822-1890, un entrepreneur allemand et archéologue amateur, célèbre pour ses découvertes en Asie Mineure, sur le site de l'antique Troie homérique). Et je l'ai trouvé ! Pendant longtemps plus tard, les historiens ont contesté que Schliemann ait trouvé précisément la Troie «mythologique» ... Mais finalement, ils se sont réconciliés - ils ont reconnu le fait. Certes, ils ont laissé de côté l'explication de l'écart entre la théorie et les faits. Pensez-y - une curiosité ... Vaut-il la peine de casser une si belle théorie à cause de lui ... Cependant, des doutes ont été semés et Schliemann a trouvé des adeptes. C'est alors que les « curiosités » tombaient les unes après les autres. Le XXe siècle passé a été marqué par des découvertes qui ont forcé le monde scientifique à reconnaître : les ruines de l'ancienne Babylone ont été fouillées ; des artefacts ont été trouvés confirmant l'existence de peuples qui étaient considérés comme n'ayant pas vraiment existé, et la position des murs effondrés de la découverte de Jéricho fait encore se gratter la tête aux scientifiques ...

Mais alors comment faire face à ces héros de mythes, dont la force et les capacités nous paraissent désormais clairement fantastiques ? Seulement pour voir derrière la mythologie antique non pas une fiction complète, mais un reflet complètement logiquement cohérent et cohérent de la réalité, vous devez faire un « petit » pas de plus : vous devez admettre la possibilité de l'existence de civilisations plus développées et leurs contacts avec nos anciens ancêtres. Et les traces de l'existence de ces civilisations plus avancées sur Terre ne se trouvent pas seulement dans les mythes et les légendes.

De nombreuses structures anciennes nous sont parvenues, dont la construction serait un problème même pour le niveau moderne de la technologie du bâtiment. Ce sont tout d'abord les pyramides égyptiennes et les édifices mégalithiques des cités incas*.

Là où la vallée du Nil cède la place au désert de Libye, où les champs verdoyants et les bosquets de palmiers dattiers sont remplacés par du sable chaud, vous pouvez voir les contours de triangles étonnants qui ressemblent à des montagnes. Leur chaîne s'étend sur des dizaines de kilomètres du Caire à l'oasis du Fayoum. Mais l'exactitude de la forme de chacun d'eux montre clairement que, quelle que soit l'habileté de la nature à créer ses miracles, ces bâtiments sont l'œuvre de mains humaines. Au total, il y a une centaine de pyramides en Égypte - grandes et petites, en gradins et parfaitement lisses. Ils sont situés le long des rives du Nil près de l'ancienne capitale du pays, à l'époque de l'Ancien Empire appelée Memphis. Mais les pyramides les plus célèbres d'Egypte sont situées en bordure du plateau désertique de Gizeh à la périphérie du Caire. La plus grande d'entre elles est la pyramide de Khéops, le deuxième pharaon de la IVe dynastie. À ce jour, il reste la plus grande création architecturale de mains humaines.

L'héritage étonnant, mystérieux et étonnant des Incas - Machu Picchu ("vieux sommet") - est situé haut dans les montagnes du Pérou. Cette ville antique s'élève à 2500 mètres d'altitude, au-dessus de la vallée de la rivière rapide Urubamba. Le Machu Picchu est situé à 69,2 km au nord-ouest de l'ancienne capitale de l'Empire Inca, Cusco. De tous côtés, elle est entourée de montagnes : Huayana Picchu et El Mandor.

L'hypothèse des historiens selon laquelle ils ont été construits à l'aide d'outils primitifs en bois, en pierre et en cuivre (les anciens Égyptiens de l'époque, auxquels la version officielle fait référence à la construction des pyramides, ne connaissaient même pas le bronze) n'est pas étayée par le faits : « En 1978, un groupe de chercheurs japonais a tenté de construire une petite pyramide, en utilisant les mêmes méthodes et outils que ceux utilisés, selon la version officielle, par les anciens Égyptiens. Le processus de construction a été filmé. Cependant, le film sensationnel n'a pas fonctionné. Pour construire une pyramide de seulement 11 mètres de haut, les explorateurs japonais ont rapidement dû abandonner les leviers à main, les cordes et les plans inclinés et se tourner vers des grues, des bulldozers et des treuils modernes pour obtenir de l'aide. Ils ont honnêtement raconté les résultats de leurs recherches dans un livre au titre expressif - "Comment la pyramide n'a pas été construite". Les adeptes de la version officielle ont même tenté de démontrer expérimentalement la possibilité de transport par des méthodes primitives: sur des bûches rondes ou des pierres. Cependant, cela a été réalisé pour des blocs ne pesant que quelques tonnes. Le passage au déplacement de pierres pesant des centaines de tonnes ne se résume pas du tout à une simple augmentation arithmétique du nombre de «travailleurs de la traction dans une équipe», mais nécessite des technologies et des techniques qualitativement différentes (ce qui, cependant, est clair pour presque tout le monde quelque peu spécialiste compétent dans ce domaine). De plus, même avec un si petit poids de la charge, les expérimentateurs ne sont jamais allés jusqu'au bout.

Dans le même temps, il existe des preuves de Garcilaso del Vega, décrivant la tentative infructueuse des Incas eux-mêmes (Inca Garcilaso del Vega, 1539-1616, historien péruvien, auteur du livre "Histoire de l'État inca"). Selon son témoignage, l'un des empereurs incas a rassemblé 20 000 personnes et leur a ordonné de soulever l'une des «pierres fatiguées» sur la montagne. L'expérience s'est terminée par une tragédie - un énorme bloc est tombé et des milliers d'Indiens sont morts. Pris ensemble, les résultats de l'examen de la possibilité de transport de blocs par les Incas à l'aide de méthodes primitives doivent être considérés comme plutôt réfutant que confirmant la version officiellement acceptée.

Certains peuples emmagasinent et transmettent à travers leur culture et leur mythologie des connaissances qu'eux-mêmes n'ont pas pu obtenir de leur expérience pratique : La carte d'Oronteus Phinius nous permet de dater la civilisation des compilateurs de la carte prototype à la fin de la dernière période glaciaire. .

Il montre les côtes libres de glace de l'Antarctique, à savoir Queen Maud Land, Enderby Land, Wilkes Land, Victoria Land (la rive est de la mer de Ross) et Mary Byrd Land. L'Antarctique (l'opposé de l'Arctique) est un continent situé tout au sud de la Terre, le centre de l'Antarctique coïncide approximativement avec le pôle sud géographique. Les contours généraux et les traits caractéristiques du relief sont très proches des données de levés sismiques sur la surface de l'Antarctique cachée sous la glace. Malgré le fait que ce continent soit indiqué sur la carte, l'Antarctique lui-même ne fut officiellement découvert que le 16 (28) janvier 1820 par une expédition russe dirigée par Mikhail Lazarev*.

L'Antarctique est baigné par les eaux de l'océan Austral. La superficie du continent est d'environ 14 107 000 km2 (dont des plateformes de glace - 930 000 km2, des îles - 75 500 km2). L'Antarctique est aussi appelée la partie du monde, composée du continent de l'Antarctique et des îles adjacentes. L'Antarctique a été officiellement découverte le 16 (28) janvier 1820 par une expédition russe dirigée par Mikhail Lazarev et Thaddeus Bellingshausen (Thaddeus Faddeevich Bellingshausen, à la naissance de Fabian Gottlieb Thaddeus von Bellingshausen, 1778-1852, navigateur russe d'origine allemande, découvreur de l'Antarctique ), Auparavant, l'existence du continent sud (lat. Terra Australis) était hypothétiquement affirmée, souvent combinée avec l'Amérique du Sud (par exemple, sur une carte compilée par Piri-Reis en 1513) et l'Australie (et nommée d'après le " continent sud »). Cependant, c'est l'expédition de Lazarev et Bellingshausen dans les mers polaires sud, après avoir fait le tour de la glace antarctique autour du monde, qui a confirmé l'existence du sixième continent.

Il convient de noter qu'en comparant les cartes des hémisphères sud et nord, en tenant compte des prévisions pour la fin de la dernière période glaciaire, on peut constater qu'elles présentent de grandes similitudes dans l'emplacement de nombreux objets géographiques.

On sait que le continent, sur lequel nos ancêtres ont choisi le lieu d'implantation sur Midgard-Earth, a été appelé par les voyageurs stellaires Daaria - le don des dieux. Ce continent était situé au pôle Nord de la Terre. Divers auteurs appellent ce pays Arctide, Hyperborée*, etc. Et, après avoir recherché sur ces anciennes cartes des vues représentant le continent englouti (plus précisément, les îles), il est devenu clair qu'il ne s'agissait pas d'un cas isolé et, apparemment, Arctida (Hyperborea) s'y trouvait.

Hyperborée est le légendaire pays du nord, l'habitat du peuple béni des Hyperboréens. Le nom signifie littéralement "au-delà de Borée", "au-delà du nord". Borée (grec "nord") - dans la mythologie grecque, la personnification du vent orageux du nord, mentionné dans l'Iliade, Odyssée. Il semble peu probable que les habitants d'Arctida appellent leur pays "Au-delà du vent du nord". De plus, un tel nom ne pouvait être donné que par les personnes qui ne connaissaient pas le vrai nom d'Arctida et se trouvaient sous les latitudes nord, qui sont les Grecs. L'hyperborée n'est qu'une indication de l'emplacement (par exemple, les Grecs pouvaient appeler l'Égypte "Au-delà de la mer Méditerranée"). Quel était donc le nom de ce pays situé dans l'Arctique ? À cette époque, il faisait assez chaud au pôle Nord et l'océan Arctique n'existait pas alors. Donc, il y avait un grand océan Atlantique. Daaria - Don des Dieux !

Cependant, il existe des matériaux qui parlent d'un déplacement des pôles, donc Arctida (Hyperborea) ne peut pas être localisé exactement à l'endroit où il se trouve sur les cartes ci-dessus. Compte tenu du fait que, par exemple, Mercator ne connaissait pas l'ancienne catastrophe et a utilisé les premières cartes, il a simplement transféré l'image telle quelle, alors qu'il est mentionné qu'à côté d'Arctida (Hyperborée), il n'y a pas de Groenland, mais le Péninsule du Labrador (péninsule de l'est du Canada), prise par erreur par le cartographe comme la plus grande île. Néanmoins, si vous prenez une carte en relief du fond de l'océan Arctique et que vous y adaptez la carte Mercator dans un éditeur graphique, selon les parallèles et les méridiens, en la superposant comme une deuxième couche, alors la similitude du relief est tout à fait perceptible ! Bien sûr, il ne peut être question d'une similitude à 100%, puisque vous comprenez vous-même que le continent ne peut pas couler uniformément sous l'eau, pour quelque raison que ce soit. Il y aura quelque part plus d'immersion, quelque part moins. Sur la carte Mercator de 1595, sur une grande île jaune, divisée en deux, on lit clairement Nova Zemla, à côté se trouve un groupe de petites îles. De haut en bas, quatre îles d'affilée - c'est aussi Novaya Zemlya, mais comme c'était lors de la compilation d'une carte d'Hyperborée, alors qu'elle n'était pas encore immergée. Ici, simplement, il y avait une superposition de deux cartes : l'ancienne carte d'Hyperborée avec les îles adjacentes et la carte de l'époque de Mercator. Herald Mercator a raisonné comme nous - tout ce qui est plus ancien que son temps n'est pas exact. À cette époque, l'archipel a été découvert, mais pas suffisamment exploré, alors Mercator l'a placé à l'endroit de la découverte et a déplacé les îles d'une carte plus ancienne, car. il supposait que ces îles n'étaient pas encore découvertes. Près de l'archipel, à l'époque de Mercator, il y a une petite île - cela fait également partie de Novaya Zemlya, à l'époque d'Hyperborea. Il suffit de combiner la péninsule scandinave et tout deviendra clair. A gauche de l'archipel Novaya Zemlya, sur la carte de 1595, il y a une île rouge de taille moyenne. Pour le trouver en bas, vous n'avez rien à déplacer, il se situe exactement à sa place. Sous cette île se trouvent une île plus grande et deux plus petites. Bien sûr, des erreurs sont possibles, mais l'approche elle-même est correcte et vous pouvez essayer de trouver leur emplacement plus précis en appliquant une analyse du système. Il est également important de prendre en compte le fait que, premièrement, depuis lors, l'île est tombée sous l'eau et le fond a changé, et deuxièmement, Mercator aurait pu les déplacer. Et cet emplacement correspond à l'époque de l'existence d'Hyperborée, puisqu'en 1600 (selon la reconstruction) le pôle magnétique se trouvait dans une méta complètement différente. De plus, pour la première fois l'emplacement du pôle magnétique nord a été découvert en 1831. Je voudrais également ajouter que s'il est possible (au moins approximativement) de calculer le temps correspondant à l'emplacement du pôle magnétique Mercator, alors vous pouvez connaître l'heure à laquelle la carte source a été dessinée.

Il convient également de noter que les réalisations scientifiques et technologiques modernes peuvent éclairer de nombreuses hypothèses différentes, notamment celles liées à l'océan, aux fonds marins, au givrage, aux inondations, etc. Ces capacités modernes comprennent les éléments suivants : méthodes à distance pour mesurer les paramètres des champs hydrophysiques de la couche de surface de l'océan à l'aide d'installations spatiales et aériennes ; traitement d'informations océanologiques satellitaires; les technologies de recherche océanographique utilisant des bouées dérivantes et des bouées autonomes équipées de canaux de lecture à distance des données ; mener des recherches utilisant des navires remorqués et sondés, ainsi que des systèmes de mesures océanographiques autonomes et des instruments de nouvelle génération ; aspects techniques méthodologiques de la conduite de recherches expérimentales dans l'océan à l'aide de stations de fond et d'observatoires autonomes ; méthodes et moyens de sondage géologique et géophysique de la surface du fond et des couches sédimentaires des eaux océaniques; technologies pour combiner les méthodes et les moyens de recherche océanologique dans le cadre de la recherche environnementale; résultats du développement et de l'exploitation de véhicules sous-marins habités et non habités (remorqués et autonomes), de systèmes de plongée et d'équipements techniques sous-marins ; diagnostic et prévision de l'état hydrologique du bassin océanique à l'aide d'un système multi-composants pour la collecte de données expérimentales, ainsi que des modèles numériques de processus hydrophysiques à grande échelle, et bien d'autres. L'utilisation de tels moyens techniques et technologiques déjà aujourd'hui pourrait clarifier beaucoup de choses, mais ... Le problème est une chose - le désir et la volonté politique.

Le message des Dogon à propos de "Sirius-B" pourrait n'être qu'un beau mythe, si ce n'est pour une circonstance très importante.

Les Dogon sont un peuple du sud-est du Mali - un État enclavé d'Afrique de l'Ouest, des "païens". Il borde le Sénégal à l'ouest, la Mauritanie et l'Algérie au nord, le Niger à l'est, le Burkina Faso au sud-est, la Côte d'Ivoire et la Guinée au sud. Les Dogon vivent de manière compacte ou mélangée aux Peuls dans la zone reculée autour de la corniche de Bandiagara, sur le plateau adjacent et la plaine du Séno, ainsi que dans plusieurs villages frontaliers du Burkina Faso. Le fait est que Sirius-B est une étoile invisible à l'œil nu, qui n'a été découverte que dans la seconde moitié du 19e siècle. De plus, les Dogon prétendaient que le "po-tolo" était si lourd "que toutes les personnes réunies ne pouvaient en soulever un petit morceau". La science moderne a établi qu'un centimètre cube de Sirius-B pèse environ 50 tonnes ! Mais ce n'est pas tout. Les Dogon ont affirmé que dans le système Sirius *, il existe une autre étoile invisible, "emme-i-tolo" - dans la science moderne, il s'agit de l'hypothétique Sirius-C, dont l'existence suscite encore un débat houleux parmi les astronomes.

* Sirius (lat. Sirius), également α Canis Major (lat. α Canis Majoris) est l'étoile la plus brillante du ciel nocturne. Sirius peut être observé depuis n'importe quelle région de la Terre, à l'exception de ses régions les plus septentrionales. Sirius est supprimé au 8,6 St. années du système solaire et est l'une des étoiles les plus proches de nous. C'est une étoile de séquence principale de type spectral A1. En 1844, F. Bessel suggéra que Sirius était une étoile double. En 1862, A. Clark découvre une étoile compagne, appelée Sirius B (ici, la lettre latine B, puisque les composants des étoiles sont désignés par des lettres latines majuscules ; familièrement, cette étoile est souvent appelée Sirius B). L'étoile visible est parfois appelée Sirius A. Les deux étoiles orbitent autour d'un centre de masse commun à une distance d'environ 20 UA. e. (au - unité astronomique - une unité historiquement établie de mesure des distances en astronomie, approximativement égale à la distance moyenne de la Terre au Soleil) avec une période de rotation proche de 50 ans. En 1915, des astronomes de l'Observatoire du Mont Wilson ont découvert que Sirius B est une naine blanche (c'était la première naine blanche découverte). Fait intéressant, cela implique que Sirius B devait être beaucoup plus massif que Sirius A dans le passé, puisqu'il avait déjà quitté la séquence principale dans le processus d'évolution. L'âge de Sirius est, selon les études modernes, d'environ 230 millions d'années (les estimations varient de 200 à 300 millions d'années). Initialement, Sirius se composait de deux puissantes étoiles bleues de classe spectrale A. La masse d'un composant était de 5 masses solaires, la seconde - 2 masses solaires (Sirius B et Sirius A). Ensuite, le composant Sirius B, plus puissant et plus massif, s'est éteint et est devenu une naine blanche. Maintenant, la masse de Sirius A est d'environ deux fois la masse du Soleil, Sirius B est légèrement inférieure à la masse du Soleil.

Il existe d'autres informations étonnamment précises sur le cosmos dans les mythes Dogon, qui ont été transmis oralement de génération en génération depuis l'Antiquité, puisque les Dogon n'ont pas de langue écrite et qu'ils vivent, en fait, à l'âge de pierre. Ainsi, les Dogon connaissent certains satellites de Jupiter, découverts par les Européens uniquement à l'aide d'un télescope, que les Dogon ne possèdent pas à ce jour. Les Dogon appellent l'Alpha de la Croix du Sud le "Double Œil du Monde", mais ce n'est qu'à travers un télescope que l'on peut voir que cette étoile est bien une étoile double. Les Dogon connaissent aussi les fameux anneaux de Saturne, invisibles à l'œil nu, qu'ils représentent sous la forme de deux cercles concentriques. De plus, les Dogon parlent d'une structure en spirale des mondes stellaires, connue de la science moderne relativement récemment, toujours grâce aux observations télescopiques.

