Sous la jupe d'une tante mature. Relevez votre jupe : la révolution numérique est en marche

Une question qui inquiète beaucoup d'adolescents. Et la réponse est très simple : les femmes ont des jambes sous une jupe ! Et c'est le point principal. C'est pour cela que nous portons des jupes, ce qui détermine le choix de la longueur, du style et de l'opportunité de porter une jupe en général. Et qu'y a-t-il dans cet endroit précieux de notre garde-robe. Le plus souvent, il y a des sous-vêtements, bien que nous ayons écrit que ce n'est pas toujours utile. Mais à côté de cela, il peut y avoir des collants chauds ou des bas tendres, selon l'occasion et la météo. Ces parties de la garde-robe seront discutées aujourd'hui.

Il semblerait, qu'est-ce qui pourrait être spécial ici?

Mais dans le cas des vêtements de style mini, ces choses sont d'une importance primordiale. La mini-jupe ne couvrira qu'une petite partie de la jambe et le reste sera recouvert de nylon. Il est difficile de remplacer la beauté naturelle par quelque chose, et une jambe féminine parfaitement lisse, fine et droite sans rien sera toujours plus belle que des collants. Mais la beauté peut être ajoutée. Si vous mettez une telle jambe, par exemple, des bas fins à grosses mailles ou des collants avec une sorte de motif qui ne cache pas, mais met en valeur la beauté de vos jambes.

Une autre option quand exactement cacher

Tout le monde a des situations différentes, et qu'il s'agisse d'imperfections naturelles ou d'un manque de temps le matin pour tout mettre en ordre, il vaut mieux utiliser l'assortiment présenté et rendre l'idéal de votre jambe, en choisissant soigneusement ce dont vous avez besoin. Mieux vaut se tourner vers des collants et des bas épais ou tout simplement moins transparents. Même les collants chauds les plus épais, combinés à la bonne jupe courte, peuvent conquérir de nombreux hommes.

Séparément, le thème de la couleur des bas et des collants mérite l'attention.

Récemment, les couleurs non standard et même vives sont devenues populaires. Rouge, orange, jaune, bleu et bien d'autres. Dans le même temps, non seulement les jeunes enclins à l'informalité les portent, mais aussi les filles ordinaires d'âges différents. Par contre, on porte des pantalons multicolores, pourquoi pas des collants ?

Le problème est la perception. Dans de tels vêtements, quelle que soit la longueur de votre jupe, vous ne serez plus perçu comme une beauté éblouissante (il y a des cas, mais ils nécessitent un travail complexe titanesque pour créer une image), mais plutôt avec humour ou ils ne seront pas perçus comme une fille. Ces mots ne doivent pas être pris au pied de la lettre, naturellement personne ne rira et ne s'adressera à vous au masculin, mais l'esprit subconscient fera des ravages. C'est comme la perception d'une fille avec qui vous voulez sortir, ou boire une bière amicale dans le parc (bien que maintenant c'est interdit).

Les plus populaires et facilement perceptibles sont la coloration standard foncée et chair. Et l'abondance de textures et de motifs vous permet de montrer votre imagination en choisissant un moyen de séduire des princes imprenables.

Des strings rouges, une culotte en coton avec un chat, ou peut-être qu'elle est là sans culotte du tout ? Habituellement, vous ne pouvez pas deviner. Mais tout le monde savait ce qu'il y avait sous la jupe de Lena. Des bas résille toujours affichés sur de longues jambes fines.

Des bandes élastiques en dentelle ressortaient de la coupe de l'extrême mini à chaque pas. Les hommes de toute la région salivèrent d'eux et s'occupèrent longtemps de la déesse qui se retirait. En tout temps adéquate à la jupe, sa carte de visite est devenue un trio tueur : un décolleté haut, des bas élastiques en dentelle et des chaussures à talons hauts.

Les hommes ont aimé. Les bas ont éveillé des pensées de choses plus grandes, plus hautes, interdites. Je suis sûr qu'un homme sur deux l'a disposé mentalement sur l'espace de son bureau et a dit à haute voix :
- Ouah, quoi !

Les femmes se voyaient d'un air envieux, et parfois elles s'indignaient ouvertement entre elles : voilà une chienne. Pour moi, en tant que personne très sensible, ces clubs d'envie féminine caustique autour de Lena me semblaient presque matériels. J'ai littéralement entendu à quel point l'envie siffle chez de nombreuses femmes, comme du beurre sur une poêle chaude: la fille a de la chance. Allez traire un meunier riche.