Raisonner sur la vie préhistorique de l'humanité est toujours comme une mosaïque. L'image dressée par les archéologues et les paléospécialistes peut changer en un instant, et les scientifiques doivent réfléchir au douloureux problème de la réécriture de l'histoire, car de tels faits et preuves scientifiques abondent. Par conséquent, le raisonnement sur le thème de la science et de la technologie des civilisations anciennes devrait être construit sur deux thèses : tout a déjà été créé dans le passé et est en train d'être recréé à nouveau. L'histoire des civilisations anciennes n'a pas été créée par des personnes à moitié sauvages, mais par des spécialistes dotés du plus haut niveau d'intelligence. La soi-disant "culture primitive" n'est pas la formation de notre civilisation, mais le déclin de la précédente. Elle connut autrefois une incroyable floraison, mais les preuves nous en sont cachées dans l'épaisseur de la terre ou cryptées dans les mythes.

Tous les objets trouvés lors des fouilles ne sont pas correctement attribués et il n'est pas toujours possible de déterminer avec précision l'âge des artefacts. Une seule chose est claire qu'il s'agit d'une ancienne antiquité, tous ces modèles dorés d'avions à réaction et de chars célestes dans les légendes de l'ancienne Rus sur les Vaitmans et les Vaitmars, ainsi que sur les Indiens - Vimanas, temples d'observatoires en pierre et légendes sur leurs constructeurs géants, qui déplaçaient des monolithes avec des sorts d'air, des bougies d'allumage pour des moteurs inconnus et des contes de fées sur les vols de Baba Yaga, les "calendriers perpétuels" des anciens Indiens, des fresques avec des images d'ampoules dans les anciens temples égyptiens, des complexes architecturaux construits dans le monde entier à l'aide les données astrophysiques les plus complexes, des informations sur la densité de matière des satellites de Sirius et des dessins d '"Indiens analphabètes" illustrant une opération neurochirurgicale réalisée il y a des millénaires.

Avec la technologie la plus avancée de la fin du XXe siècle et du début du XXIe siècle, les supergrues américaines ont à peine érigé deux anciens obélisques égyptiens, que les pharaons de l'Égypte ancienne ont transportés à une époque par dizaines. Des blocs de pierre de plusieurs tonnes ont été ajustés les uns aux autres avec une précision au centième de centimètre. Mais aujourd'hui encore, dans la littérature populaire, on peut encore trouver des affirmations selon lesquelles les anciens n'avaient que des cordes actionnées à la main par des esclaves, des rouleaux en bois et des scies en cuivre, adaptées uniquement pour couper du carton, et non des carrés de pierre.

Il y a des légendes dans la mythologie de différents peuples qui, dans les temps anciens, les constructeurs se sont donné la main et, au rythme des tambours, ont commencé à tourner dans une danse ronde autour, par exemple, d'une énorme pierre, chantant bruyamment des chants rituels. Les efforts mentaux intenses de nombreuses personnes, combinés à l'énergie des pulsations sonores, ont soulevé un lourd bloc et l'ont abaissé au bon endroit. Au fil du temps, des gongs à sonnerie spéciaux accordés sur une certaine tonalité ont été inventés. Il est possible que la "lévitation sonique" - la capacité de déplacer des objets lourds à l'aide du son et de l'énergie psychique humaine - ait survécu jusqu'à des temps ultérieurs. Sur les tablettes d'argile des anciens Sumériens, par exemple, les historiens ont lu que le son peut soulever des pierres. De nos jours, dans le village de Shivapur, dans l'ouest de l'Inde, chacun est invité à participer à l'élévation d'un bloc de granit pesant 70 kilogrammes. Onze personnes s'alignent autour de la pierre et la touchent avec l'index de leur main droite. Ils commencent à chanter fort le nom du derviche Kamar-Ali (le saint patron de la mosquée voisine), et le bloc s'élève lentement dans les airs ...

Les scientifiques écrivent souvent sur les civilisations anciennes et leur niveau de développement, estimant que la civilisation moderne est la seule techniquement possible. En attendant, voici le passé récent : l'Espagne du XIIe siècle. Des scientifiques mauritaniens à Cordoue et à Grenade ont laissé des manuscrits (et peut-être s'agissait-il de copies d'ouvrages de la Bibliothèque d'Alexandrie - un entrepôt de sagesse de l'ancienne ère) avec des schémas de missiles de combat et de moteurs à réaction, avec des résultats de recherche chimique et des calculs scientifiques dignes de la 21e siècle. Aujourd'hui, l'Espagne, si elle continuait à se développer scientifiquement et techniquement au même rythme, aurait déjà colonisé les planètes du système solaire si nécessaire, mais le fanatisme religieux judéo-chrétien, allié à la peste, a détruit "l'Empire d'Almanzor" .

Au Musée national de Bagdad en Irak, depuis 1936, se trouve un vase en terre cuite de 18 cm de haut avec un petit verre en cuivre de 25 mm de diamètre et de 9 cm de haut.Il contenait une tige de fer oxydé qui ne touchait pas le fond et les restes de bitume avec du plomb. L'archéologue allemand Wilhelm König, qui a trouvé le vase, étant également ingénieur de profession, a immédiatement exprimé une opinion sur les batteries électriques des Sumériens il y a plus d'un millier et demi d'années. Mais les employés du musée ont utilisé le terme «objets de culte» jusqu'au milieu du XXe siècle, jusqu'à ce qu'ils regardent à l'intérieur du vase. Le design s'est avéré être identique à la batterie de Luigi Galvani, inventée 15 siècles plus tard. En 1957, un employé du laboratoire américain "General Electric" a fait une copie exacte du vase, y a versé de l'électrolyte et y a connecté une ampoule - la batterie a donné un courant d'un demi-volt. Le conservateur du London Science Museum Walter Winston a fait une redécouverte en 1962, ne doutant pas au départ qu'il voyait une cellule galvanique sumérienne. "Dites à n'importe quel physicien que le courant électrique a été utilisé 15 siècles avant Galvani et ses cuisses de grenouilles, et vous obtiendrez la réponse "non-sens", "idée ridicule" et "impossible".

Des découvertes similaires (quelques récipients plus petits, vides et avec des tiges) de Séleucie sur les rives du Tigre ont immédiatement reçu des désignations - elles ont été attribuées. Et il est immédiatement devenu clair pourquoi il n'y a aucune trace de suie de torches dans les temples à gradins sumériens et dans les pyramides égyptiennes. Bien avant Galvani, les gens avaient déjà inventé l'électricité plus d'une fois. L'ingénieur allemand Winkler a reconstruit des vases de batterie similaires et y a versé de l'électrolyte sous forme de sulfate de cuivre, obtenant une faible puissance, mais une lueur. L'égyptologue Arne Eggelbrecht a versé du vinaigre de vin et connecté un voltmètre, qui a montré une tension d'un demi-volt pendant plusieurs jours, et lorsque plusieurs navires ont été connectés (ils ont également été trouvés plus d'une fois en Égypte), une tension plus puissante a été obtenue. Mais l'égyptologue a voulu comprendre comment les Egyptiens doraient les figurines en argent. Il a créé une solution saline d'or et y a immergé une figurine en argent, a connecté 10 vases électriques et a connecté toute la structure à un bain galvanique. Quelques heures plus tard, il a sorti une figurine identique et a réalisé comment les anciens Égyptiens utilisaient des piles pour appliquer une fine couche d'or sur des objets métalliques.

Au début des années 1980, Reinhard Habeck travaillait au temple d'Hathor dans la ville égyptienne de Dendérah* et a découvert plusieurs images d'objets en forme de poire avec des lignes ondulées à l'intérieur.

La construction du temple s'étendit à Dendérah pendant plus de 100 ans, jusqu'aux premières années de la nouvelle ère. La ville de Dendérah n'est plus qu'un village, bien qu'elle ait été à une époque la capitale du 6e nome de la Haute-Égypte. Sa déesse patronne était Hathor, que les Grecs comparaient à tort à Aphrodite, la déesse de l'amour et de la beauté. A l'entrée du grand temple et à l'intérieur de celui-ci se trouvent des colonnes soutenant le toit; ils sont gravés d'images de la déesse Hathor. Malheureusement, ils ont été endommagés. Les plafonds sont recouverts de peintures sur des thèmes astronomiques.

Hathor, ou Hathor ("maison d'Horus", c'est-à-dire "ciel") - dans la mythologie égyptienne, la déesse du ciel, de l'amour, de la féminité et de la beauté, ainsi que l'épouse d'Horus. Initialement considérée comme la fille de Ra. Dans les temps anciens, Hathor était vénérée comme la vache céleste qui a donné naissance au Soleil. En fait, elle était la personnification de la Voie lactée, qui était présentée aux anciens Égyptiens comme le lait d'une vache céleste. Hathor est vénérée sous la forme d'une vache céleste portant Ra depuis la 2e dynastie, bien qu'un certain nombre de preuves indiquent que ce culte existait déjà sous le roi Scorpion. De là a suivi la tradition ultérieure de la représenter comme une femme séduisante avec des cornes (plus tard transformées en une sorte de couronne) et parfois les oreilles d'une vache, mais dans certaines régions, la déesse a conservé l'apparence d'une vache.

Khabek considérait les images d'objets en forme de poire sur les murs du temple comme des ampoules à filaments incandescents. Les queues pointues des "serpents" sont collées dans les coupes du lotus - les porte-lampes, et à travers le câble, la lampe est reliée au réservoir par le "jed" et la divinité, même en étant dans une pose de révérence - à genoux. Il n'est pas surprenant que Pythagore, ayant visité l'une des pyramides égyptiennes de l'Antiquité, ait parlé de l'illumination de ses chambres internes comme suit : « une douce lumière propice à la lecture et à la réflexion » (livre « Le Voyage de Pythagore »).

À 18 km de la ville ouzbèke de Navoi et à 40 km de la ville de Ferghana, des images d'une ampoule et d'une mystérieuse créature anthropomorphe y ont également été trouvées. Autour - des rayons de lumière et des hommes chevauchant un loup soutiennent l'ensemble de la structure. Mais ce qui est surprenant, ce n'est pas que l'ampoule soit sacrifiée, et même à genoux, mais l'utilisation de masques à gaz et de mystérieux « gouvernails », comme dans les champs pétrolifères.

Walter Winston, conservateur du London Science Museum, a déclaré : « Je suis sûr que les capacités des peuples anciens sont sous-estimées. Probablement, l'idée même de l'improbabilité de cela est simplement enracinée dans l'esprit des incroyants, et la fierté hautaine des réalisations scientifiques modernes nous empêche de croire que l'action d'un courant électrique aurait pu être connue de nos ancêtres plus de deux mille il y a des années.

En étudiant ce problème, une question naturelle se pose : les découvertes des antiquités ont-elles besoin du monde moderne ?

Le scientifique péruvien Daniel Ruso s'est rendu en 1952 dans les Andes pour étudier le plateau désertique de Marcahuasi à une altitude de 4 km. Marcahuasi est situé à 80 km de la capitale - Lima, mais, néanmoins, aucun des scientifiques n'a visité cet endroit désert dans les montagnes au climat rigoureux. Les hauts plateaux de Bolivie et du Pérou ressemblent à une autre planète. La pression atmosphérique est la moitié de celle au niveau de la mer, et pourtant des gens y vivent. Leurs colonies s'élèvent à une hauteur de 3500 m.Ils ont deux litres de sang de plus que nous, au lieu de cinq millions de boules de sang - huit, leur cœur bat plus lentement. Le scientifique s'est intéressé à la légende péruvienne, qu'il a entendue dans les années 30. La légende raconte l'histoire de la Vallée des Roches Vivantes, qui fut enchantée par l'un des empereurs incas, Tupac Yupanque, qui tentait de conquérir l'une des tribus montagnardes qui s'opposaient à son armée. L'Inca a transformé les habitants de la vallée en rochers qui prennent parfois vie. Les conquistadors espagnols ont essayé de voir ces terres, mais personne ne savait où chercher une telle vallée. Les informations des chroniques des conquistadors sont devenues un guide pour Daniel Ruso jusqu'à son arrivée à Marcahuasi. En quechua, le nom signifiait "maison à deux étages". Et le premier explorateur a trouvé des routes et une forteresse, 12 réservoirs et les ruines de la ville. Lors des tremblements de terre fréquents dans les Andes, les structures des villes anciennes n'ont jamais été endommagées, tandis que de nombreux bâtiments construits ultérieurement à l'aide de la technologie de construction moderne ont été détruits. Il s'est avéré que chaque bloc de ces anciennes structures s'accouplait avec ses voisins comme les pièces d'un puzzle, formant une connexion inséparable. Comment il a été construit reste un mystère. L'image de la déesse égyptienne Taurt (dans la mythologie égyptienne, déesse et patronne des femmes et des enfants) et la sculpture d'un "astronaute contemplant le ciel" étaient étonnantes.

Le scientifique a découvert un zoo de pierre - des statues géantes d'animaux préhistoriques, comme un stégosaure et des chameaux, des éléphants, des lions, des tortues et des taureaux peu familiers en Amérique. Les sculptures ont été taillées dans de la pierre dure - porphyrite diorite. Au cours des derniers millénaires, un film d'oxyde de soufre s'est formé à la surface des pierres - une preuve naturelle et un signe certain de l'antiquité la plus profonde. Que savons-nous des civilisations de cette époque ? Rien. Nous commençons à peine à réaliser la profondeur et l'immensité de la culture de Sumer, et ce n'est qu'en 4 000 av. Le jour du solstice d'été, D. Ruso a fait la découverte la plus brillante: grâce au jeu spécial de clair-obscur ce jour-là, il a vu et capturé sur film des visages humains - des portraits sur les rochers ont démontré la coexistence de différentes races - Nègres, Caucasoïdes , Égyptoïdes. Une excellente connaissance de la perspective et de l'optique distinguait les anciens artistes de Marcahuasi : une chose était mieux vue à midi, une autre - le soir, une troisième - au lever du soleil. Les arcs des sourcils commencèrent soudain à projeter une ombre et, comme si les yeux des statues s'ouvraient, et un rayon de soleil tomba à travers la fente et provoqua l'apparition d'une pupille. Les négatifs ont également révélé quelque chose qui échappait au contrôle de l'œil humain ordinaire - un éclat émanant du portrait d'un certain jeune homme. Il n'y avait pas de restes organiques sur le plateau rocheux sans vie - pas de charbon d'un feu éteint, pas de sépultures, pas de troncs d'arbres, et la seule méthode de datation au radiocarbone créée par le physico-chimiste américain Willard Libby en 1956 n'a pas fonctionné. Mais le chercheur péruvien était convaincu que le plateau de Marcahuasi servait de berceau à l'ancienne civilisation andine, qu'il appelait conventionnellement MASMA. Dans ses articles de 1956-1959 pour la revue de la société ethnographique parisienne, Rousseau tente de reconstituer l'apparence des MASMA. Daniel Rouso a réalisé un film sur le zoo de pierre de Marcahuasi et a commencé à donner des conférences à la Sorbonne et aux universités américaines, appelant à l'étude de la découverte. Il a défié les scientifiques orthodoxes, qui ont appelé les figures animales géantes "le résultat de l'altération de la roche", "le jeu de la nature" et "les caractéristiques d'éclairage". Aucun des opposants ne voulait se rendre au Pérou pour une douzaine de monuments rupestres, mais ils ne croyaient pas non plus aux documents cinématographiques et photographiques. Après 30 ans, personne ne se souvenait de Marcahuasi, et ce fait de l'histoire de la culture péruvienne ancienne n'est même pas entré dans les textes des cours universitaires en Occident, sans parler de notre pays, où les découvertes de scientifiques russes et étrangers ne sont pas deviennent immédiatement propriété publique, y compris et le domaine de l'éducation. Cette découverte était-elle nécessaire pour le monde ? Et pourtant c'est loin d'être unique. C'est toute une liste, à partir de la fin du XIXe siècle, lorsque le monde a appris l'existence de la grotte d'Altamira avec des fresques paléolithiques, des temples mégalithiques de Malte en Méditerranée, des géoglyphes du plateau de Nazca, des pierres avec dessins de la ville péruvienne d'Ica, sur les grottes de la célèbre pyramide de la ville de Teotihuacan en Amérique, observatoires avec des traces d'écriture Ogham sur la péninsule de Kola…

Tout cela a obligé quelques scientifiques à revoir la conception historique et culturelle du progrès de l'humanité. Même les conquistadors espagnols, arrivés en Amérique avec des objectifs conquérants, ont reconnu que le niveau de la civilisation aztèque n'était pas inférieur à celui de l'Europe. Aujourd'hui on sait déjà que les origines de la culture aztèque trouvent leur origine dans la civilisation des Toltèques, qui ont construit des pyramides en Amérique, plus massives que celles d'Egypte ! Mais les Toltèques eux-mêmes, en fin de compte, ont appris du peuple maya, égal en termes de science et de technologie aux Grecs et aux Égyptiens. L'observatoire Mayac était mieux orienté que l'observatoire parisien du XVIIe siècle. Les vases et gobelets mayas rappellent le style étrusque, les bas-reliefs de l'Inde, les pyramides des Khmers du Cambodge, les calendriers des Babyloniens et des Chaldéens, les mathématiques des Proto-Slaves et l'écriture des nœuds des Chinois. Mais les Mayas ne les connaissaient pas toutes. Les mythes des Indiens de Bolivie, vivant isolés même de nombreux frères, témoignent que l'ancienne civilisation bolivienne s'est effondrée il y a 5000 ans après un conflit avec une race de créatures "dont le sang n'était pas rouge". Ces légendes ont été enregistrées et à la fin du 20e siècle publiées dans la maison d'édition parisienne "Arto" par Cynthia Fine. En fait, les légendes parlent du fait que les Indiens ont osé résister presque aux extraterrestres. Un tel message n'a guère de chance d'entrer dans les manuels. Mais les Incas ont également raconté que leurs Maîtres - les Fils du Soleil - sont venus sur Terre des étoiles des Pléiades.

Les scientifiques n'étaient pas enclins à croire les Indiens, mais les connaissances de divers domaines scientifiques en témoignaient. Et il y a 40 ans, l'archéologue américain Hyatt Burrill a commencé à étudier la culture des peuples de l'Amérique indienne, dont les civilisations avaient depuis longtemps disparu. Il a préféré présenter ses observations, des faits qui n'ont pas d'explications logiques et d'hypothèses, non pas dans une dissertation, mais dans le roman « Light Bridge ». Il a décrit la ville des Incas dans la gorge. Cette ville n'est accessible que par un pont de lumière en matière ionisée (rappelez-vous les mythes scandinaves sur le pont arc-en-ciel de Bifrost, ou les mythes persans sur le pont de Chinvat, ou encore le pont du temps décrit par Richard Bach dans un de ses romans). Ce pont inca apparaissait et disparaissait à volonté. Burrill a affirmé que son livre est plus qu'un recueil de légendes ou de science-fiction. "Notre niveau de civilisation est encore, ou n'est pas déjà assez élevé pour évaluer et expliquer tout ce qui est dit ci-dessus. Et est-ce que quelqu'un a besoin de la Vérité sur les secrets et les possibilités des civilisations anciennes ? », a-t-il écrit.

Dans les mythes, la possession des technologies est attribuée aux dieux, ce que les gens qui avaient à peine quitté l'état primitif pouvaient à peine imaginer. Tout d'abord, l'arme la plus puissante. Il y a une description étrange à Mausola Parva, incompréhensible à la fois pour les ethnographes des XIXe et XXe siècles et pour nous. Cela ressemble à ceci : « Cette arme inconnue, la foudre de fer, un messager géant de la mort, a réduit en cendres toute la tribu des Vrishnis et des Andhakas. Les cadavres calcinés n'ont même pas pu être identifiés. Les cheveux et les ongles sont tombés, les pots se sont cassés sans raison apparente, les oiseaux sont devenus blancs. Après quelques heures, tous les aliments sont devenus toxiques. L'éclair s'est transformé en une fine poudre." Et ce ne sont pas que des mots. Comme on le verra plus loin, des traces de l'utilisation de telles armes sont retrouvées par les archéologues. Deuxièmement, les mythes mentionnent souvent ce que nous appelons maintenant des objets volants non identifiés (OVNI) comme un attribut de la vie des dieux: des étoiles, puis le long du ciel entier, et même sous l'épaisseur des eaux océaniques », - les mythes de l'Inde ancienne.

Les anciens Allemands affirmaient que leurs ancêtres étaient arrivés sur des "tours volantes" ... Les Incas de Tiahuanca ont laissé une légende sur un navire doré venu des étoiles. Ils étaient commandés par une femme surnommée la "Tigresse Volante". Elle a apporté des connaissances aux gens et, après un certain temps, elle a ordonné de se porter au sommet de la montagne, où elle "a disparu parmi le tonnerre et la foudre".

Au début du XXe siècle, le professeur d'Oxford Frederick Soddy a conseillé aux scientifiques de lire plus attentivement les mythes et les contes de fées des peuples du monde et d'essayer de les regarder du point de vue de la science. Soddy n'a pas vécu jusqu'à l'époque où la technologie des fusées et de l'espace est devenue la fierté de l'humanité. Mais serons-nous à la hauteur du niveau décrit dans les anciens traités et poèmes slaves (anciens indiens) "Vimanika Shastra", "Mausola Parva", dans les épopées "Mahabharata" et "Ramayana" ? Ils décrivent en détail, en utilisant une terminologie scientifique, les dirigeables du début des temps. Certains d'entre eux se présentaient sous la forme d'une "boule lumineuse spéciale" et effectuaient de nombreuses révolutions autour de la Terre, mises en mouvement "par une force éthérée qui touchait le sol lors du décollage" ou "par des vibrations émanant d'une force inconnue". Les navires des dieux slaves-aryens rayonnaient "un éclat comme le feu" et "des sons mélodiques doux". Leur trajectoire n'était pas une ligne droite, mais une longue ligne ondulée, les rapprochant ou les éloignant de la Terre. Ils ressemblaient à des "nuages ​​d'azur en forme d'œuf ou de boule lumineuse spéciale". Le matériau Vimana (Waitmars, Wightmans) est décrit en détail dans les traités - c'est un alliage de plusieurs métaux, blanc, rouge et en même temps léger. Trois substances: deux solides et un liquide - obtenues en laboratoire conformément aux formules énoncées dans le livre, ont été récemment démontrées par le scientifique Narin Sheth lors du symposium national "Science et technologie dans l'Inde ancienne" qui s'est tenu à Hyderabad. Et c'est une preuve sérieuse que les anciens documents slaves (anciens indiens) ne sont pas de la fiction.

Sur les vimanas, il y avait une arme au pouvoir terrible - un éclair de fer qui transforme des tribus et des peuples entiers en cendres, puis une arme qui draine tout, il y a aussi des carquois avec des flèches auto-alimentées - une flèche autoguidée, flamboyant sur le mouche. Et avec tout cela, la gestion des vimanas ne dépendait pas de la force physique et de l'habileté, mais de la concentration de l'esprit et de la tension de la pensée. " Scintillant et flamboyant ", le guerrier balayé par les flammes semblait être parsemé " d'étincelles dorées " ou " de feu bordé de flammes au milieu d'autres feux ". "Une lumière plus brillante que mille soleils" s'éleva de la Terre vers le haut, comme un deuxième soleil, et les fœtus moururent dans le ventre de leur mère.

Dans "Mausola Parva" il y a une description étrange, incompréhensible à la fois pour les ethnographes des XIX-XX siècles, et pour nous, sur les armes utilisées dans la ville de Mohenjo-Daro*. Cela ressemble à ceci : « Cette arme inconnue, la foudre de fer, un messager géant de la mort, a réduit en cendres toute la tribu des Vrishnis et des Andhakas. Les cadavres calcinés n'ont même pas pu être identifiés. Après quelques heures, tous les aliments sont devenus toxiques. L'éclair s'est transformé en une fine poudre."

Les ruines de l'immense ville de Mohenjo-Daro, entièrement construite en briques crues au 3e millénaire avant notre ère, sont situées dans la vallée de l'Indus. L'acropole, érigée sur un haut talus, les remparts et la ville basse, aménagés selon des règles strictes, témoignent d'un système urbain ancien. Non, Mohenjo-Daro n'a pas été ravagé par des hordes ennemies - aucune trace n'a été trouvée lors des fouilles dans les ruines en briques rouges qui le confirmerait. Et les habitants locaux n'avaient pas d'armes. Comme l'a écrit un auteur russe, ils "vivaient dans une oasis de paix". Cette civilisation agricole proto-indienne (le berceau du coton et du riz), qui comprenait également une autre grande ville dans la vallée du grand fleuve - Harappa, n'avait pas du tout besoin d'armée et ne pratiquait pas de campagnes agressives - il n'y avait personne pour Défendre contre. Les versions d'une inondation, d'un incendie global, d'une grosse chute de météorite, d'une éruption volcanique comme le Vésuve disparaissent également. Tout comme les épidémies. Étonnamment, la ville avait l'eau courante. L'eau était fournie aux maisons de toutes les rues, qui avaient une largeur de 10 mètres. Il y avait aussi un vaste réseau d'égouts : les eaux usées étaient évacuées à l'extérieur des limites de la ville par des tuyaux en briques cuites. Cela a permis de protéger la ville de la propagation d'infections dangereuses.

C'est ce que racontaient les traités scientifiques et techniques et les épopées des Indiens, poursuivant avec persistance l'idée de l'imperfection de la nature humaine, à propos de laquelle cette connaissance est délibérément présentée par fragments. Il semble que ce soit son arme super puissante qui ait détruit l'ancienne civilisation indienne. En examinant les ruines de Mohenjo-Daro, les archéologues D. Davenport et E. Vincenti sont arrivés à la conclusion que « la ville a été détruite par une puissante explosion. La zone de l'épicentre est clairement définie, où tous les bâtiments ont été rasés. Du centre vers la périphérie, les destructions diminuent progressivement. Parmi les ruines, des pierres fondues et des morceaux d'argile ont été trouvés, qui étaient autrefois chauffés à une température d'environ 1500 degrés Celsius, puis rapidement refroidis. Le tableau d'ensemble rappelle beaucoup les conséquences des explosions nucléaires à Hiroshima et Nagasaki.

Mais si nous supposons que le niveau technique fabuleusement avancé de la civilisation a été atteint dans l'Antiquité, alors où sont les traces de tout cela aujourd'hui ? Elles existent, bien qu'en petit nombre, et nous ne sommes pas encore suffisamment préparés à la prise de conscience du visible, car beaucoup de machines ne sont pas semblables à celles auxquelles l'humanité a affaire aujourd'hui, c'est-à-dire à ce que notre civilisation appelle des machines. Ils n'ont pas de boutons, de roues, de poignées, de leviers. Dans les légendes des mêmes anciens Indiens, il y a des références à des bibliothèques dont le contenu est contenu dans un cristal. Pendant longtemps, ce fut un phénomène fantastique, jusqu'à ce qu'il y a quelques années, la technologie d'enregistrement à quartz soit apparue en Russie.

Les soi-disant NIO, objets fossiles insolites, valent également beaucoup. Le parallélépipède* de Salzbourg est entré dans l'histoire dont la destination n'est pas encore déterminée.

Parallélépipède de Salzbourg vieux de 60 millions d'années. Il a été trouvé par un ouvrier de l'entreprise d'Isidor Braun dans la ville de Schoendorf. Le charbon a été extrait en Haute-Autriche à la mine Wolfsegg dans un filon tertiaire. La découverte était un parallélépipède métallique mesurant 67 sur 62 sur 47 millimètres et pesant 785 grammes. Les côtés opposés du parallélépipède sont arrondis et ressemblent à des oreillers, et des rainures profondes sont creusées le long de son périmètre. Au XXe siècle, l'écrivain américain C. Fort a suggéré qu'il était traité par des extraterrestres extraterrestres. Il existe également une hypothèse selon laquelle il pourrait s'agir d'un ancien marteau dont les rainures servaient à la fixation avec des cordes à un manche en bois. Mais le plus important est qu'un objet métallique avec des traces d'origine artificielle a été trouvé dans un morceau de charbon, vieux d'environ 60 millions d'années. À ce jour, pas plus d'une douzaine de météorites fossiles ont été trouvées, et la forme correcte n'a pas été trouvée du tout.

En 1851, dans le Dorchester américain (emplacement du comté de Dorchester, États-Unis, Caroline du Sud), des géologues ont extrait de la roche à une profondeur de 5 m - ce sont des couches de la période tertiaire, elles ont des dizaines de millions d'années.

Ainsi, des objets en or et en bronze d'un type similaire trouvés en Russie dans la plaine russe, l'Oural et la Sibérie, ainsi qu'en Colombie, en Irak, en Égypte, en Chine et dans un certain nombre d'autres régions ont été répertoriés dans les catalogues de musées sous le nom "oiseaux ", tandis que l'un des spécialistes n'a pas réfléchi à la nature de la "queue horizontale et verticale" et n'a pas déterminé qu'il s'agissait de la conception d'un ancien modèle d'avion à réaction tel que le vaisseau spatial russe "Bourane" * .

Beaucoup a été écrit sur Bourane. Un vol qui a surpris le monde entier, un atterrissage sans pilote sur Terre, une nouvelle percée dans l'exploration spatiale... D'après les reportages des médias français en France le jour de l'atterrissage de Bourane, la télévision a interrompu les transmissions pour un appel d'urgence et montrant le moment de le débarquement de notre navire. Le moment de l'atterrissage de Bourane a été démontré à plusieurs reprises, il a été filmé sous différents angles, commenté avec enthousiasme ... Pour que Bourane atterrisse tout seul, l'atterrissage en mode automatique a été élaboré à plusieurs reprises sur son analogue, qui copie complètement tous les composants et systèmes du complexe. Mais ici aussi, les scientifiques ne sont pas partis de zéro. Les premiers programmes ont été testés sur des avions TU-154. Après cela, le travail a commencé avec un analogue de Bourane. Il s'agissait du programme d'exploration spatiale le plus important et le plus coûteux de l'histoire de la Russie, le programme spatial Bourane. Seule la fin de ce travail titanesque et acharné, qui fut annulé en 1993 en raison de "la situation politique et du manque de financement", ne bouleverse que. Et une certaine similitude avec l'apparition de la "Shuttle" américaine fait oublier tous ces résultats impressionnants que les ingénieurs russes ont obtenus. Entièrement automatisé, basé sur un logiciel embarqué soviétique, le vaisseau spatial Bourane a effectué son premier vol en 1988. Sans équipage à bord, Bourane a pu monter dans l'espace, effectuer deux orbites autour de la Terre et réussir un atterrissage au cosmodrome de Baïkonour. Ce fait a même été inclus dans le livre Guinness des records. Le vaisseau spatial Bourane a été lancé dans l'espace à l'aide du lanceur Energia, qui n'était pas moins exceptionnel en termes de technologie à l'époque, et pouvait livrer plus de 200 tonnes de charge utile dans l'espace. Le 15 novembre 1988, l'Union soviétique a testé avec succès le vaisseau spatial Bourane, un vaisseau spatial réutilisable. Après le lancement du système universel de transport spatial fusée Energia avec le vaisseau spatial Bourane, le vaisseau spatial orbital Bourane est entré dans l'orbite calculée, a effectué un vol sur deux orbites autour de la Terre et a atterri en mode automatique sur la piste du cosmodrome de Baïkonour. Il s'agit d'un succès remarquable de la science et de la technologie nationales, ouvrant une étape qualitativement nouvelle dans le programme russe de recherche spatiale. Le vaisseau spatial Bourane est construit selon le schéma d'un avion sans queue avec une aile delta à balayage variable, dispose de commandes aérodynamiques qui fonctionnent lors de l'atterrissage après retour dans les couches denses de l'atmosphère - un gouvernail et des élevons. Il est capable d'une descente contrôlée dans l'atmosphère avec une manœuvre latérale jusqu'à 2000 kilomètres. La longueur du vaisseau spatial Burana est de 36,4 mètres, l'envergure est d'environ 24 mètres, la hauteur du navire lorsqu'il est sur le châssis est supérieure à 16 mètres. Le poids au lancement du navire est supérieur à 100 tonnes, dont 14 tonnes de carburant. Sa grande soute peut accueillir une charge utile allant jusqu'à 30 tonnes. Une cabine étanche entièrement soudée pour l'équipage et la plupart des équipements est insérée dans le compartiment avant pour assurer le vol dans le cadre du complexe fusée et spatial, vol autonome en orbite, descente et atterrissage. Le volume de la cabine est supérieur à 70 mètres cubes. Une caractéristique très importante du vaisseau spatial Bourane est sa puissante protection thermique, qui fournit des conditions thermiques normales à la structure du vaisseau spatial lors du passage à travers des couches denses de l'atmosphère lors de l'atterrissage. Le revêtement de protection thermique est constitué d'un grand nombre (environ 38 000) de carreaux, fabriqués avec une grande précision à partir de matériaux spéciaux (fibre de quartz, fibres organiques à haute température, matériau en partie à base de carbone) selon des programmes qui tiennent compte de l'installation emplacement de chaque tuile sur le boîtier. Le système de propulsion principal est situé dans la section arrière du navire, deux groupes de moteurs de manœuvre sont situés à l'extrémité de la section arrière et à l'avant de la coque. Le complexe de contrôle embarqué se compose de plus de cinquante systèmes qui sont contrôlés automatiquement en fonction des programmes embarqués dans l'ordinateur de bord. Le premier vol du vaisseau spatial Bourane a duré 205 minutes et s'est terminé par un atterrissage réussi sur une piste d'atterrissage spéciale d'environ 5 kilomètres de long et 80 mètres de large, créée dans la zone du cosmodrome de Baïkonour. Ce fut le premier et à ce jour le seul atterrissage automatique d'un vaisseau spatial réutilisable dans l'histoire de l'astronautique. Une nouvelle contribution exceptionnelle à l'exploration spatiale a été apportée, la science et la technologie russes ont remporté une brillante victoire. La Russie et ici - le Premier, le premier - en tout!

Une autre découverte du siècle a été la célèbre stèle Raimondi Chavin du Pérou représentant une machine à vapeur. Le relief de la "Stèle Raimondi" représente une structure de quatre chaudières à vapeur insérées les unes dans les autres. De l'eau froide est versée dans la supérieure, de la vapeur est fournie à la seconde par le haut, de l'eau bouillante est injectée dans la troisième chaudière par deux vannes, devenant de la vapeur, puisque la dernière chaudière est en feu. La vapeur est poussée vers l'extérieur par deux cylindres rotatifs latéraux en contre-courant. Cette machine à vapeur peut devenir non seulement une source d'énergie. Un robot a été fabriqué sur la même base - son image est sur une autre stèle - il pouvait balancer une épée et claquer des doigts. L'attention des scientifiques a été attirée par l'ancien relief Mayac trouvé par John Stephans (un chercheur américain, professeur, enseignant à l'Université d'Hawaii) dans la ville de Palyonque, représentant la figure d'un garçon indien sur des patins à roulettes en bottes hautes avec laçage . Sur une autre stèle de Bonampak, le relief ne représente rien de moins qu'un astronaute au panneau de contrôle. Des robots de pierre ont été trouvés près de Bogota (avant cela, seuls les mythes grecs en parlaient, et même alors, ils reliaient ce miracle de l'ingénierie et de la pensée technique au nom du grand maître d'Hyperborée - Daedalus). D'ailleurs, dans un article du magazine Flying Sauseur Review d'avril 1976, Aime Michel (1919-1992, ufologue, journaliste, écrivain français) cite de nombreuses preuves de l'existence de robots dans l'Antiquité, ce qui indique un haut niveau de développement de La technologie. Dans l'un des livres d'Hermès Trismégiste "Asclépios", il est dit de certaines statues des temples égyptiens, qui pourraient être animées à certaines périodes de l'année par des "forces cosmiques". Les Grecs ont beaucoup emprunté aux Égyptiens et leurs traditions ont été perpétuées par les Romains, les Byzantins et les Maures. Le poète Virgile a acquis une réputation de "revivificateur de statues" à Naples (Publius Virgil Maron, 70 avant JC - 19 avant JC - le poète national de la Rome antique, l'auteur de l'Enéide, surnommé le "Cygne de Mantoue") : avec l'aide d'une "mouche de bronze" il expulsa toutes les mouches vivantes de la ville, puis en fit un jeune de bronze qui surveille l'entretien du feu dans les termes (dans les thermes romains).

Dans la ville mayac de Chichen Itza (du nom de la tribu mayac "Itza", qui au milieu du 5ème siècle a trouvé ici un cénote naturel - un puits et s'est installé autour), deux pierres avec des trous de la taille d'un poing et des nids de poule se sont dressées dans un ancien stade de sport depuis des temps immémoriaux. Entre eux se trouve un terrain de jeu, comme un terrain de football. Ces pierres sont des téléphones. En s'accroupissant au-dessus des trous, on pouvait parler sans craindre d'être écouté. Et il n'y avait pas besoin de câble, de boutons, de tubes, de microcircuits - les téléphones mayas fonctionnent toujours et les scientifiques haussent les mains avec perplexité, incapables de comprendre la technologie. Mais même en Inde (Panyi), des fils ont été retrouvés reliant deux temples antiques, situés à une distance de 1500 m depuis 2000 ans. Même dans l'Egypte ancienne, durant les premières dynasties (sous les pharaons blancs), des fils reliaient aussi les temples souterrains. Soit dit en passant, les Mayas dans les manuscrits du plan astronomique ont affirmé qu'ils étaient les premiers sur Terre à pouvoir mesurer la face de la planète. Les réalisations de leurs scientifiques s'inscrivent aujourd'hui sous les rubriques des mathématiques, de la géographie, de la géodésie, de l'astrophysique, de la navigation... L'erreur de leur calendrier solaire par rapport au calendrier moderne est de 0,0002 unités. Un exemple en est le calcul de la période de révolution de la Lune autour de la Terre: données modernes - 29,530588 jours, Mayak - 29,528395 jours. L'histoire du peuple maya a commencé le 13 août 3114 av. (en termes de calendrier moderne), mais la chronologie de la civilisation, avec leurs ancêtres, les Toltèques et les Olmèques, remonte à des millénaires : 5 millions 41 mille 737 av. La nature cyclique de l'histoire maya a également été remarquée, le dernier cycle se termine le 23 décembre 2012, mais cela n'a rien à voir avec la «fin du monde», car alors un nouveau cycle cosmique commence - la nouvelle ère spatiale, que l'Égypte les traités parlent aussi. Selon l'astrologie russe, la nouvelle ère spatiale commence à l'été 7521 à partir de la création du monde dans le temple des étoiles ou le 22 septembre 2012. La vie est sans fin dans l'univers, ont conclu les sages.