Eh bien, il est vrai que dans notre communauté de dortoirs, une apparence sexy épanouie est plus un privilège qu'une norme. La norme est courte, jusqu'au milieu du genou, une culotte, un tee-shirt qui cache la "bouée de sauvetage" à la taille, les cheveux réunis en chignon en haut, et des chaussons. C'est une sorte d'uniforme d'une femme décente. A la naissance d'un enfant, ailleurs on leur donne un sac de graines et une pinte et demie de bière. pour compléter l'image. D'une part, c'est pratique, et d'autre part, devant qui faut-il s'exhiber ?

En effet, pourquoi ? Cette question est littéralement plantée dans les yeux des femmes qui entourent Lena. Repousser les hommes ? Pendant que je cours dans des pantalons de survêtement étirés et un chapeau ridicule ? Bien que, pour autant que je sache Lena, il n'y avait pas de prostitution débridée dans sa vie. Quelques notes vivifiantes. Lena était mariée depuis longtemps et fermement et a emmené son fils à la maternelle pendant 5 ans. Dans les couloirs résonnants du jardin d'enfants, ses bas étaient particulièrement méprisés par les nounous battues avec de grands pots. Regardez, habillé!

Au Nouvel An, Lena était généralement dans un isolement complet. Le temps était chaud, le thermomètre indiquait une température proche de zéro, et parfois même plus, lui permettant de s'exhiber, comme toujours, dans une jupe et de belles bottes. Drunk Santa Claus a été invité à la matinée, émettant magistralement des blagues obscènes. Les enfants ne comprenaient toujours pas et les mères hennissaient. Et ce personnage très au nez rouge s'appelait Lena pour s'amuser et, dans certains concours, l'a mise dans la pose la plus ridicule. Et les bas ont flashé devant le public très franchement. Les mères ricanèrent méchamment. Lena a rapidement récupéré, mais les sédiments, comme on dit, sont restés. Dire bonjour à elle est devenu moins.

Les vacances du Nouvel An ont éclaté, filées, pas modestes, par les normes de crise actuelles, mais aussi grasses, pleines, avec des festivités obligatoires et des trajets en taxi jusqu'à la prochaine entrée. Lena n'a pas beaucoup bu, n'a pas abusé des salades avec de la mayonnaise et est apparue dans la rue tout aussi fraîche, épargnée par le courage et la débauche du Nouvel An.
Elle se souciait vraiment de la beauté. A essayé. Le statut de la déesse oblige. Voyant mon visage sobre et complaisant dans la foule, elle s'est approchée. - Voulez-vous me rendre visite? Je suis devenu curieux de savoir comment vit la déesse. Bien sûr que je le voulais.

L'appartement s'est avéré très modeste, mais propre, et Lena apprenait juste à son fils à passer l'aspirateur sur les tapis. En fin de compte, ils ont loué une cabane, mais ils en ont pris soin comme si c'était la leur. Lena ne supportait pas les ordures autour d'elle, la puanteur des salades d'hier et l'odeur aigre du bortsch. L'appartement, comme Lena, devait toujours être au défilé, "avec des bas".

Lena a fait du café - pas de merde instantanée ! - et m'a assis sur une chaise dans le salon. Pour une raison quelconque, il était important pour elle de me recevoir dans le salon, et non dans la cuisine, je ne sais pas pourquoi. Mais dans ces bagatelles, elle était tout.

Dans un appartement chaleureux, comme un bonhomme de neige, j'ai commencé à fondre et à entrer dans une humeur bavarde. Léna a aimé. Il me semble qu'elle m'a attiré ici justement pour raconter quelque chose, pour soulager l'âme. Autant que je sache, elle n'avait pas d'amis. Au moins dans ma ligne de mire.

Il me semble que Lena a partagé ses pensées avec quelqu'un pour la première fois depuis longtemps, et les mots ont coulé, coulé d'elle longtemps et orageusement, comme des ruisseaux de printemps. J'ai entendu, mais je n'en ai pas cru mes oreilles. Est-ce vraiment la réalité de ma déesse ?

La réalité est la plus ordinaire, le salaire est le plus ordinaire, le mari est le plus ordinaire, soit dit en passant, buvant parfois. D'une manière ou d'une autre, j'ai réussi à rester éveillé toute la nuit et j'ai passé la nuit à une fête, où il se trouvait pendant notre conversation. Mais cela arrive parfois en vacances avec des hommes, Dieu serait avec lui.