Le peuple africain Dogon du Mali et du Burkina Faso, connu pour sa vie isolée au cours du dernier millénaire, a révélé en 1931 son savoir aux scientifiques européens. Sans lunettes ni télescopes, radars et satellites, ignorant la radio et le télégraphe, ainsi que les autres avantages de la civilisation, les Dogon ont découvert les caractéristiques de la structure de la Voie lactée, d'autres galaxies solaires, dans le système Sirius (le lieu de naissance de leurs ancêtres!), Densité et caractéristiques du mouvement orbital de nombreux satellites de différentes planètes, en les calculant avec une erreur allant jusqu'à 0,1. La connaissance des premières minutes de l'Univers depuis sa création par le dieu créateur Amma dans un réacteur en forme d'œuf ravit toujours les astrophysiciens du monde entier, impuissants à commenter quoi que ce soit de la mythologie dogon.

Les anciens habitants de la Terre fonctionnaient avec des valeurs à 16 chiffres. Il n'y a aucune explication au besoin des Sumériens dans le nombre 195.955.200.000.000. Combien incompréhensibles étaient les valeurs incroyablement petites vues chez nos ancêtres slaves-aryens (l'ancien calcul hexadécimal russe):

Heure - 144 pièces,
partie - 1296 actions,
partager - 72 instants,
instantané - 760 instants,
instantané - 160 corégones (d'où en russe "sauter", c'est-à-dire se déplacer rapidement),
corégone - 14 000 cents.

Une telle précision est inaccessible même avec les chronomètres atomiques modernes ! De plus, avec nos Russ-Novgorodians et Russ-teachers (en Inde, les anciens Indiens) - ils opéraient sur 1/300-million. fractions de seconde ("kashte"), ce qui en physique aujourd'hui est comparable à la durée de vie des mésons et des hypérons dans un atome.

L'analyse spectrale et la cristallographie ont été développées, et un exemple en est les crânes de cristal trouvés en Russie et en Europe, ainsi qu'en Amérique centrale, en Mongolie et au Tibet.

L'âge de ces merveilles, selon les experts en cristallographie, psychométrie et analyse spectrale, atteint 12 millénaires. Mais la technologie de traitement semble ultra-moderne - telle est la conclusion des chercheurs de Hewlett-Packard (une grande entreprise américaine dans le domaine des technologies de l'information, un fournisseur de matériel et de logiciels pour les organisations et les particuliers). L'avis de l'ingénieur de la société L. Barre mérite d'être cité : « ... Nous avons étudié le crâne selon les trois axes optiques et avons constaté qu'il se compose de trois ou quatre intercroissances. Étant donné que chaque épissure a ses propres axes, nous avons pu déterminer le nombre d'épissures. En analysant les intercroissances, nous avons constaté qu'elles se développent à partir d'un centre et forment un seul cristal continu. Nous avons également découvert que le crâne était taillé dans un seul morceau de cristal, avec la mâchoire inférieure. Sur l'échelle de Mohs, le cristal de roche a une dureté élevée égale à sept (juste après la topaze, le corindon et le diamant). Quant au traitement, il ne peut être taillé qu'avec un diamant. Mais les anciens ont réussi à le traiter. Et pas seulement le crâne lui-même - ils ont découpé la mâchoire inférieure et les charnières sur lesquelles il est suspendu à partir de la même pièce. Avec une telle dureté du matériau, c'est plus que mystérieux, et voici pourquoi : dans les cristaux, s'ils sont constitués de plus d'une intercroissance, il y a des contraintes internes. Lorsque vous appuyez sur le cristal avec la tête de la fraise, le stress peut faire en sorte que le cristal se brise en morceaux, vous ne pouvez donc pas le couper - il se brisera tout simplement. Mais quelqu'un a sculpté ce crâne dans un seul morceau de cristal avec tant de soin que c'est comme s'il n'y avait pas touché du tout pendant le processus de coupe. Lors de l'examen de la surface du crâne, nous avons trouvé des preuves d'exposition à trois abrasifs différents. Sa finition finale est polie. Nous avons également trouvé une sorte de prisme gravé à l'arrière du crâne, à la base du crâne, de sorte que tout rayon de lumière qui pénètre dans les orbites y soit réfléchi. Regardez dans ses orbites et vous pouvez voir toute la pièce ... Je ne pense pas que quelqu'un d'autre chez Hewlett-Packard ait mieux compris la structure du crâne que moi ... "La société Hewlett-Packard a donné, bien qu'en un style pas très formel, la déclaration suivante : « Cette maudite chose n'aurait pas dû exister du tout dans le monde. Ceux qui l'ont sculpté n'avaient aucune idée de la cristallographie et ont complètement ignoré les axes de symétrie. Il devait inévitablement s'effondrer pendant le traitement !

Le mystère est la fonctionnalité des cristaux. La réponse à cette question a été trouvée par hasard - en comparant les sensations des chercheurs eux-mêmes. Le crâne de cristal le plus célèbre a été découvert en 1926 parmi les ruines de la ville maya hondurienne de Lubaantuna par l'archéologue Anna Mitchell-Hedges. Le crâne est constitué d'un monolithe solide (cristal de roche), il a une hauteur de 13 cm et pèse 5 kg. Les scientifiques ont été étonnés par les connaissances des maîtres indiens de l'optique - en même temps, ils n'ont pas du tout pris en compte les lois de la cristallographie: le cristal a été traité perpendiculairement à l'axe de symétrie et le cristal ne s'est fissuré nulle part. Quels outils ont été utilisés dans ce cas - on ne peut que deviner. Le crâne de cristal maya a des prismes à la base et des lentilles polies dans les orbites. La moindre source de lumière provoque un éclat éblouissant du crâne. Apparemment, les prêtres l'utilisaient dans le culte rituel comme générateur de champs de torsion de la noosphère, ou, plus simplement, comme intermédiaire dans la communication avec les dieux, dont la volonté était perçue par celui qui prenait le cristal entre ses mains. Le restaurateur américain Frank Dorland a examiné la découverte de 1964 à 1970. Il a découvert que la conception du crâne est si équilibrée par rapport au centre de gravité que le moindre souffle de brise fait bouger la mâchoire inférieure d'un crâne de cinq kilogrammes. Une caractéristique encore plus surprenante a été remarquée par Dorland lorsqu'il a tourné le crâne pour faire face à la cheminée allumée, les orbites des yeux ont clignoté avec un feu inquiétant. Quelle terrible impression cet étrange crâne a dû avoir sur les Mayas ! Il est facile d'imaginer comment les gens choqués tombèrent face contre terre sous le redoutable regard ardent de l'idole de cristal !.. Cependant, personne ne sait avec certitude le but de cet objet - cerveau attirant et effrayant) est connu non seulement des dessins des pierres d'Ica, mais aussi des sépultures des Incas. Les Incas étaient également des guérisseurs qualifiés. En 1975, le Congrès International de Chirurgie Plastique se tient à Paris. C'était la première fois qu'un message était entendu au sujet des opérations sur le crâne, effectuées par l'Esculape du grand empire Inca. Le scientifique péruvien 3. Alpiani a analysé 150 crânes disséqués des musées d'anthropologie de Cousteau et de Lima et a découvert que les anciens chirurgiens étaient capables de remplacer les zones endommagées du crâne par des plaques de matériaux organiques ou d'or ! Les guérisseurs péruviens ont garanti un niveau assez élevé de survie des patients - environ 70 %.

La géométrie et la stéréométrie (c'est une branche de la géométrie dans laquelle les figures dans l'espace sont étudiées) sont incarnées dans l'apparition de nombreuses pyramides et observatoires de la Russie - la Grande-Bretagne à l'Égypte - l'Amérique. La chimie et la géologie font également partie intégrante de la science des civilisations anciennes.

Dans la ville indienne de Teotihuacan, le temple du mica a été trouvé, qui tire son nom des feuilles de mica sous le sol en pierre du bâtiment. Les couches de mica étaient riches en terres rares - potassium, aluminium, magnésium, lithium, manganèse et titane - utilisées dans un tel ensemble dans seulement trois cas : comme condensateur ; comme isolant électrique; comme modérateur de réactions nucléaires.

Les pyramides construites par nos ancêtres slaves-aryens sur toute la planète sont des structures d'ingénierie de très haut niveau, dont nous ne connaissons même pas l'existence. Elles ont été construites après une catastrophe planétaire il y a environ 13 000 ans... Les pyramides pouvaient initialement être construites comme des structures de protection contre les cataclysmes, et les pharaons ne les ont adaptées qu'à leurs propres besoins.

Des chercheurs russes ont décidé de réfuter l'opinion généralement acceptée selon laquelle le but principal des pyramides est d'être des tombes pour les pharaons. Il est possible que les pyramides soient devenues des tombes bien plus tard qu'elles n'ont été construites. Et c'était quoi à l'origine ? "Les premiers chercheurs des pyramides à la fin du 18e et au début du 19e siècle croyaient sincèrement que les pyramides étaient les lieux de sépulture des pharaons, car leurs momies y avaient été trouvées", explique le chercheur Alexander Petukhov. Par conséquent, ils ont commencé à donner aux locaux les noms appropriés - "chambre du roi", "chambre de la reine", "chambre funéraire", etc. Cependant, même les chercheurs égyptiens professionnels Vojtech Zamarovsky et Jean-Philippe Lauer ont admis que "la principale preuve que la plus grande pyramide appartient au pharaon Khufu (Khéops) est son nom écrit dans l'une des chambres, qui ne sert que de pièce secondaire où personne ressemble généralement ". Laisser le nom du pharaon là-bas, c'est comme écrire le nom d'un hôtel cinq étoiles dans un placard. Plus tard, un autre chercheur bien connu de divers artefacts - l'Américain Zecharia Sitchin - a affirmé que "ce nom dans la pyramide était simplement forgé". Certes, on ne sait pas par qui et dans quel but. Le chercheur et écrivain britannique Graham Hancock a analysé la structure interne des pyramides les plus célèbres et est parvenu à la conclusion sans équivoque: "Il y a des endroits où il est plutôt difficile non seulement de porter le sarcophage, mais même de ramper." L'égyptologue James Quibell a écrit ce qui suit à propos de la chambre funéraire de la pyramide de Djoser : "Vous pouvez y mettre un cadavre à travers un trou dans le toit, mais le poser sur toute sa longueur sur le sol est complètement impensable - la pièce est trop petite pour cela .” Le puits vertical de la pyramide de Djoser descend à une profondeur d'environ 30 mètres et se termine par une chambre tapissée de granit.

"Les chambres ne descendent tout simplement pas sur près de neuf étages et ne les recouvrent pas de granit", explique Alexander Petukhov. Ainsi, la tâche initiale n'était pas de créer une crypte. De toute évidence, le contenu de la chambre exigeait du repos ou présentait un danger. En physique moderne, de petites chambres profondes sont utilisées pour abriter des détecteurs de neutrinos, des horloges atomiques, des étalons et d'autres instruments susceptibles d'être affectés par des conditions extérieures. Et si quelque chose comme ça était stocké dans la cellule ? Le granit, quant à lui, se distingue par le fait qu'il absorbe les radiations comme une éponge. Peut-être que cette pièce était destinée au stockage d'un isotope radioactif ? Le fait que quelque chose de dangereux ait été conservé dans une chambre étrange est indirectement indiqué par la soi-disant frise de cobra représentée sur le mur à côté de la mine. Le cobra, dont le venin est mortel pour l'homme, pourrait symboliser le danger, comme aujourd'hui il symbolise la désignation d'un crâne humain avec des os croisés. Étonnamment, la «chambre funéraire» de la pyramide de Khéops s'est également avérée être finie avec du granit - jusqu'à 5 couches. Des chambres "profondes" similaires ont été trouvées dans les pyramides de Snefru (Dashur), Sekhemkhet et Userkaf (Saqqarah), Mikerin (Gizeh), dans un bâtiment inachevé à Zawiet el-Arian. Près de la pyramide de Khéops, un puits de 29 mètres de profondeur a été trouvé, dans lequel se trouve également un sarcophage vide. Les égyptologues ont émis l'hypothèse que des ouvriers auraient été ramenés à la surface le long de cette mine à la fin des travaux internes. Version douteuse, franchement.

Et les chercheurs vont plus loin, assurant que les pyramides situées dans différentes parties de la terre sont similaires à bien des égards. Ainsi, par exemple, sous la Pyramide du Soleil à Teotihuacan, au Mexique, il y a un passage souterrain de 103 mètres de long dans une grotte naturelle, située presque sous le centre d'une structure artificielle. La grotte se compose de quatre chambres, chacune d'environ 28 mètres de circonférence. Ils ont trouvé des artefacts en ardoise, des miroirs et un système de drainage constitué de segments de pierre tubulaires. Et dans la pyramide, ils ont trouvé une couche de mica de 7 centimètres entre les deux niveaux supérieurs. Il s'est avéré que les constructeurs ne prenaient pas du mica de toute façon, mais une qualité spéciale, pour laquelle ils devaient traîner des bagages sur trois mille kilomètres. Est-ce pour la beauté ? "Le mica n'est pas utilisé à des fins décoratives", explique Alexander Petukhov. Maintenant, il est utilisé dans les condensateurs, est une isolation thermique et électrique. Il est opaque aux neutrons rapides et est utilisé comme modérateur des réactions nucléaires.

À côté de la Pyramide du Soleil se trouve le soi-disant temple de Mica, qui est une structure souterraine composée de plusieurs pièces, recouverte d'en haut d'une maçonnerie massive. Les archéologues ont appelé ce bâtiment un temple, bien qu'aucun attribut religieux n'y ait été trouvé. Comme dans la Pyramide du Soleil, des couches de mica passent également sous sa base. Il ne fait aucun doute qu'il n'était pas accidentel ici : il se situe dans une couche uniforme. "Il est très probable que le temple de mica soit une sorte d'appareil technique - disons, un convertisseur d'énergie, peut-être même associé à la pyramide du Soleil", est sûr le chercheur. Non sans raison, probablement, le mot grec "pyramidos" est traduit par "feu (énergie) au milieu", et pas du tout le tombeau du pharaon. Il semble que les égyptologues aient complètement oublié les langues anciennes, alors qu'ils devraient les connaître parfaitement.

Mais la chose la plus intéressante commence si vous essayez de savoir combien de pyramides il y a sur terre. Il s'avère qu'il n'y a pas de réponse exacte. À première vue, il semble qu'il ne puisse y avoir aucune difficulté dans les calculs - les pyramides ne sont pas des aiguilles dans une botte de foin. En fait, tout est ambigu. À l'aide de photographies aériennes du monde entier, 409 pyramides ont jusqu'à présent été dénombrées, en plus d'elles, environ 1300 bâtiments restent incertains - on ne sait pas s'il s'agit de pyramides ou de collines envahies par les mauvaises herbes. Mettant toutes les découvertes sur la carte, Petukhov a révélé une caractéristique étrange : « Les pyramides alignées en lignes claires. La plupart d'entre eux sont situés dans la bande entre 40 degrés de latitude nord et sud. De plus, il existe des champs locaux clairs de pyramides. Les groupes les plus représentatifs se trouvent le long du Nil en Égypte et au Soudan, dans la province chinoise du Shaanxi, au centre et au sud du Mexique, à la frontière du Pérou et du Brésil, au sud du continent australien. Il y a des pyramides en Europe (Slovénie, Grèce, Italie, péninsule de Kola), au large des côtes africaines (îles Canaries), dans la partie asiatique de la Russie (près de Krasnoyarsk sur les rives du Yenisei, près de la ville de Nakhodka). Mais il est particulièrement curieux que plusieurs pyramides soient éparpillées sur des îles isolées de l'océan Pacifique. À première vue, les petites îles ne sont pas l'endroit le plus approprié pour leur construction. Mais, comme le pensent les paléogéologues, ces îles (Samoa, Tongo, Polynésie française) faisaient auparavant partie de vastes étendues de terre qui ont sombré dans l'océan relativement récemment. "De nombreuses pyramides ont été construites sur des fondations rocheuses", explique Alexander Petukhov. Ces zones se caractérisent par une résistance mécanique élevée et une stabilité sur de longues périodes géologiques. Ce sont peut-être ces caractéristiques qui expliquent la préservation des pyramides situées dans les archipels du Pacifique. Des îles séparées sont restées à la surface, tandis que la majeure partie de l'ancien continent a sombré dans l'océan.

Après avoir analysé les informations reçues, Petukhov a proposé la version suivante: «Toutes les pyramides survivantes doivent être considérées comme les vestiges d'un système planétaire mondial qui n'a pas servi aux dirigeants individuels, mais à toute l'humanité ancienne pour se protéger contre les cataclysmes. Il est possible que ces structures, à l'aide de certains dispositifs fonctionnant sur des éléments radioactifs qui y sont installés, remplissent les fonctions d'une sorte de complexe de contrôle et d'exécution et surveillent la situation sismologique sur la planète. En même temps, en raison des particularités de leur forme, que nous sous-estimions encore, ils pourraient contrôler la libération d'énergie accumulée aux jonctions des plaques lithosphériques, empêchant ainsi des tremblements de terre ou des éruptions volcaniques catastrophiques », suggère le chercheur. Cette version a été vérifiée en superposant des cartes de l'emplacement des pyramides et des limites des plaques lithosphériques. Il s'est avéré que la plupart des pyramides, comme délibérément, ont été érigées près des jonctions des plaques lithosphériques et des principales failles géologiques. Il est connu de la géologie qu'une augmentation de pression aux jonctions de ces plaques provoque des tremblements de terre. Ils contrôlaient donc ces processus dans leurs régions. Et cela signifie la planète dans son ensemble.

Cette hypothèse est également soutenue par le chercheur en histoire alternative - Mikhail Kostinsky : « Un groupe de trois grandes pyramides à Gizeh semble être un seul complexe travaillant pour atteindre un objectif commun. J'ai participé à une expérience au cours de laquelle l'impulsion émise par la pyramide de Khufu, réfléchie par les limites des couches géologiques, a été successivement reçue par les pyramides de Khafre et Menkaure, à la suite de quoi l'interaction de tous les appareils a été assurée dans un régime unique. Dans ce cas, l'ensemble du système des trois plus grandes pyramides égyptiennes peut fonctionner comme quelque chose comme un radar pénétrant dans le sol ou un interféromètre acoustique qui enregistre les perturbations lithosphériques périodiques.