J'ai ressenti une certaine surprise précisément parce que, toutes choses égales par ailleurs avec les autres filles, elle a réussi à conserver cette apparence accrocheuse. Corps de déesse. Pieds de déesse. Et ces bas sexy fous. J'ai réalisé que ces bas et le corps, et la beauté - tout cela était davantage créé par la force de caractère, et non par des excès matériels ou temporaires. Elle avait du temps et de l'argent comme tout le monde.

La dernière fois que je l'ai vue, c'était au printemps. Pendant six ans, elle avait peu changé, et n'avait pas changé ses habitudes - elle arpentait toujours en bas, claquant des talons. Et puis elle a disparu quelque part. Où, je ne sais pas. Peut-être un bel avenir. On se reverra peut-être, du moins je l'espère.

Mais de toute façon, une pensée m'est venue à l'esprit. Quand j'y pense, je pense : une reine vivait ici. Elle ne pouvait pas changer complètement ce monde, mais elle s'est permis le luxe et le courage de changer au moins elle-même. Chaque jour, portez un beau corps, de beaux bas, vivez dans un bel appartement. Et ce bref instant qui lui a été donné dans un monde inutile, dénué de sens et injuste, elle l'a personnellement empli de l'odeur du parfum, des élastiques en résille et du bruit des talons. Pas un prix Nobel, bien sûr, mais ça vaut le coup.
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La révolution qu'ont opérée les technologies numériques lorsqu'elles sont entrées dans nos vies il y a trente ans ne s'est pas arrêtée (toutes proportions gardées) avec l'avènement du Pentium. Cela continue - et chaque année de nouvelles incohérences, incohérences, goulots d'étranglement dans la culture, les traditions et la loi émergent qui ne sont pas adaptés aux nouveaux - numériques ! - les réalités.

Souvent, ces incohérences sont graves et donnent lieu à de longs débats houleux : comme, par exemple, le problème de l'incapacité à contrôler la copie numérique (pensez au dilemme de Salinger). Mais il y a aussi apparemment des bagatelles qu'il n'est même pas possible de discuter normalement. Oui, ils démontrent dans leur forme la plus pure à quel point la technologie est en avance sur la loi, mais abordez un tel sujet au moins en passant - et vous êtes assuré d'avoir au moins un sourire condescendant de la part de vos auditeurs. Et d'en parler à la télévision, dans la presse ?! Bon tu sais! Un exemple d'une telle "petite chose" est le phénomène upskirt.

Je vois, je vois, celui qui est dans le sujet a souri :-). Pour être honnête, cette chose est très populaire dans certains milieux. Si par miracle vous ne savez pas de quoi nous parlons, alors tout est simple : le mot "upskirt" est traduit de l'anglais par "peeping under a skirt" et est utilisé pour désigner à la fois l'action réelle et les photographies qui en résultent ou des vidéos. Son histoire est riche et s'étend bien au-delà de l'ère numérique. Voici Marilyn dansant au-dessus du puits, et des toiles frivoles de peintres médiévaux, et bien plus encore.

Dans le cadre de notre conversation, deux points sont importants. Premièrement, upskirt a toujours eu un élément tangible d'érotisme. Deuxièmement, du point de vue de la société, cela a toujours été un plaisir à la limite du permis, quelque chose entre un jeu autorisé pour les adultes et des déviations généralement reconnues comme espionner une baignoire. La révolution sexuelle qui s'est produite dans la seconde moitié du 20e siècle (vous savez, "mini" et tout ça) a même fait de l'upskirt un article de mode. Mais presque personne n'aurait pu imaginer qu'au début du 21e siècle, grâce aux technologies numériques, regarder sous une jupe deviendrait un casse-tête amusant.

Terme anglais ennuyeux ? J'avoue que moi-même je n'en suis pas content. Et pendant que je préparais le matériel, j'ai failli me casser la tête, en réfléchissant à la meilleure façon de le traduire en russe, j'ai consulté un linguiste. Idéalement, vous avez besoin du même mot accrocheur, court et explicite. Mais même dans la section russe de "Wikipedia", il n'y a pas d'article sur ce sujet (je vais ajouter une colonne et m'occuper - rejoignez-nous!), Alors, faute de mieux, j'ai décidé d'utiliser la version translittérée directe : sous la jupe. Tout le monde ne l'aimera pas, mais nous ne sommes pas étrangers à une tablette et à Satoshi ;-).

Encore une fois, quelque chose d'autre est plus important. Upskirt dans son sens moderne est un enfant des téléphones avec appareil photo et des smartphones. L'avènement des appareils photo numériques super compacts, et même croisés avec un téléphone portable, est devenu une sorte de fonctionnalité : ces appareils sont invisibles, n'éveillent pas les soupçons et facilitent au maximum la diffusion des images. En conséquence, jeter un coup d'œil sous une jupe a dégénéré en une activité criminelle et une activité antisociale désagréable. Aujourd'hui, upskirt est l'une des catégories les plus populaires sur les ressources pornographiques : il existe des fournisseurs de tels contenus qui fournissent un flux continu de photos et de vidéos des rues, des centres commerciaux, des plages, et il y a des consommateurs qui sont prêts à payer pour cela. De nombreux "amateurs" partagent les résultats de leurs "travaux" sur le Web - et mettent également des personnes au hasard dans une position inconfortable. Je suppose que peu de filles rêvent de se voir sur YouTube capturées par le bas. Et la question est, pouvons-nous opposer quelque chose à l'invasion de la vie privée de ce côté-ci.

Aussi étrange que cela puisse paraître, c'est plus facile pour nous, citoyens de la Fédération de Russie, que pour beaucoup d'autres : le tournage clandestin sous quelque forme que ce soit est interdit dans notre pays (correct si quelque chose a changé). Mais le reste du monde démocratique, entremêlant les réprimandes aux rires, est contraint de chercher des formulations plus précises et plus subtiles.

Les Américains ont du mal en ce moment. Un autre scandale gronde aux États-Unis (ils espèrent que celui-ci sera le dernier), lié précisément à l'upskirt. La trame de fond est simple et déjà typique : en 2010, un homme a été vu dans le métro de Boston essayant de tirer au téléphone - naturellement, sans permission ni connaissance - des compagnons de voyage d'en bas, en mettant l'accent sur les hanches et l'entrejambe (désolé, alors dans les documents judiciaires). La police a organisé la pêche aux appâts vivants, envoyant des employés déguisés monter, le paysan a picoré - et il a été ligoté (Michael Robertson, 31 ans). Bientôt, le premier procès a eu lieu, qui a déclaré l'homme coupable. Pas étonnant : après tout, regarder - c'est-à-dire (citation) filmer intentionnellement les zones intimes d'une personne partiellement ou complètement nue sans son consentement à un moment où la personne assume sa vie privée - est illégal aux États-Unis. Mais ce n'était que le début de l'histoire, la première itération, si vous voulez.

Sur la photo du poste de police, Robertson est un oncle blanc d'âge moyen ordinaire. On ne sait pas s'il était ce qu'on appelle un pervers ou un cyber-activiste qui, par son exemple, voulait pointer du doigt l'incompatibilité du système judiciaire avec l'état actuel des choses - eh bien, c'est toujours pareil - mémorable Aaron Schwartz. Mais quoi qu'il en soit, Robertson a vraiment aidé ! Il a fait appel et vient de gagner !

Comment a-t-il réussi ? La plus haute juridiction de l'État où se sont déroulées les audiences (Massachusetts) a estimé que, étant dans un lieu public, un citoyen n'a pas le droit d'espérer d'intimité, et d'ailleurs, il ne peut être considéré même partiellement nu : il est habillé ! Une voiture de métro n'est pas une salle de bain, pas un vestiaire, et un smartphone n'est pas une caméra cachée. Et en général, si un citoyen expose des parties de son corps (volontairement ou non), de quelle attente en matière de vie privée peut-on parler ? Par conséquent, bien que lorgnant au sens classique soit toujours interdit, cette interdiction ne s'applique pas à l'upskirt.

Après un tel verdict, une hystérie naturelle a éclaté dans les médias. Tout le monde rit : certains sous couvert, d'autres ouvertement, les avocats, les passants, les présentateurs de télévision et la presse rient. Rire et faire des blagues salées comme si l'avocate de Robertson portait une culotte lorsqu'elle parlait du "droit constitutionnel de son client de prendre des photos sous sa jupe en public" ? Et en même temps, tout le monde comprend qu'il ne servira à rien de se moquer du problème, et certains, à travers des larmes de rire, réclament déjà la révision de la loi, qui accuse un si grand retard technologique. Mais le problème est que la formulation finale n'est pas claire.

Une des options : au moins sur tes vêtements une personne dans un lieu public ne peut pas s'attendre à la vie privée, sous les vêtements il l'attend toujours, et l'invasion là devrait être interdit. La définition est casuistique et non sans défauts, mais c'est le point : les chiffres un la civilisation a marché sur un autre maïs - et personne ne sait comment se débarrasser de la douleur !