Une question tout à fait naturelle se pose : si oui, pourquoi ne ressentons-nous pas le travail de ces stations sismiques aujourd'hui, pourquoi ces sortes de paratonnerres ne fonctionnent-elles pas aujourd'hui ? En effet, seulement au cours des dernières décennies, certaines régions de la terre ont connu de graves cataclysmes d'une magnitude d'environ 9 sur l'échelle de Richter. "Aujourd'hui, les pyramides ne peuvent fonctionner ni comme des bâtiments uniques ni comme un système", déclare Alexander Petukhov. La raison en est leur pillage total. De plus, non seulement les creuseurs noirs et les touristes, mais aussi les pharaons y ont contribué. C'est peut-être sur leurs ordres que l'équipement des pyramides a été démantelé et jeté. Selon les chercheurs, "c'est ainsi que les connexions énergétiques des pyramides se sont avérées rompues". Extérieurement intacts, ils ressemblent à un corps vide d'un avion qui ne peut pas décoller. Les chercheurs insistent : « Si vous regardez la structure interne des pyramides dans une section, il devient clair qu'elles ressemblent beaucoup moins à des tombes qu'à des structures d'ingénierie. Dans les locaux, les soi-disant chambres funéraires, à la fois des complexes de mesure et des actionneurs, à la fois des systèmes informatiques et des centrales électriques, pourraient être placées. Toutes sortes de passages et de passages - plutôt étroits, évidemment non destinés aux excursions ou aux cortèges funèbres - étaient très probablement des mines technologiques, dont le véritable but, hélas, ne peut être que deviné.

Mais pourquoi de nombreux égyptologues n'ont-ils pas deviné tout cela ? "Les historiens et les archéologues des instituts n'apprennent pas l'analyse technique des découvertes, et par conséquent, nous obtenons d'eux des interprétations très erronées sur le but des pyramides", estime Petukhov. Qui a alors conçu les pyramides ? Qui a construit? Sont nos "ancêtres primitifs" qui vivaient sur terre il y a plus de 5 mille ans ? Ou étaient-ils dirigés par quelqu'un ? La recherche de réponses à ces questions ne fait que commencer...

Nos ancêtres n'étaient pas des débutants dans les domaines les plus difficiles de la science et de la technologie. L'écrivain anglais Alan Alford a publié le livre "Gods of the Third Millennium", en y présentant des photographies sensationnelles de bas-reliefs égyptiens du temple d'Osiris à Abydos. Les dessins représentaient des hélicoptères, des sous-marins, des avions, des submersibles, des robots et des chars. Au 13e siècle av. les Égyptiens avaient déjà perdu leur connaissance de la technologie militaire et le pharaon Ramsès II ordonna que son propre nom soit gravé sur des hiéroglyphes incompréhensibles.

Et les connaissances issues du domaine de la génétique et du clonage, présentées en abondance sur les reliefs assyriens et dans les sarcophages de la ville égyptienne de Saqqara, peuvent aujourd'hui déjà être commentées par les scientifiques modernes. Les anciens scientifiques ont réalisé le danger de ces expériences et les ont arrêtées à temps. Nos ancêtres ont développé la doctrine de la réincarnation de l'âme éternelle. S'étant incarné sur Terre dans divers corps humains, l'être passe à un autre niveau de développement en fonction de ses accumulations spirituelles. "Chaque personne est un être supérieur pour le monde inférieur (le monde des minéraux, des plantes, des animaux." Sachant cela, une personne réfléchit à la qualité de ses actions, pensées et paroles, à sa vie, à sa destination dans le monde. Son destin est lié au destin du cosmos.La perfection personnelle purifie le monde.Une autre chose est qu'une personne hésite parfois avant de choisir sa voie ou n'y pense pas du tout, préférant mener une vie "végétale"...

Il y a environ 13 000 ans, une catastrophe grandiose s'est produite. De nombreuses civilisations antiques, il ne reste que des fragments, éparpillés dans le monde entier.

Kostenki, Sungir, Arkaim, l'île de Pâques et la ville de Tiwanaku, géoglyphes de Nazca (ensemble de motifs géométriques et figurés géants appliqués au sol sur le plateau de Nazca au sud du Pérou) et pyramides égyptiennes, Sumériens mésopotamiens, Indiens mayas, Guanches canariens, Esquimaux de Ceylan, etc., - tout s'est mélangé, a perdu ses racines, sa culture, sa langue et de nombreuses connaissances nous sont parvenues dans des mythes, préservés par des peuples étrangers, admiratifs des réalisations des civilisations anciennes.

Les anciens habitants de la Terre n'étaient pas plus primitifs que l'humanité moderne et, à certains égards, la dépassaient même. Leur civilisation garde encore de nombreux mystères, dont les réponses sont aujourd'hui recherchées par de vrais scientifiques du monde entier, puisque selon la mythologie, des connaissances et des échantillons de matériel génétique ont été apportés par les dieux sur Terre depuis l'espace.

Les générations suivantes de nos ancêtres étaient absolument sûres que tout se passait à l'initiative et sous le contrôle de leurs premiers ancêtres - les dieux descendus du ciel. Ce sont eux (ces dieux) qui ont jeté les bases des civilisations en général, en tant que telles, ont fourni à l'homme les cultures agricoles et enseigné les techniques agricoles. Il est très remarquable que ce point de vue sur l'origine de l'agriculture domine absolument dans tous les domaines connus de l'origine des civilisations antiques. Le grand dieu Quetzalcoatl a apporté du maïs au Mexique. Dieu Viracocha a enseigné l'agriculture aux habitants des Andes péruviennes. Osiris a donné la culture de l'agriculture aux peuples d'Éthiopie (c'est-à-dire d'Abyssinie) et d'Égypte. Les Sumériens ont été initiés à l'agriculture par Enki et Enlil, les dieux qui sont descendus du ciel et leur ont apporté des graines de blé et d'orge. Les " Génies Célestes " ont aidé les Chinois à développer l'agriculture, et les " Seigneurs de la Sagesse " ont apporté des fruits et des céréales au Tibet, jusqu'alors inconnus sur Terre. Le deuxième fait remarquable : nulle part, dans aucun mythe et légende, une personne n'essaie même de s'attribuer le mérite du développement de l'agriculture !.. Naturellement, les dieux devaient résoudre non seulement ces tâches. Toute agriculture productive, comme déjà mentionné, exigeait un mode de vie sédentaire et une densité de population plus importante (par rapport à la communauté des chasseurs et des cueilleurs), ce qui, d'une part, simplifiait le contrôle du processus par les dieux, mais exigeait également la introduction de certaines règles pour le comportement des personnes dans des conditions inconnues pour elles. L'un entraîne inévitablement l'autre... Il est clair que l'élaboration "naturelle" de ces normes et règles par les hommes pourrait être retardée très longtemps, ce qui ne stimulerait en rien l'agriculture. Le processus ne pouvait clairement pas être laissé au hasard ... Par conséquent, les dieux ont dû résoudre ce problème par eux-mêmes. D'ailleurs, les mythes antiques rapportent également ceci : littéralement dans toutes les régions de « l'émergence » de l'agriculture et de la civilisation, les traditions de nos ancêtres affirment unanimement que les mêmes « dieux » ont établi parmi les gens les normes et les règles de vie, les lois et ordres d'existence commune réglée. Et cela est également indirectement attesté par des données archéologiques sur l'émergence carrément «soudaine» d'un certain nombre de civilisations anciennes développées (par exemple, en Russie, en Égypte ou en Inde) sans aucune «étape préliminaire». Ce fait ne trouve aucune explication "naturelle" du tout...

«Selon les données archéologiques, la communauté archéologique mondiale a reconnu la colonie de Kostenki, située dans la région de Voronej en Russie, comme le site le plus ancien d'une personne de type moderne, un Caucasien. Ce site a 50 mille ans. Et au 40e - 30e millénaire av. L'homme caucasoïde a peuplé toute la plaine russe »(E.N. Khrisanfova, 2000).

Elena Nikolaevna Khrisanfova (1927-2003) - scientifique russe, anthropologue. Pendant de nombreuses années - enseignant, professeur et professeur honoré de l'Université d'État de Moscou. Lomonossov, a enseigné un certain nombre de cours généraux et spéciaux en anthropologie à la Faculté de biologie de l'Université d'État de Moscou. Directions de l'activité scientifique : anthropogenèse, anthropologie physiologique, anthropologie de l'âge, aspects endocrinologiques de l'évolution humaine. Elle était engagée dans le développement des problèmes d'anthropogénèse, en particulier, la morphologie évolutive du squelette post-crânien, les premiers stades de l'anthropogénèse et l'émergence de l'espèce humaine moderne. Un des fondateurs de la direction d'anthropologie physiologique. Les travaux dans le domaine de l'anthropologie de l'âge ont porté principalement sur les problèmes d'accélération et de gérontologie. De nombreuses études ont permis à E.N. Khrisanfova pour synthétiser les trois principaux domaines d'intérêt scientifique ci-dessus et, sur cette base, pour identifier un certain nombre des modèles les plus importants de la croissance humaine. En particulier, le résultat de ces études a été la reconstruction du statut hormonal des Néandertaliens et l'évolution des processus de croissance dans la série des ancêtres de l'homme moderne.

Sur une base géographique, à savoir sur la base de son origine dans l'immensité de la plaine russe, nous appellerons ce type de personne - Protorus (variations locales plus étroites - Kostenkovets, Sungiriets, Mezinets, Avdeevets, etc.). À ce jour, le complexe de Kostenki a été reconnu comme l'habitat le plus ancien de l'homme moderne.

Reconstruction de l'apparence physique des Protorus-Caucasoids de la plaine russe du Paléolithique supérieur: à gauche se trouve un Sungir (établissement de Sungir, Vladimir, environ 30 mille ans), à droite - Kostenkovets (établissement de Kostenki, Voronezh région, environ 45 mille ans). Reconstitutions par M.M. Gerasimov.
Nos ancêtres slaves-aryens - Russ ont reçu des connaissances sur l'Univers, sur l'Absolu, sur les lois et les principes de l'existence de leurs précédents ancêtres de la Race Blanche - leurs Dieux il y a longtemps. Il y a 40 à 30 mille ans - Les Slaves-Ruses du nord de la Russie de la plaine russe de Kostenka (près de la ville de Voronezh) et de Sungir (près de la ville de Vladimir) connaissent l'écriture, la magie, l'astrologie et l'astronomie, le calendrier et l'arithmétique Compte. Ils vénèrent les Ancêtres et le Soleil. Ils croient à l'animation de toute la nature, à l'existence de l'âme et des esprits. Vers le 30-25e millénaire av. les connaissances astrologiques et astronomiques de la Russie slave ont atteint le plus haut niveau et leur ont permis de former les Vedas russes. Les objets d'art, combinés à d'importants enregistrements de contenu calendaire et astronomique, montrent un degré élevé de saturation de l'information avec des sources permettant d'étudier les sphères intellectuelles et spirituelles de la vie de la population aborigène du nord de l'Eurasie. Relativement tôt, les ancêtres du peuple russe se sont déclarés un brillant niveau de développement culturel non seulement dans le Paléolithique Kostenki, Sungir, mais aussi à Malte et dans de nombreuses autres régions précédemment considérées. Des vêtements en fourrure solide, des sculptures féminines (Vénus du Paléolithique), diverses habitations et outils, une variété de symboles slaves à croix gammée, la palette symbolique la plus riche (jusqu'à la proto-écriture), les rites funéraires les plus complexes. Trouve dans le sud de l'Oural - Arkaim - Ville-forteresse avec le "Pays des villes", datée de 4 mille ans avant JC. (les dernières recherches des scientifiques russes augmentent leur antiquité à 6 000 ans avant JC), ont non seulement confirmé les premières découvertes et recherches des scientifiques, mais ont également choqué le monde entier. Arkaim n'est pas seulement une ville fortifiée, mais aussi un temple, un observatoire astronomique, qui a une forme concentrique avec des cercles extérieurs et intérieurs isolés les uns des autres. Des rituels mystérieux ont été exécutés dans le carré central d'une forme carrée. La ville ressemblait à un carré inscrit dans un cercle - l'univers en miniature, orienté vers les objets astronomiques avec la plus grande précision. La haute culture des habitants d'Arkaim est prouvée par de nombreuses découvertes archéologiques - œuvres d'art, armes, objets rituels. Les Ruses possédaient non seulement exclusivement des technologies agricoles, des technologies de conception et de construction, mais également des techniques de métallurgie et de traitement des métaux hautement développées. Cependant, Arkaim, comme d'autres fouilles du "Pays des Villes", n'est que la plus petite partie de l'immense et mystérieuse culture de nos ancêtres, les anciens Aryens.

« Dans les hymnes sacrés du Rigveda, qui ont conservé la mémoire de ce qui existait avant même la création du Temps, la puissance et la gloire des dieux et des Asuras sont également chantées. Et de nombreux dieux sont même appelés Asuras - et Varuna, et Indra, et Surya, et le ciel lui-même. Et on dit aussi qu'Agni, qui brûle tout comme de l'herbe sèche, était égal aux Asuras, et ils pouvaient aussi lancer des éclairs du ciel. Et ils étaient comme le mois de Soma, et les brillants Ashvins, hérauts de l'aube. Mais ils différaient des dieux en ce qu'ils possédaient un pouvoir magique et, avec son aide, ils pouvaient créer l'invisible à partir du visible et l'audible à partir de ce qui ne pouvait pas sonner, et également soumettre ce qui était soumis à d'autres dieux. Même lorsque le seigneur des eaux, Varuna lui-même, n'avait pas la force de ramasser les nuages ​​et de les faire pleuvoir, il demanda aux Asuras de l'aider avec leur magie. Et bien que cet art secret n'était pas connu des dieux, tous les célestes étaient encore un et indivisibles à la fois dans le temps et dans l'espace ... »(N.R. Guseva« Mythes de l'Inde ancienne »*).

Natalya Romanovna Guseva (1914-2010), scientifique russe, historienne, ethnographe, docteur en sciences historiques, écrivain, dramaturge, indologue, experte bien connue de la culture indienne et des religions indiennes. Lauréat du Prix International. Jawaharlal Nehru, membre de l'Union des écrivains de Russie. Auteur de plus de 160 articles scientifiques sur la culture et les anciennes formes de religion des Indiens.

Au début, la civilisation des dieux apparaît comme un seul groupe soudé... Mais par la suite, les dieux sur Terre se divisent de plus en plus clairement en deux groupes. Les mythes les relient à différentes générations : par exemple, les dieux olympiques, selon la mythologie, sont les enfants des titans, et les dévas sont les frères cadets des asuras. Et une guerre éclate entre eux, qui avait un arrière-plan idéologique prononcé et est connue sous le nom de "lutte des Forces de la Lumière contre les Forces des Ténèbres", "la lutte du Bien contre le Mal".

"Comme l'a prouvé Bentley, la 'Guerre des Titans contre les Dieux' d'Hésiode, ainsi que la Guerre des Asuras ou Tarakamaya contre les Devas dans la légende des Puranas, sont identiques en tout, à l'exception des noms. Ainsi, du point de vue de la cosmologie, tous les Dragons et Serpents, frappés par leurs "Conquérants", sont par leur origine des principes rebelles, violents, désordonnés dans le Chaos... Dans le "Livre des Morts" ces principes sont appelés " Fils de la rébellion" ("Doctrine secrète", t .3, - Helena Petrovna Blavatsky, 1831-1891, écrivaine russe, philosophe, voyageuse, occultiste, théosophe et spiritualiste).

«Comme déjà mentionné, les dieux possédaient des armes très destructrices, leur guerre a donc eu les conséquences les plus tristes pour la civilisation des gens. Ainsi, si l'on se fie aux données de Manetho*, qui fixent un cadre temporel assez rigide, il s'avère que dans la période d'environ 3500 à 3100 ans. AVANT JC. un immense territoire (du moins de l'Inde à l'Europe centrale) a été touché par des événements dramatiques, et à certains endroits n'y a pas survécu ... Beaucoup à l'est en même temps, "de manière incompréhensible" et sans raison apparente , la culture indienne de Harappa et Mohenjo-Daro se meurt. Il meurt sans laisser de trace ... De plus, la civilisation Mohenjo-Daro n'est pas seulement en train de mourir, mais détruite à l'aide des armes mêmes que décrivent les mythes indiens. Les villes tombent rarement en décrépitude soudaine, et tout à Mohenjo-Daro suggère que la catastrophe est venue immédiatement. Il n'y a pas eu d'inondation - aucune trace d'un élément d'eau soudain n'a été trouvée. Peste? Mais ça ne frappe pas d'un coup. Les gens marchaient calmement dans les rues, que l'on peut voir à partir de plusieurs groupes de squelettes. Attaquer avec des armes conventionnelles ? Mais aucun des squelettes survivants ne porte de marques de coups. Météorite? Encore une fois, il n'y a pas de marques caractéristiques. Cependant, les ruines de la ville dans un rayon de 400 mètres ont conservé des traces de fonte soudaine et rapide à des températures dépassant largement les 1500 degrés Celsius. Des traces d'une puissante explosion ont également été trouvées. Une étude minutieuse de ces traces conduit à l'idée de la présence d'un épicentre typique d'une explosion nucléaire, et la force de destruction décroît du centre vers la périphérie. Par exemple, les bâtiments à la périphérie de la ville sont relativement bien conservés » (écrivain ufologue B.A. Shurinov « Le paradoxe du XXe siècle »).

Manéthon (Mer-ne-Jhuti, 285-222 av. J.-C.) est un ancien historien égyptien, grand prêtre à Héliopolis, auteur de la célèbre « Histoire de l'Égypte », écrite en grec. Le nom "Manetho" est la forme grecque du nom, la forme égyptienne du nom Manetho remonte à l'ancien égyptien "Mer-ne-Jhuti", qui peut être traduit par "Amoureux de la connaissance". Il est le seul auteur égyptien ancien connu de nous qui a compilé un ouvrage historique à part entière sur l'histoire de l'Égypte ancienne - "Histoire de l'Égypte" ("Égypte", "Αἰγυπτιακά") en trois livres. L'œuvre de Manéthon est considérée comme historique au sens moderne du terme (contrairement aux chroniques historiques antérieures de l'Égypte ancienne telles que les Annales de Thoutmosis III, qui ne tiraient pas de conclusions ou de conclusions, mais énonçaient simplement des événements), écrites sur le modèle de l'Histoire d'Hérodote. Manéthon appartient à la division de l'histoire de l'Égypte en 30 dynasties et en périodes de l'Ancien, du Moyen et du Nouvel Empire. Il est également l'auteur d'un certain nombre d'ouvrages historiques, physiques et astronomiques qui n'ont pas survécu. Héliopolis, où Manéthon était le grand prêtre, était l'une des villes les plus anciennes et les plus importantes de l'Égypte ancienne, située au nord-est du Caire moderne. À Héliopolis, il y avait le principal centre de culte pour le Dieu suprême du Soleil (à l'origine Atoum, puis Atoum-Ra) et le cycle de divinités qui lui est associé - le "Grand Neuf Jun" - l'Ennéade. Les Grecs ont identifié Atoum et Ra avec Hélios, d'où le nom grec de la ville - Ἡλίουπόλις ("Cité du Soleil"). Ennéade (grec Ἐννεάς - "neuf") sont les neuf principaux dieux de l'Égypte ancienne, qui sont apparus à l'origine dans la ville d'Héliopolis. Le plus ancien système théogonique et cosmogonique connu en Égypte. Les dieux de l'Ennéade étaient considérés comme les premiers rois d'Égypte. Dans d'autres villes d'Égypte, leurs neuf dieux ont été créés sur le modèle d'Héliopolis. Dieux de l'Ennéade : Ra (Atoum, Amon, Pta, Ptah) - provient de l'eau originelle Chaos Nun ; Shu - air; Tefnout - humidité; Geb - terre; Nut est le ciel. divinité féminine; Osiris - le dieu des enfers; Isis - déesse de la fertilité; Seth - la personnification du tonnerre, de la foudre, des éléments naturels, le seigneur de la force vitale; Nephthys (Neftis, Nevtis) est la déesse des enfers, la seconde sœur d'Osiris.