Naturellement, les malheureux habitants de Boston ne sont pas les seuls à avoir vécu cela. D'autres États américains souffrent du même "trou" dans la loi et ont également des citoyens justifiés pris sous la jupe. Pourquoi l'Amérique, tout le monde s'en sort du mieux qu'il peut. Le Japon n'interdit pas les tournages clandestins, mais restreint la distribution des documents ainsi obtenus. Chatko. Le Royaume-Uni regarde le problème plutôt avec un sourire, c'est pourquoi les célébrités souffrent particulièrement beaucoup - à qui les paparazzi, peut-être, ne mettent pas encore l'objectif entre leurs jambes. Rien de bon non plus. L'Inde et Singapour plantent bêtement des amants sous la jupe. En gros : et si un accident ?

Bref, il est impossible de l'interdire, de l'ignorer coûte plus cher pour soi, d'en discuter est à la fois effrayant et drôle. C'est un moment tellement gênant. Une chose plaît: au lieu de visages ennuyeux décorant des matériaux sur d'autres conflits de chiffres s et la société, voici de belles jambes. Profitez tant que vous le pouvez ! 🙂

Oh, les filles, qu'est-ce que je viens de voir, qu'est-ce que j'ai appris ! Maintenant, je vais vous dire, seulement ce sont des informations intimes, si vous êtes des oncles par hasard, alors vous êtes strictement interdit ici!

Je suis juste accidentellement entré dans un magazine LJ, et ce magazine, il s'avère, appartient à la fondatrice de l'école des blogueurs, elle enseigne aux blogueurs à écrire différentes lettres, à ne pas offenser les enfants, enseigne à l'école, enseigne à l'école, enseigne à école ...

Et elle sait exactement comment rendre un blog populaire et intéressant.

Ensuite, je me suis mis à chauffer : je veux vraiment être célèbre, populaire, riche et célèbre, mais je ne veux pas aller à l'école des blogueurs, parce que c'est payé et que je suis gourmand.

Gourmand, mais rusé. Donc, je pense, maintenant je vais lire ce qu'écrit le directeur de l'école des blogueurs, et je vais révéler tous leurs secrets !

Lire le village et tout droit ... stupéfait. Ou elle est devenue folle, peut-être même engourdie, je ne peux pas vérifier - il fait nuit ici maintenant, et la nuit, vous ne pouvez pas vous regarder dans le miroir - la reine de pique peut apparaître. C'est comme ça qu'ils me l'ont expliqué dans le camp des pionniers.

Ainsi, le poste de directeur de l'Ecole des Blogueurs commençait ainsi : "SENSATION : Une jupe longue crée un champ de torsion !"

Alors j'ai tout de suite pris position : des secrets ! énigmes ! découvertes scientifiques!

D'accord, c'est quelque chose que je digresse. Écoutez plus loin !

"Les jupes vous aident à tomber enceinte..."

C'est le numéro ! Ainsi, l'étudiant en biologie de cinquième année nous a tous trompés ! Elle a marmonné quelque chose à propos des hommes, couverte de taches rouges sur tout le visage. Elle a menti, il s'avère !

Tout! Maintenant je sais exactement comment devenir riche !
Des frais énormes attendent le premier homme qui a donné naissance à un enfant. Et cet homme sera mon mari ! Je vais lui donner ma jupe élastiquée oversize et lui faire porter trois jours et trois ans !

"Une longue jupe, atteignant presque le sol, forme avec elle un triangle, ce qui aide à conduire et à maintenir le pouvoir nourrissant nécessaire à une femme."

Ha!!! C'est que du bonheur, pas du texte ! Je vais tirer la jupe non seulement sur mon mari, mais même sur le chien et le cochon Bertrash, laissez-les maintenant recevoir le pouvoir nutritionnel de la terre, et non du magasin O'Key, qui dévore mon salaire avec la soif de sang d'un tyrannosaure rex.

"L'ourlet large, se balançant et se tordant lors de la marche, forme des champs de torsion qui contribuent à la circulation et à l'amplification de l'énergie des éléments de la Terre. Ces champs de torsion vous rendent désirable pour tout homme, personne ne passera."

Oops.
Pour tout le monde. Je ne suis pas sûr d'être prêt pour ça. Vous ne vous mettrez même pas au travail. Dehors - les Ouzbeks balayent la route, et vous voilà avec un champ de torsion sous votre jupe ! Ils ont jeté leurs balais et ont sauté après la jupe, puis le minibus est arrivé, et les hommes y arrivent aussi, le conducteur masculin du minibus arrive particulièrement souvent ... Et maintenant, comme dans un conte de fées sur un baril de goudron, un toute une foule d'oncles collés à la jupe te poursuit à ton travail. Image effrayante!

"L'ourlet protège vos centres sexuels, et l'ourlet aide à garder une femme propre et chaste, ce qui a un impact sur sa force psychique."

Hem, hem... Eh... Et où est-il donc, mon centre sexuel, alors ? Qu'y a-t-il dans le talon ?
J'ai même vérifié dans le dictionnaire: "La signification du mot" Podol "selon Ozhegov:
Ourlet - le bord inférieur de la robe, jupe.

Bord inférieur ! Ainsi, exactement dans le talon se trouvent les centres sexuels qu'il protège. Mais les hommes ne savent même pas !

Phew. Tout. Je ne citerai plus. Et tellement d'informations sensationnelles. C'est ce que cela signifie - un blogueur professionnel avec une quatre millième place dans le classement !

Non, je ne grandis pas comme ça. Mais je vais essayer! Je vous ai déjà parlé des champs de torsion ! Peut-être sera-t-il possible de se passer d'une école de blogueurs. Je n'aime vraiment pas toutes sortes d'écoles, ils y mettent des deux et ils peuvent m'appeler au conseil.
Je préfère secouer l'énergie de la terre avec ma longue chemise de nuit. Beauté - Je dors et elle tremble ! Ou faut-il dormir à même le sol ?! Est-ce que vous savez?

Sur la photo : jupe ! Secoue ! Champ! Torsion!

Oui, le texte sur les jupes de torsion n'est pas la première fraîcheur, mais le classique ne vieillit jamais, n'est-ce pas ? L'auteur affirme que même maintenant, le chemin populaire vers ce texte ne se développe pas.

Au fait, si l'un d'entre vous a trouvé un texte sur les avantages des chapeaux en aluminium, déposez le lien ici !

L'étudiante et mannequin de Saint-Pétersbourg Anna Dovgalyuk a enregistré un manifeste vidéo contre les "upskerters". Selon elle, les hommes regardent souvent sous les jupes des filles dans les transports en commun, commettant ainsi un crime sexuel. Pour attirer l'attention sur le problème, la fille de la vidéo démontre elle-même ses charmes aux passants sous sa robe.

Selon Dovgalyuk, en moins d'un an à Saint-Pétersbourg, les militants ont reçu plus de 350 plaintes de victimes d'un tel regard, appelé upskirt et "un élément de manque de respect à grande échelle pour les femmes".

Les pervers, comme indiqué dans la vidéo, non seulement regardent sous les jupes, mais prennent également des photos au téléphone, et les enregistrements, dans lesquels les visages des victimes sont également visibles, sont publiés sur Internet.

Pour attirer l'attention sur ce problème, une fille qui étudie à la faculté de droit et qui se dit militante sociale a décidé de "récupérer" sur les amants pour rechercher des jupes. Armée d'un appareil photo, Anna et ses amis sont descendus dans le métro de Saint-Pétersbourg. Dans la vidéo, une militante vêtue d'une courte robe rouge soulève son ourlet chaque fois que des passagers commencent à sortir des voitures. Les cadres changent à chaque seconde - le short noir d'Anna a été vu par les passagers de plusieurs gares à la fois.

La vidéo se termine par un appel à "reconnaître par voie législative la jupe sous la jupe comme un crime contre la personne".

La vidéo, qui a déjà récolté plus d'un million de vues sur YouTube en quelques jours, a provoqué une réaction mitigée. Dans les commentaires de la vidéo, certains utilisateurs ont exprimé leur perplexité face à un tel manifeste. La plupart des commentateurs n'ont pas apprécié l'acte de Dovgalyuk.

« Un non-sens complet, 350 plaintes. Et la fille a montré son surlonge à des milliers de personnes. Et qu'est-ce que c'était censé donner aux gens de l'extérieur ? Le manifeste contre les violeurs sera-t-il sous forme de porno ? - les commentateurs sont perplexes.

Le député de la Douma d'État, Vitaly Milonov, a également parlé sur Facebook de l'action solitaire d'une avocate, la qualifiant d'"idiot".

Le réseau a découvert que l'activiste n'est pas étranger à être nu. Sur Instagram, la jeune fille partage volontiers des photos en maillot de bain et en sous-vêtement.