Cela ne signifie pas que les armes étaient précisément nucléaires. Les dieux pourraient bien avoir une technologie qui nous est inconnue. De plus, il existe des preuves que les dieux de la lumière étaient en guerre avec les dieux des ténèbres. Les Védas slaves-aryens disent qu'il existe de nombreux mondes dans l'Univers - à la fois à notre échelle et à d'autres niveaux, y compris à des niveaux très, très subtils. La transition d'un être vivant intelligent d'un monde à un monde plus subtil n'est possible qu'avec la perte d'un corps dense et seulement avec le développement d'une spiritualité toujours plus élevée. Par conséquent, il y a ce qu'on appelle le Chemin d'Or du Développement Spirituel, qui a ses propres schémas associés, tout d'abord, à la disponibilité de la connaissance. Les Védas déclarent : « Dans les temps anciens, Chernobog a décidé de contourner les Lois Universelles de l'ascension le long du Chemin d'Or du Développement Spirituel, de retirer les Sceaux de Sécurité de l'Ancienne Sagesse Secrète de son Monde pour les Mondes Inférieurs dans l'espoir que, selon le Loi de Correspondance Divine, les Sceaux de Sécurité de l'Ancienne Sagesse Secrète de tous les Mondes du Plus Haut. Le noble Belobog a uni les Forces de la Lumière pour protéger les Lois Divines, à la suite desquelles le Grand Assa a déclenché - une guerre avec les Forces des Ténèbres des Mondes Inférieurs. Les Forces de la Lumière ont gagné, mais une partie des Connaissances Anciennes est quand même entrée dans les Mondes Inférieurs. Ayant acquis la Connaissance, les représentants de ces Mondes commencèrent leur ascension le long du Sentier d'Or du Développement Spirituel. Cependant, ils n'ont pas appris à faire la distinction entre le Bien et le Mal et ont commencé à essayer d'introduire des formes de vie basses dans les régions bordant le Monde des Ténèbres, où les Salles Célestes (constellations) de Mokosh (Ursa Major), Rada (Orion ) et Race (Petit et Grand Lion) sont tombés. Pour que les Forces des ténèbres ne puissent pas pénétrer les Terres de Lumière, les Dieux Protecteurs ont créé une Frontière protectrice, qui traversait les Terres et les Étoiles des Halls indiqués, ainsi que les Mondes de Révélation (notre monde), Navi (le monde de les morts) et Rule (le monde des dieux). Notre planète est également sur cette frontière, et l'humanité est un témoin et un participant aux guerres.

Ainsi, dans la période allant du milieu du 5e au tournant du 3e au 4e millénaire, la civilisation agricole développée est tout simplement détruite non seulement dans son mode de vie, mais aussi dans l'idéologie dominante. Et seulement des milliers d'années après cela, les "misérables fragments de l'ancienne grandeur", préservés et développés dans la civilisation crétoise-minoenne, ont donné une impulsion au développement européen en la personne de la Grèce antique (bien que déjà sous la forte influence des Phéniciens) ... Nous devons être d'accord avec la conclusion d'Helena Blavatsky selon laquelle derrière la lutte du "Bien" avec le "Mal" se trouvaient, tout d'abord, les différences idéologiques les plus profondes, et par conséquent, les différences idéologiques. Et ce n'était pas seulement une lutte pour le pouvoir, mais la "guerre civile" la plus brutale des représentants de deux idéologies antagonistes pour la domination, une guerre pour exterminer la partie adverse.

Notre civilisation est loin d'être la seule et non la limite du développement. Oui, ce n'est pas facile à admettre. Et c'est beaucoup plus difficile que de simplement suggérer théoriquement la possibilité d'une raison quelque part dans l'Univers en dehors de la Terre, ici nous parlons déjà directement de notre vie ... De plus, ce problème va bien au-delà de la simple reconnaissance du fait des événements qui s'est passé. Après tout, si une civilisation extraterrestre intervenait dans nos vies dans un passé lointain, il serait insensé de nier la possibilité d'une telle ingérence dans le présent réel ... Et cela nous amène à une nouvelle gamme de problèmes et à une approche fondamentalement différente à la vie en général. Quel genre d'ingérence cela peut-il être, à quelles fins, et qu'est-ce que cela implique pour nous ?

Nous savons très bien quels ont été les «bienfaits» de la civilisation, que l'ère des «grandes découvertes géographiques» a apportés à de nombreux peuples d'autres continents. Soit ils ont disparu de la surface de la Terre, soit ils ont été contraints de perdre leur identité, de quitter leur propre voie de développement. Quoi, effrayant d'un point de vue possible ? Les extraterrestres ont interféré avec nos vies. "Quelle horreur!" est une réaction courante.

La confrontation entre le "Bien" et le "Mal" envisagée ci-dessus a en effet toujours existé et existera, et ce processus est sans fin. Le cœur de la philosophie védique dans la lutte des contraires et de l'harmonie. Par conséquent, nous, les Rus, devons clairement comprendre les forces réelles qui se cachent derrière tout cela dans le monde moderne et, dans cet esprit, construire notre propre plan de vie équitable basé sur la véritable histoire de notre peuple et de la civilisation mondiale tout entière. Notre foi slave est basée sur la vision du monde philosophique et védique russe. Cela signifie la reconnaissance des lois universelles cosmiques, la vénération des dieux russes et de notre famille slave, dont les représentants sont nos ancêtres et nos parents.

L'avènement de l'ère nouvelle est l'un des moments importants de l'état actuel de notre société. Dans la compréhension de nombreux penseurs de différentes époques et peuples, cet état est caractérisé par les facteurs selon lesquels à la fin de 2012 un événement inévitable se produira : la transition de toute l'humanité vers un niveau d'énergie différent de son existence. D'autres noms pour ce processus sont l'ascension planétaire de l'humanité ; saut évolutif quantique; transition vers la 5ème dimension et autres.

Dans nos sources védiques russes, conformément à la science slave-aryenne, cette période est également considérée comme la transition en 2012 de notre système solaire de la zone contrôlée par les mondes obscurs à la région Lumière de la galaxie. Notre Yarilo-Sun est situé dans la structure galactique du Swati Star System, également appelé la Voie lactée. Swati est représenté par une croix gammée du côté gauche.

Dans la partie inférieure de l'un des bras à croix gammée de Swati se trouve notre Yarilo-Sun, qui est inclus dans la constellation de Zimun - la «vache céleste» ou actuellement la «Ursa Minor», ​​étant la huitième étoile de cette constellation. Le Yarilo-Sun tourne avec le bras de la galaxie autour de son centre et fait une révolution complète en environ 250 millions d'années. De plus, notre système solaire tourne également le long de la circonférence extérieure de la manche, autour de son centre, et passe périodiquement soit du côté du cercle faisant face aux Ténèbres, soit du côté faisant face à la Lumière - au centre de la galaxie. Cette période de rotation du Yarila-Soleil autour de la partie centrale de la manche s'appelle le Cercle de Svarog et est de 25920 ans. L'humanité et toute la vie organique sur Terre subissent des influences émanant de différentes sources et de différents mondes - l'influence de la Lune, des Planètes, du Soleil et des Étoiles. Toutes ces influences agissent simultanément. Mais pour le moment l'un d'eux prévaut, dans l'autre - l'autre. Au cours de son mouvement, le système de notre Soleil est sous l'influence de radiations émanant de l'une ou l'autre Salle Céleste (Constellation).

Une nouvelle ère arrive, la position et l'influence des objets spatiaux changent, la conscience de l'homme s'éveille. Actuellement, la Terre est à la veille du changement de nuit Svarog en jour Svarog. Une caractéristique de la période moderne est qu'il y a maintenant deux époques en même temps, celle qui part et celle qui arrive. C'est l'Aube, où la nuit est toujours présente, mais le jour commence déjà. L'influence de la Salle du Renard se transformera en influence de la Salle du Loup. Les radiations galactiques commenceront à changer, l'influence d'autres objets spatiaux sur Midgard-Earth et le microcosme humain commenceront à prévaloir, ce qui entraînera sans aucun doute un changement dans les conditions de vie sur Terre. Et ce sont des raisons objectives !

D'après les informations contenues dans les Védas russes et d'autres sources slaves-aryennes, il s'ensuit (maintenant cela est déjà confirmé par la science moderne) que de dures années attendent la planète Terre et l'humanité. Période 2012-2015 - ce sont les années des changements énergétiques et climatiques mondiaux, suivis des changements dans l'état mental des gens, et des changements sociaux et politiques.

Ce n'est pas la première fois que cela se produit, et la survie de l'humanité est entre les mains des peuples eux-mêmes. La tâche de chaque Rus est de préparer son Esprit, son Âme et son Corps aux nouveaux flux d'énergie qui ont déjà commencé à se diriger vers la Terre. Nous devons réapprendre à comprendre le monde de la nature et à communiquer avec lui, comme nos grands ancêtres slaves-aryens - les dieux russes ont pu le faire, pour avoir la capacité de vivre dans le monde des fluctuations subtiles et dans le monde des hautes énergies. charges. La Terre ne peut pas être guérie et transférée dans une autre réalité tant que la majorité de ses habitants ne sont pas guéris.

La situation est différente avec les corps subtils humains - mentaux, spirituels. Dans la vie ordinaire, quand chaque fois que nous quittons notre maison et sortons dans la rue, où nous communiquons avec diverses personnes, nous courons le risque d'infecter notre corps subtil avec des virus énergétiques - nous étions impolis, criions, nous disputions avec quelqu'un, regardions de travers , souhaité quelque chose de mal, etc. Après tout, le mot a du pouvoir ! Et vous devez suivre cela dans votre vie : quels mots entendez-vous le plus dans votre adresse, comment et que dites-vous. Parce qu'en fin de compte, cela affectera votre destin.

La réalité de la vie est l'interconnexion et l'interdépendance de tout. Unité dans la diversité et l'équilibre. Tout nous influence, les énergies des planètes les plus proches du système solaire, les énergies des personnes qui nous entourent, l'influence énergétique de la nature, des animaux, l'énergie des villes, des bâtiments. Nous influençons également tout avec nos énergies. La vie dans toute son infinie diversité est ordonnée, soumise à des lois cosmiques uniformes.

Dans ce cas, la Terre est considérée comme un minuscule grain de poussière dans l'Univers. L'Univers est présenté comme un système de mondes multiples, s'interpénétrant, s'influençant les uns les autres. Le système est très cohérent et harmonieux. Ensuite, il y a une idée de l'Absolu universel - la source de l'existence des mondes et de l'harmonie universelle. Il y a une connaissance qu'une personne est comme l'univers, est un microcosme, c'est-à-dire qu'elle contient les mêmes énergies que l'univers entier, obéit aux mêmes lois communes à l'univers entier.
Pour que la vie ne consiste pas seulement en petits tracas, luttes et souffrances, pour qu'elle devienne un processus conscient, créatif, joyeux, il est nécessaire de changer de point de vue sur beaucoup de choses, d'acquérir des idées complètement différentes sur la l'univers et sur l'homme. Et l'homme est une petite particule d'être universel, une particule de vie universelle et en même temps une partie de la nature de la planète Terre. Une partie de la société humaine et une partie de la vie universelle.

Le peuple russe doit cesser d'être une petite chaîne tirée par le flux de la vie d'un événement à l'autre. Ils doivent apprendre à comprendre le sens de chaque événement, cesser de croire naïvement que la vie est une collection d'accidents. Bien sûr que non. Tout n'est pas accidentel. Tout a un sens profond, tout a une raison, et tout ce qui nous arrive dans la vie aura une conséquence.

La transition de l'humanité vers un nouveau niveau d'énergie de son existence dans la période précédant l'aube de la Nouvelle Ere et l'ascension planétaire de l'humanité ne peuvent se produire qu'en suivant le plus haut niveau de développement spirituel et physique, qui devrait être inextricablement lié . Notre objectif est d'apprendre aux gens à vivre à nouveau en harmonie avec la nature, à se sentir comme une partie de celle-ci, à leur apprendre à vivre en harmonie dans la société humaine. En d'autres termes, l'homme doit se sentir être un être triple. Une partie de la vie universelle, une partie de la vie naturelle et une partie de la société humaine.

Pour que notre Terre et notre galaxie se développent, pour que la matière ordinaire se transforme en un capable de générer diverses formes de vie, diverses Forces et Énergies sont nécessaires, les personnifications dont nos ancêtres slaves-aryens appelaient les Dieux et Déesses les plus élevés. Le livre de Veles en parle clairement : « Et ainsi nous avons proclamé gloire aux dieux, qui sont nos pères, et nous sommes leurs fils. Et nous serons dignes de leur pureté de nos télés et âmes, qui ne mourront jamais. Et ils ne meurent pas à l'heure de la mort de nos corps... "Et chaque jour nous regardons vers les Dieux, qui sont la lumière. Nous l'appelons: Svarog, Perun, Dazhdbog, Veles, Yar et d'autres noms.

Selon nos sources védiques russes, nous pouvons et devons communiquer directement avec nos dieux, en contournant tout intermédiaire. Nous n'avons besoin d'aucune religion pour cela, et plus encore, nous n'avons pas besoin de prêtres judéo-chrétiens et d'autres sectaires et sectes.

Nous sommes Russ - Aryens - Slaves - As, et nous avons nos propres Dieux Russes - Nos Ancêtres !

Il faut garder à l'esprit qu'une personne est un microcosme et que sa structure est créée à partir d'énergies spéciales avec différents degrés de densité. Il a plusieurs corps énergétiques qui se pénètrent.

Au sens figuré, nos ancêtres nous ont conservé ce concept sous la forme d'une poupée gigogne, où chaque poupée gigogne est placée l'une dans l'autre. L'homme, contrairement à un représentant du monde animal, est doté de la capacité de percevoir, de rayonner et de créer des informations avec tous ses corps de densités diverses. D'un point de vue informationnel, notre corps est un "mécanisme cosmique biologique" dans lequel sont intégrés des programmes de vie très complexes, multicouches, multi-étapes et multi-étapes. Déjà à partir de la fécondation, un programme commence à fonctionner, remplissant avec précision et persistance le plan biochimique et génétique pour la formation du corps. De plus, avec notre développement, les programmes, les tâches, les conditions changent, les informations sont mises à jour en permanence. De manière simpliste, nous pouvons comparer cela à un programme informatique, où il existe un risque très réel d'infection des programmes par divers virus, et les programmes humains peuvent également être affectés par un virus informatique. L'écran de notre "mécanisme cosmique biologique" est la conscience, qui ne reflète que les résultats des programmes de travail de la vie, et les processus eux-mêmes se déroulent dans le subconscient ou dans le superconscient.

Pour une vie à part entière, en plus de la nourriture et de l'eau, des énergies et des informations subtiles sont nécessaires. Nous les puisons dans l'espace environnant et dans d'autres objets lors d'échanges d'informations énergétiques. Tout le monde le sait intuitivement : lorsque l'apport d'énergie vitale du monde extérieur diminue ou qu'un virus s'installe en nous (parfois les gens l'appellent dommage, le mauvais œil), la fatigue chronique commence à s'accumuler - des problèmes de santé et de bien-être surviennent. De plus, si un être vivant ne prend pas de mesures urgentes pour corriger la situation, sa vie prendra fin.

La vraie connaissance de la vie, de l'univers, de l'homme et de Dieu a toujours existé sur terre. Conformément à cette connaissance, l'univers est éternel, représente un système de mondes harmonieux et interpénétrants, régis par des lois et des principes uniques et universels, immuables, immuables, réels et efficaces, que la société humaine les connaisse ou non. Toutes les personnes, d'une manière ou d'une autre, consciemment ou inconsciemment, interagissent avec les énergies cosmiques qui entrent en elles par l'envoûtement des corps (chakras), par les cheveux, par les canaux énergétiques, etc. Il ne faut pas oublier non plus que chaque personne a ses propres caractéristiques de perception des flux énergétiques, qui dépendent largement du niveau de son développement. Il y a un cycle d'énergie dans l'Univers, car "rien n'est pris de nulle part et ne disparaît nulle part". Par conséquent, en réponse à l'énergie reçue, nous devons envoyer notre énergie, transformée en amour, gratitude, etc.

Aujourd'hui, toute la Famille Slave doit redécouvrir les connaissances que possédaient nos grands ancêtres pour réapprendre à vivre dans la Vérité, la Santé et le Bonheur. En utilisant les énergies divines, nos ancêtres pouvaient contrôler les éléments de la nature, et donc cultivaient des récoltes abondantes, maintenaient leur santé et leur force. Dans le monde moderne, cette compétence est perçue comme un miracle, mais les temps changent et son importance et son besoin augmentent chaque jour.

Malheureusement, aujourd'hui, beaucoup de gens, grâce au système moderne d'éducation et d'éducation, ont supprimé la capacité et l'opportunité «fermées» de communiquer avec les dieux, de sorte qu'ils n'entendent pas et ne ressentent pas ce que l'Univers leur dit à travers eux. Cela ne permet pas aux gens d'utiliser génétiquement les opportunités qui leur sont inhérentes pour créer délibérément leur vie. Mais en commençant à travailler consciemment avec les flux d'énergie, une personne se transforme, reçoit une charge spirituelle positive et une confiance ferme en l'avenir.

Nous sommes obligés de changer pour le mieux, car l'avènement de l'ère nouvelle est une sorte de processus historique global - un tournant dans la formation et le développement d'une nouvelle civilisation plus progressiste, prenant en compte toutes les raisons subjectives et objectives de la véritable voie de toutes les époques et civilisations précédentes.

À suivre…

Evgueni Tarassov.

Les faits les plus brillants qui réfutent la version traditionnelle de l'histoire de la planète Terre

Quand les dinosaures ont-ils réellement disparu ? Le territoire de la Russie actuelle a-t-il été habité pendant la "période glaciaire" ? Combien de civilisations anciennes existaient sur la planète Terre et quel était leur niveau de développement technologique ? Est-il vrai que les gigantesques étendues du nord de la plaine russe, de l'Oural, de la Sibérie et de l'Extrême-Orient sont restées inhabitées jusqu'au New Age ? Quelles traces de civilisations anciennes ont été trouvées sur le territoire de la Russie actuelle ? Pourquoi les faits disent-ils une chose et les scientifiques disent-ils quelque chose de complètement différent ? Combien d'autres preuves irréfutables de l'existence des plus anciennes civilisations hautement développées ont été trouvées dans le monde ? Ce film ne contient que quelques-uns des faits les plus frappants qui contredisent l'histoire officielle qui domine le monde scientifique aujourd'hui. Des scientifiques, écrivains et voyageurs russes bien connus Andrei Burovsky, Georgy Sidorov et Vitaly Sundakov partageront leurs réflexions sur ce qu'était réellement l'histoire de l'humanité.

Chaque habitant de la Terre, qui a eu la chance d'étudier à l'école, reçoit à peu près le même ensemble d'idées sur le passé de notre planète et de ses habitants. On pense qu'il y a environ 3 milliards d'années, la vie est née ici. Cela s'est développé, est devenu plus compliqué - et maintenant, il y a 2,5 millions d'années, quelque part en Afrique, la première personne est apparue qui marchait fermement sur deux jambes et a pris un club dans ses mains pour se protéger (encore incertain).

Pendant 2 millions d'années, il a vécu dans les arbres et dans des grottes de montagne difficiles d'accès. Il était engagé dans la cueillette - il cherchait des baies comestibles, des noix, des fruits d'angiospermes. Il extrayait des mollusques marins et fluviaux en eau peu profonde, les fendait et les mangeait crus. Ramassé charogne fraîche - les restes de la proie de quelqu'un d'autre.

Plus tard, il y a environ 300 000 ans, il maîtrisa la technologie de la chasse conjointe en utilisant les armes les plus simples. Dépourvu de crocs et de griffes acérées, notre lointain ancêtre a commencé à utiliser des morceaux de roche anguleux. Et au fil du temps, il a même appris à en fabriquer des haches et des lances en pierre. Les peuples primitifs se sont rassemblés dans des brigades de chasse - et ensemble, ils ont chassé de grands et de petits animaux. Puis ils se partagèrent le butin et vivaient en petites tribus, se défendant des animaux sauvages et des tribus hostiles. C'est ainsi que la société humaine est finalement apparue. Peu à peu, le nombre de peuples primitifs a tellement augmenté qu'ils ont commencé à se disperser sur toute la planète, peuplant l'Europe, l'Asie, les Amériques et l'Australie. Une image familière, n'est-ce pas ?

De plus, lorsque nous disons « Europe », dans ce cas, nous entendons uniquement la partie sud de l'Europe occidentale. Et tout le nord du continent eurasien à cette époque, selon les scientifiques, était occupé par un glacier de plusieurs kilomètres qui n'a fondu qu'il y a 15 à 10 000 ans.

Et nous voilà face à la première contradiction sérieuse. Dans la seconde moitié du XXe siècle, plusieurs découvertes archéologiques de grande envergure ont été faites sur le territoire de la Russie, ce qui a mis en doute la théorie de la glaciation. En creusant une fosse de fondation dans la région de Vladimir, les constructeurs ont accidentellement découvert un lieu de sépulture d'anciens peuples. Plus tard, il deviendra le site archéologique de Sungir, mondialement connu, dont l'âge, selon certaines estimations, atteint 28 000 ans. Les anciens qui vivaient à Sungiri n'étaient pas différents de nous, leurs lointains descendants. Ils étaient grands (jusqu'à 187 cm), avaient la peau blanche et le même volume cérébral que le nôtre. Ils avaient une civilisation développée avec un haut niveau de technologie pour cette époque. Ils savaient redresser un os de mammouth et se cousaient des manteaux en peau de mouton à la mode, en les décorant de strass (perles d'os multicolores). D'accord, c'est plutôt étrange pour les peuples primitifs qui, il n'y a pas si longtemps, sont descendus des arbres.

Une autre découverte frappa encore plus le monde scientifique. En Sibérie occidentale, dans le territoire de Krasnoïarsk, près de la ville d'Achinsk, sur des terres qui ont toujours été considérées comme "non historiques", l'archéologue soviétique Vitaly Larichev a découvert un objet étrange qui ressemblait à une baguette avec un motif en spirale. Après une étude minutieuse, ce motif, composé de 1065 petites icônes, s'est avéré être un calendrier luni-solaire pendant plusieurs années. Quelque chose comme un calendrier souvenir moderne, que nous posons sur notre table. Seulement immédiatement pendant 3-4 ans. La nature du calendrier permettait d'affirmer que ses compilateurs avaient de sérieuses connaissances dans le domaine de l'astronomie et pouvaient prédire les éclipses lunaires et solaires. Cette découverte a été surnommée la "baguette d'Achinsk". Son âge est d'environ 18 000 ans. C'est le plus ancien calendrier sur terre. Et en plus assez précis.

Comme vous le savez probablement, la Sibérie a un climat très rigoureux encore aujourd'hui, alors qu'il n'y a pas de glacier sur le continent eurasien. Le thermomètre en hiver descend à moins 50 degrés. Qu'aurait-il dû y avoir lorsque le congélateur de plusieurs kilomètres du glacier de Wurm se trouvait littéralement à quelques centaines de kilomètres et que tout le territoire était recouvert de pergélisol ?.. La vie civilisée et... la science fondamentale sont-elles possibles dans des conditions aussi difficiles ?. Dans la grotte Denisova, les restes d'une fille qui a vécu il y a 75 000 ans ont été retrouvés. Maintenant, le terme "homme Denisovsky" est apparu dans la science. Les archéologues suggèrent que déjà à partir de la période de 40 000 ans avant JC, "l'homme Denisov" habitait les vastes territoires de la Sibérie occidentale. Rappelons encore une fois que les historiens modernes considèrent la Sibérie comme une « terre non historique », prétendument il n'y aurait jamais eu de centres de civilisation. Tous les foyers ne se trouvent généralement qu'au Moyen-Orient et en Europe occidentale. Mais voici la malchance - il s'avère que les découvertes archéologiques sibériennes sont plusieurs fois plus anciennes que leurs homologues dans d'autres parties du monde. Il s'avère que les gens vivent en Sibérie depuis des temps immémoriaux. Ne pourraient-ils pas créer la culture, la science et au moins le statut d'État le plus simple ? ..

Et la découverte faite au-delà du cercle polaire arctique, en Yakoutie, à l'embouchure de la rivière Berelyokh, ne rentre pas du tout dans la théorie de la glaciation. Un site de peuples primitifs y a été trouvé, qui - ATTENTION ! — des mammouths apprivoisés ! Oui, oui, les mammouths ont été apprivoisés et utilisés comme animaux de compagnie. Comme vous l'avez compris, les mammouths sont de très gros animaux, plus gros que les éléphants et bien plus gros que les vaches. Ils doivent manger beaucoup pour ne pas perdre de poids. Par conséquent, ils ne peuvent tout simplement pas vivre dans des territoires de pergélisol. Ils ont besoin de prairies envahies d'herbes et d'arbustes luxuriants ... Quelle conclusion peut-on en tirer? Un seul : dans l'Antiquité, au nord de la Sibérie, il y avait un climat assez doux. Le soleil généreux y brillait, des vents chauds soufflaient et la végétation faisait rage.

Soit dit en passant, l'habitation des mammouths au-delà du cercle polaire arctique actuel n'est plus un secret pour les scientifiques et les habitants ordinaires de ces latitudes - les peuples du nord, ainsi que les scientifiques, chercheurs et travailleurs russes. Le fait est que dans le nord de la Russie, dans le pergélisol, les défenses de mammouth ont toujours été trouvées et se trouvent aujourd'hui en quantités proches de celles industrielles.

Parmi ceux-ci, les peuples du nord de l'Antiquité fabriquaient des articles ménagers (par exemple, des couteaux en os et des fers de lance), ainsi que des œuvres d'art. Dans les musées historiques de presque toutes les grandes villes russes, de nombreux squelettes et même des momies de mammouths sont exposés.

Et dans la zone de pergélisol, les chasseurs et les éleveurs de rennes trouvent parfois de la viande de mammouth congelée à ce jour. Faute d'une meilleure utilisation, ces gens ordinaires en donnent à manger aux chiens.

Que voyons-nous ? Là où, selon les scientifiques, un glacier géant gisait et où régnait une désertion complète, il s'avère que des gens assez civilisés vivaient assez bien. Ils étaient engagés dans l'agriculture, élevaient du bétail, développaient leur culture et leur science... Et tout cela est conforme aux données archéologiques officielles. Il s'avère que la version scolaire de l'histoire en la matière est erronée ? ..

Et ce n'est qu'une partie des découvertes faites en Russie. Dans d'autres pays et sur d'autres continents, non moins de découvertes ont été faites qui réfutent complètement la version traditionnelle de l'histoire, et leur visibilité est parfois tout simplement étonnante. Une expédition de chercheurs russes dirigée par Andrey Sklyarov a découvert au Pérou et en Bolivie sur les ruines d'anciennes villes des traces d'une civilisation qui possédait déjà il y a 10 000 ans des technologies de construction dont la science de l'ingénierie moderne est encore très loin.

Surtout, les scientifiques d'aujourd'hui sont frappés par le phénomène de la soi-disant maçonnerie polygonale. Lorsque les grands blocs de pierre ne sont pas de taille standardisée, mais parfaitement adaptés les uns aux autres en fonction des caractéristiques de leur forme, y compris les plus petits renflements et pentes. Grâce à cet ajustement, les blocs se superposent comme des puzzles et tiennent parfaitement sans aucun mortier.

À propos, les blocs des pyramides égyptiennes sur le plateau de Gizeh sont posés de la même manière. Les chercheurs trouvent quelque chose de similaire en Russie. Un exemple en est la découverte récente à Gornaya Shoria, faite par l'expédition de Georgy Sidorov. En essayant d'imaginer avec quels outils il était possible de poser les pierres de cette manière, les chercheurs russes ont avancé plusieurs hypothèses, chacune supposant le plus haut niveau de progrès technique. Une autre hypothèse suggère une méthode actuellement inconnue d'adoucissement chimique ou thermique de la pierre à l'état de pâte à modeler. Cette prétendue technologie était conditionnellement appelée "argile".

Les membres de l'expédition d'Andrey Sklyarov ont voyagé dans le monde entier et ont trouvé dans de nombreux endroits des traces de traitement mécanique de haute technologie sur les bâtiments les plus anciens, dont l'âge est caché par la brume des millénaires. Y compris des traces de scies circulaires et de meulage sur un tour. Voici un exemple du Liban, des ruines de l'ancienne ville de Baalbek. Récemment, les scientifiques du monde entier pensent de plus en plus que le moment est venu de reconsidérer nos idées sur le développement de la civilisation humaine.

Au Mexique, le musée d'histoire locale de la ville d'Ikka possède une immense collection de pierres gravées de scènes de la vie d'anciens peuples qui vivaient côte à côte avec des dinosaures. Ils ont été collectés au milieu du XXe siècle par le chirurgien et aristocrate espagnol local Javier Cobrero. Un millier et demi des dessins les plus complexes sont appliqués sur des morceaux de granit coulés dans l'eau. Il est difficile de le faire même avec l'aide d'appareils modernes. Et dans la collection du Dr Cobrero, il y a plus d'un millier et demi de ces pierres. Le plus étonnant est que certaines pierres représentent des animaux anciens connus uniquement des spécialistes. Comment les Indiens, peu familiarisés avec la paléontologie, pourraient-ils connaître les caractéristiques structurelles des animaux disparus ? ..

Les chercheurs suggèrent que les pierres d'Ikki sont une sorte de bibliothèque conçue pour stocker une variété de connaissances et les transmettre à la postérité. Par conséquent, la collection du Dr Cobrero s'appelle une lithoteque. En plus des dinosaures, les pierres représentent des scènes de procédures médicales, y compris des opérations aussi complexes que les opérations abdominales et la craniotomie. Vous pouvez même voir des appareils d'anesthésie profonde et un anesthésiste ! D'autres pierres représentent des cours d'astronomie et même des avions stylisés.

Le monde scientifique a choisi de rejeter ces découvertes, les qualifiant d'artisanat des Indiens locaux à vendre aux touristes. Souvenirs en général. Mais dites-moi, qui peut appliquer des dessins complexes sur du granit dur ? Faites des milliers de ces articles dans le même style? Représenter avec une précision scientifique des animaux qui se sont éteints il y a plusieurs millions d'années et qui ne sont pas tous décrits, même dans les manuels modernes ? Pour transmettre des processus complexes à l'aide de dessins, même des opérations abdominales et craniocérébrales ? Et tout cela dans le but d'essayer de vendre aux touristes à bas prix (les pierres d'Ikki n'ont jamais été dans le prix)?.. D'accord, la combinaison de ces facteurs exclut complètement toute production artisanale.

Dans une autre partie du Mexique, au milieu du XXe siècle, d'innombrables figurines en céramique ont été trouvées représentant des dinosaures dans tous les détails possibles. L'aristocrate blanc local Waldemar Julsrud a embauché des paysans ordinaires avec son propre argent, et pendant 7 ans, ils ont extrait ces personnages du sol pour lui avec de simples pioches et pelles. Naturellement, avec cette méthode d'excavation, la plupart des figurines étaient simplement cassées. Et Julsrud ne payait les paysans que pour des figurines entières. Combien d'artefacts sont morts dans le processus, on ne peut que deviner. Mais il y avait tellement de survivants que l'aristocrate a dû dépenser toute sa fortune pour eux.

Et tout comme les pierres de la lithothèque du Dr Cabrero, les figurines de Valdemar Julsrud nous montrent des dinosaures cohabitant pacifiquement avec les humains. Cette figurine représente une femme avec un petit bébé dinosaure dans les bras. Des études en laboratoire ont montré que l'âge des figurines de la collection Julsrud est de 3 à 6,5 mille ans. Supposons qu'il y a six mille ans, les gens ne voyaient plus de dinosaures, mais les sculptaient dans de l'argile selon une ancienne tradition transmise par les générations précédentes. Mais même dans ce cas, la tradition pourrait durer un - deux millénaires au maximum. Après cela, sa signification serait perdue et le style général des figures changerait inévitablement. Cependant, nous avons des images anatomiquement détaillées d'anciens lézards. Il est difficile de se débarrasser de l'idée qu'ils ont été sculptés d'après nature. De plus, les petits enfants le faisaient à leur guise à la maternelle. Il s'avère que soit les dinosaures ne se sont pas éteints il y a 65 millions d'années, soit ... c'est même effrayant à supposer ... ou des personnes de type moderne vivent sur Terre depuis plusieurs millions d'années.

Un oiseau de feu ordinaire, dites-vous ? Mais un paléontologue professionnel reconnaîtra rapidement dans ce dessin une image stylisée d'un fororacus, un ancien oiseau de proie géant qui vivait sur Terre à l'époque du Miocène, c'est-à-dire il y a environ 20 millions d'années. Le fait qu'il ne s'agisse pas d'un pigeon ou d'un grand tétras ordinaire est indiqué par plusieurs caractéristiques. Premièrement, les pattes d'autruche sont trop longues pour notre faune. Deuxièmement, d'autres créatures à plumes, de taille beaucoup plus petite, sont représentées sur la broderie à titre de comparaison. Troisièmement, également à titre de comparaison, à côté des oiseaux, une personne est également représentée, qui atteint à peine la poitrine d'oiseaux géants (comme c'était vraiment le cas - fororacus a atteint une hauteur de 2,5 mètres). Au fait, faites attention à l'image étrange d'une tête humaine. Ça ne vous rappelle pas une combinaison spatiale ?..

Et voici des dessins d'autres nappes, serviettes et foulards slaves.

En général, selon l'anthropologue Georgy Sidorov, on peut souvent voir des animaux éteints et des plantes disparues sur des broderies slaves, des plats et des motifs d'architraves en bois sculpté. Des dessins similaires se retrouvent également dans les ornements d'autres peuples. Notre conscience refuse d'accepter ce fait, alors nous interprétons tous ces lézards, dragons et oiseaux de feu comme des créatures fabuleuses, fruit de la fantaisie folklorique. Mais que se passe-t-il si nous nous trompons ?

Nos lointains ancêtres pouvaient-ils voir tous ces animaux de leurs propres yeux ? Théoriquement, des représentants individuels d'espèces fossiles pourraient survivre jusqu'au début de l'âge de pierre. Pourtant, ils étaient des animaux à sang chaud et savaient s'adapter. Mais la probabilité d'un tel phénomène peut être assimilée à un miracle. Un autre miracle peut être considéré que nos ancêtres ont conservé la mémoire de ces animaux sous forme de dessins - et ont pu nous la transmettre.

Il existe de nombreux faits qui ne correspondent pas seulement à l'image des événements des 40 à 50 000 dernières années, mais même dans les limites de la simple logique humaine.

Les mineurs de Rostov dans un filon de charbon à une profondeur de 300 mètres ont trouvé une roue pétrifiée ... d'un chariot. L'authenticité de ces photographies ne fait aucun doute. Cependant, comment est-ce possible - après tout, le filon de charbon s'est formé ... il y a 250 000 000 d'années?! .. Encore une fois: il y a deux cent cinquante millions d'années ...

Dans les couches géologiques de la terre, formées il y a des millions, voire des milliards d'années, ils trouvent une variété d'objets qui semblent avoir une origine technogénique moderne. Ce sont des outils de pierre en Californie. Et une marmite en fer dans l'Oklahoma. Et d'étranges billes d'acier en Afrique. Et même - ce qui est absolument incroyable - des pièces d'horlogerie pétrifiées au Kamtchatka.

Certaines de ces découvertes vertigineuses peuvent être expliquées par la théorie de l'origine abiogénique (chimique) du charbon. Il y a une opinion que le charbon et le pétrole ne se sont pas formés il y a des millions d'années, mais se posent constamment même aujourd'hui. Par conséquent, les objets fabriqués par l'homme qui sont tombés accidentellement dans les couches de la terre peuvent éventuellement se retrouver dans les couches de charbon. Mais les mécanismes d'horloge dans les couches de pierre, vieilles de plusieurs millions d'années, n'ont pu apparaître qu'à la suite de la colonisation de la planète Terre depuis l'espace. Eh bien, ou on peut supposer que les horlogers suisses modernes ont inventé une machine à voyager dans le temps - et ont transféré leur production à l'ère paléozoïque. Bien sûr, de nombreuses découvertes comme celles-ci sont le résultat d'une falsification scientifique ou d'une mauvaise interprétation. Mais il y a des faits et absolument incontestables.

À ce jour, le monde a accumulé tant de découvertes fiables qui réfutent la version traditionnelle de l'histoire que pour les expliquer, il est nécessaire de créer un nouveau système d'idées historiques. Ce qui inclurait des données de toutes les sources fiables sur les événements du passé et les interpréterait logiquement. Bien sûr, seule une grande équipe de scientifiques peut faire un tel travail, en respectant toutes les exigences de l'école scientifique. Les instituts de recherche financés par l'État et les départements d'histoire des grandes universités devraient y travailler.

Mais, malheureusement, aujourd'hui la science fondamentale s'est retirée de la résolution de ce problème. Académiciens et médecins, professeurs d'université et auteurs de manuels d'histoire continuent d'insister sur l'infaillibilité de la version existante de l'histoire et refusent obstinément de remarquer les dernières découvertes. Tous les faits qui ne correspondent pas à leur image du passé, ils déclarent faux ou ne le remarquent tout simplement pas. Une situation paradoxale est apparue : les faits qui réfutent la théorie sont officiellement reconnus par le monde scientifique, mais la théorie elle-même ne change pas. Et cela dure depuis des décennies.

En attendant, la nécessité d'expliquer les découvertes faites et de donner à la société une nouvelle image cohérente du passé se fait attendre depuis longtemps. Par conséquent, des chercheurs individuels du monde entier, sans attendre la science officielle, ont commencé à créer leurs propres versions de l'origine de la vie sur la planète Terre. L'un d'eux était l'écrivain-historien, voyageur et anthropologue Georgy Alekseevich Sidorov. Résumant des informations provenant de diverses sources - des monographies scientifiques des scientifiques soviétiques aux traditions des chamans evenks - il dresse sa propre image de l'histoire de l'humanité. En tant que peintre impressionniste, il travaille les grands traits, la peinture des époques et des millénaires. Mais parfois, son œil de chercheur repère des détails très subtils du processus historique et culturel.

La particularité de Georgy Sidorov en tant que chercheur est qu'il n'appartient pas à la classe des scientifiques de fauteuil, mais mène une recherche indépendante de preuves du passé. Il a fait de nombreuses découvertes que la science n'est pas encore capable de maîtriser. Celles-ci incluent les traditions enregistrées des chamans des peuples du nord, qui racontent l'époque d'une grande catastrophe et la recréation ultérieure du monde. Et le décodage des informations historiques sur les broderies slaves et les sculptures sur bois. Et de nombreuses découvertes archéologiques en Sibérie, en Extrême-Orient, dans le Nord de la Russie et même en Allemagne. Pour certains, ses constructions historiques et idéologiques peuvent sembler trop fantaisistes. Mais rappelons-nous que les affirmations selon lesquelles la Terre est une sphère semblaient autrefois trop fantastiques à quelqu'un.

Comme tout chercheur qui suit son propre chemin et pense de manière indépendante, il n'est pas à l'abri des erreurs et des délires. En fait, il conseille lui-même toujours de vérifier les informations qu'il fournit et leur interprétation. Une chose est sûre : le travail effectué par Georgy Sidorov et d'autres chercheurs indépendants du monde entier est une avancée majeure dans la compréhension de qui nous sommes vraiment.

Des centaines de milliers de personnes dans différents pays du monde ont apprécié le travail de Georgy Sidorov. Ses livres sont vendus en gros tirages, ce dont les journalistes connus et même les politiciens ne peuvent pas toujours se vanter. Ses performances vidéo sur Internet sont toujours populaires. Et des gens des coins les plus reculés de Russie et même d'Europe viennent le rencontrer. Aujourd'hui, il n'est plus possible de simplement écarter de nombreux faits qui témoignent d'un cours complètement différent des processus historiques sur la planète Terre qu'on ne le pensait auparavant. Mais les informations à leur sujet continuent d'être étouffées et cachées.

Pour que les faits qui réfutent la version existante de l'histoire deviennent la propriété de toutes les personnes vivant sur notre planète, un catalogue électronique de découvertes historiques et archéologiques uniques "Propriété de la planète" a été créé sur Internet.

Si vous souhaitez en savoir plus sur les versions alternatives de l'histoire humaine, vous familiariser avec des artefacts témoignant d'événements d'un passé lointain ou participer à la recherche et à l'étude de monuments historiques uniques, rejoignez notre projet ! Allez sur le site Dostoyanieplanety.RF, inscrivez-vous et commencez à apprendre !

Comme l'a dit le politicien russe Piotr Stolypine, "Un peuple sans conscience nationale est du fumier sur lequel poussent d'autres peuples". On peut en dire autant de l'humanité dans son ensemble. Si nous n'avons pas une véritable connaissance de nous-mêmes, nous serons sans cesse manipulés à l'état d'animaux. Par conséquent, l'établissement de la vérité sur notre origine, l'éveil de la mémoire historique chez tous les habitants de la planète Terre est un besoin vital pour nous tous. En fin de compte, nous sommes également avec vous - PROPRIÉTÉ DE LA PLANÈTE !

À l'heure actuelle, il existe deux directions principales dans l'histoire alternative. Les chercheurs Aleksey Kungurov et Andrey Sklyarov sont devenus leurs apologistes.

Ces deux personnalités brillantes et exceptionnelles ont même réussi à créer leurs propres écoles avec des associés, des adeptes et des étudiants. Grâce à leurs efforts, une percée incroyable a eu lieu dans la science historique, une véritable révolution, malheureusement passée inaperçue pour l'écrasante majorité de nos concitoyens. Et, curieusement, cette percée ne s'est pas faite grâce aux efforts de la communauté scientifique historique, mais grâce aux efforts de passionnés solitaires qui n'ont pas de titres scientifiques et sont souvent éloignés de la science historique, mais qui ont un esprit curieux et un esprit aiguisé. Sens de la justice.

À première vue, ils n'ont rien fait de spécial, ils ont simplement attiré notre attention sur un certain nombre de faits qui ne rentrent pas dans le tableau harmonieux de l'histoire humaine. Mais en fait, ces faits sont fondamentaux pour comprendre la structure de l'univers et la place de l'humanité en son sein. Et à la lumière de ces faits, l'histoire officielle semble pour le moins ridicule. Je leur suis reconnaissant d'avoir changé d'avis et j'ai compris ce qui sera discuté plus loin.

Toute ma vie, comme beaucoup d'autres, j'ai posé des questions : qui sommes-nous, où et pourquoi. Pour la première fois, le bâtiment monumental de la théorie de l'évolution de Darwin dans mon esprit a tremblé lorsque j'ai appris l'existence des ovnis, mais il s'est finalement effondré après que je suis tombé sur des articles des apologistes susmentionnés de l'histoire alternative il y a six mois. À partir de ce moment, le monde qui m'entourait m'est apparu sous un tout autre jour.

Le profane dira: pour devenir historien, il faut étudier longtemps, lire beaucoup de livres d'histoire, être au service, avoir un diplôme, partir en expédition et assister à des colloques. Oui, c'est vrai, mais, comme nous le voyons tous, la science historique officielle s'est transformée en un club fermé d'élite, en fait, une mafia, qui s'intéresse au maintien du statu quo et empêche de toutes les manières possibles la création d'une image réelle de l'origine et du développement de l'humanité, étouffant les faits dont ils ne rentrent pas dans le paradigme, nombreux ces dernières années. Il y avait une situation tellement paradoxale que des citoyens individuels qui ne voulaient pas supporter ce mensonge et cette hypocrisie essayaient encore la toge d'un historien.

L'outil de l'historien est l'éducation, une vision large, un esprit critique, une logique forte et une expérience de vie. Et croyez-moi, beaucoup de gens ont un tel outil, mais seuls quelques-uns sont capables de l'utiliser au bon moment au bon endroit. Ce sont eux qui dirigent le reste.

Des doutes sur l'infaillibilité de l'histoire officielle sont apparus parmi les gens il y a longtemps, mais ce n'est qu'avec l'avènement d'Internet et des cartes satellites que ces doutes ont acquis le statut de faits et sont devenus accessibles à tous ceux qui s'intéressent à ce sujet. Comme des champignons après la pluie, les chercheurs du passé ont commencé à pousser et à se multiplier, et c'est tant mieux. Aujourd'hui, l'histoire de notre civilisation est un mélange incroyable, un cocktail exotique de versions, d'hypothèses, de conjectures et de faits réels. L'Atlantide, l'Hyperborée, les mégalithes, les pyramides, les villes souterraines, la Terre creuse, les géants, les nains, les artefacts inexplicables, les inondations, les dinosaures, les mammouths, un prédicteur mondial, les Vedas, les vimanas, les détenteurs de droits d'auteur et bien plus encore sont mélangés ici. Je pense qu'il est temps de mettre un peu d'ordre dans toute cette quantité incroyable d'informations contradictoires. Je vais essayer de contribuer à cette tâche difficile.

Je veux présenter au spectateur mon hypothèse de l'émergence de l'humanité, qui est quelque peu différente de tout ce qui existe actuellement et, comme je le pense, a le droit d'exister. J'espère que quelqu'un le trouve intéressant. Dans mes conclusions, j'ai été guidé par la logique humaine ordinaire, le bon sens et l'expérience de la vie.

Quelle est donc l'essence de mon hypothèse ?

Andrey Sklyarov et Alexey Kungurov, dans leurs nombreux et intéressants travaux, ont brillamment montré que la civilisation moderne n'a rien à voir avec les artefacts. Je suis entièrement d'accord avec eux et en désaccord avec les auteurs mentionnés uniquement dans les conclusions :

1. Andrei Sklyarov considère que les artefacts sont l'œuvre de civilisations supérieures qui ont visité la planète dans le passé.

2. Alexey Kungurov parle des connaissances et des technologies avancées de nos ancêtres, perdues à la suite du cataclysme mondial.

Je pense que les artefacts n'ont rien à voir avec nous, ou avec des civilisations supérieures, ou avec nos lointains ancêtres, ou font partie de notre FAUSSE HISTOIRE.

Je suis sûr que toute l'histoire de l'humanité (et non ses épisodes individuels, comme le pensent de nombreux auteurs) du début à la fin est un FAUX, qui est soutenu par la science historique officielle. Et l'humanité n'existe sur cette planète que depuis environ DEUX CENTS ANS ! Nous n'avons tout simplement pas d'histoire - nous n'avons pas eu le temps de l'acquérir. Je pense qu'il y a environ deux cents ans, nous nous sommes réveillés dans nos villes avec une mémoire déjà formée, des compétences professionnelles, une industrie finie, l'agriculture, la technologie, l'infrastructure sociale, la langue et la culture. Et surtout, avec une histoire toute faite qui n'a qu'une tâche : cacher la VÉRITÉ. Et la VÉRITÉ est que nous avons un CRÉATEUR. Le fait de son existence et quel est son but par rapport aux gens est destiné à cacher la FAUSSE HISTOIRE. Maintenant, beaucoup de ceux qui liront ces lignes se tordront le doigt sur la tempe et auront raison : il est impossible de croire à une telle chose. Mais ne nous précipitons pas, nous aurons une conversation longue et difficile.

Je crois que la réalité dans laquelle nous existons est si incroyable que la conscience humaine, qui est du banc de l'école dans les chaînes de la théorie de l'évolution de Darwin, la rejette tout simplement.

La réalité est une capsule d'espace et de temps avec un ensemble de lois physiques strictes que nous ne pouvons pas changer. Quelles sont les lois fondamentales de notre réalité ? Ce sont : 1. La loi de la gravitation universelle. 2. La loi de conservation de l'énergie. Ce sont eux qui gouvernent notre vie et notre développement. Logiquement, notre réalité peut avoir deux options :

1. Il est inchangé depuis le moment de notre apparition sur cette planète, et nous sommes alors en mesure de déterminer au moins approximativement notre âge.

2. Il change, et avec lui notre mémoire, puis notre passé est conditionnel et nous ne pouvons en étudier qu'une partie actuellement disponible.

je vais considérer la première option.

L'apparition de personnes sur cette planète peut également avoir deux options:

1. La réalité a été créée en même temps que nous.

2. La réalité a été créée avant nous et nous y sommes placés plus tard.

On peut étudier la réalité de deux manières :

1. Analyser la mémoire humaine.

2. Explorer le monde qui nous entoure.

Si nous partons de la mémoire humaine, alors il s'agit de la mémoire des générations, c'est-à-dire la mémoire totale de nos grands-pères, arrière-grands-pères, arrière-arrière-grands-pères, etc. au plus profond des siècles. En tant qu'outil de recherche, la mémoire humaine est plutôt faible, mais nous pouvons en tirer quelque chose. La principale méthode de recherche reste l'étude du monde matériel qui nous entoure, et ici il y a plus qu'assez de faits. Que voit-on autour de nous ? Un grand nombre de choses qui sont tout simplement impossibles dans notre réalité, concentrons-nous sur les plus évidentes :

1. Mégalithes, villes souterraines, pyramides et maçonnerie polygonale. Leur poids incroyable, leurs méthodes de construction et leurs méthodes de traitement de la pierre nous font supposer que les constructeurs disposent d'outils et de technologies impossibles dans notre réalité pour la fabrication et les méthodes de déplacement de tels poids. Pris ensemble, ces faits contredisent les lois physiques de notre réalité.

2. Nos villes. Oui, je considère nos villes comme des artefacts, car je pense que les gens n'ont rien à voir avec leur création. L'exemple le plus frappant de cela dans notre pays est la ville de Saint-Pétersbourg.

3. Artefacts en pierre et en métal. Nos musées regorgent d'expositions dont personne ne peut expliquer l'origine dans le cadre des technologies existantes. A. Kungurov l'a parfaitement montré dans ses merveilleuses œuvres.

4. Les ovnis se distinguent sur cette liste. Leur existence suggère que quelqu'un ou quelque chose pénètre notre réalité de l'extérieur et est capable de changer ses propriétés.

Je crois que tous les artefacts ont été créés par le CRÉATEUR en option :

1. Avant l'apparition de personnes sur la planète et dans un but qui nous est inconnu.

2. Simultanément avec des personnes dans le cadre d'une FAUSSE HISTOIRE.

Quant aux villes, soit elles ont été créées en même temps avec nous et pour nous, soit elles ont été créées avant nous, toujours dans un but inconnu, et puis les gens ont déjà été créés pour les villes.

Alors, passons à la question principale : où ai-je trouvé le terme de 200 ans, parlant de l'âge de l'humanité ? Je suis parti de plusieurs repères temporaires :

1. Premier marqueur temporaire est brique ordinaire dont se composent nos villes, je crois que c'est en elle que se cache la réponse à la question principale : quel âge a l'humanité ?

Et quelle est la particularité de cette brique, demandez-vous : un matériau de construction ordinaire ? Et vous aurez tort. Oui, le matériel est ordinaire, mais seulement pour notre époque. Combien d'années pensez-vous qu'une brique peut tenir sous notre climat ? Il n'y a pas d'études sur ce sujet - la science historique n'était pas intéressée, elle a daté les structures par d'autres méthodes. Je pense, sur la base de l'expérience de la vie, que 300 à 500 ans, la tolérance est grande, mais nous n'avons pas besoin d'une grande précision.

Ainsi, peu de gens pensent au fait que tout le territoire de la Russie (ainsi que le reste de la planète) est construit avec un grand nombre de bâtiments en briques de 200 ans et plus. La majeure partie des bâtiments est concentrée dans les villes, mais la campagne est également assez densément construite avec des briques. Ce sont des temples, des églises et des domaines, situés à la fois sur le territoire des colonies et simplement en plein champ. De nombreux bâtiments sont dans un état délabré et sont les mieux adaptés pour déterminer l'âge et la qualité des briques.

Nous voyons que la qualité de la brique est excellente et ne peut être comparée à la moderne. Récemment, l'activité de vente de briques anciennes provenant de vieux bâtiments démantelés a même prospéré. Je ne pense pas que la brique moderne attende le même avenir radieux. Nous tenons ces structures pour acquises, comme notre héritage historique, sans penser que ces structures sont impossibles dans notre réalité. Pourquoi? Voici pourquoi. Pour une personne qui n'a jamais rencontré la production de briques, il semble que ce soit une question simple, puisque nous voyons partout la brique et ses fragments tout au long de notre vie. Mais non! Nous arrivons ici à la pierre angulaire, ou plutôt à la brique de notre histoire.

D'OÙ VIENT LA BRIQUE IL Y A 200 À 500 ANS ? Tout le monde peut aller en ligne et lire comment les briques sont fabriquées pour comprendre : SANS ÉLECTRICITÉ ET ÉQUIPEMENT LOURD, LA PRODUCTION EN SÉRIE DE BRIQUE GRANGE DANS NOTRE CLIMAT EST IMPOSSIBLE !

Oui, il est possible de brûler des plats en céramique sur du bois de chauffage, une certaine quantité de briques, par exemple, pour les poêles, mais pas le volume énorme que nous observons. Et les villes, les domaines et les temples se dressent. Et ils sont super ! La réalité est la suivante : il y a environ 200 à 500 ans en Russie (ainsi que sur toute la planète), un nombre impensable de bâtiments en briques cuites sont apparus de nulle part et les gens n'y sont pour rien. Cela peut aussi être attribué bâtiments en granit . Exemple : Saint-Pétersbourg.

2. Deuxième marqueur de temps - c'est cataclysmeà la suite de quoi les premiers étages des bâtiments ont été recouverts de terre.Pour une raison quelconque, la mémoire humaine ne stocke pas cet événement. bien que cela semble s'être produit relativement récemment. Si l'âge de la brique à partir de laquelle les bâtiments sont construits est d'environ 200 ans (par exemple, Saint-Pétersbourg), alors cet événement est plus jeune et nous ne nous en souvenons pas et non seulement nous ne nous en souvenons pas, mais nous ne pouvons même pas proposer des versions intelligibles .

Nous nous souvenons des événements bibliques d'il y a 2000 ans, mais le cataclysme sans précédent d'il y a 200 ans qui s'est produit sur notre terre ne se reflète dans aucune source orale. Étrange, n'est-ce pas ?

Les hypothèses sur les fortes pluies, les coulées de boue, les tsunamis ne sont guère pertinentes. Il n'en est fait aucune mention dans les chroniques soi-disant historiques. Nulle part il n'est dit que les locaux des premiers étages ont été nettoyés de la saleté, mais c'est un travail gigantesque, étant donné que le seul moyen de transport était tiré par des chevaux et que le seul outil était une pelle. J'ai l'explication suivante à cela : au moment de l'apparition des hommes, les villes se présentaient déjà sous leur forme moderne avec les premiers étages enfoncés dans le sol mais propres à l'intérieur.

3. Marqueur du troisième temps - c'est nos cimetières . Sur les tombes d'il y a 200 ans, il y a des monuments en granit, en marbre et en ressemblance au béton transformés par des outils inconnus utilisant des technologies inconnues. Toutes les pierres tombales fabriquées par l'homme sont immédiatement visibles par leur mauvaise qualité. Je crois qu'environ à ce tournant et passe la frontière entre réel et HISTOIRE FICTIONNELLE.