Secrets intimes des geishas : offrez un plaisir sexuel surnaturel à votre partenaire ! Comment gagner le cœur d'un homme pour toujours.

Les secrets de Geisha aident les femmes à devenir plus féminines et séduisantes aux yeux des hommes. L'image d'une geisha enchante par son mystère, son mystère profond, sa sexualité sophistiquée, son talent artistique, son originalité exotique. De nombreux films ont été réalisés sur les geishas japonaises. De merveilleuses lignes de poèmes sont composées à leur sujet, dans lesquelles l'image d'une geisha s'élève jusqu'à la déesse. Cependant, les geishas du Moyen Âge étaient appelées des femmes bien réelles qui connaissaient les secrets de la séduction masculine.

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Beauté intérieure d'une geisha

La beauté d'une geisha japonaise n'est en aucun cas synonyme d'attractivité extérieure. Un effet beaucoup plus grand sur les hommes était la connaissance d'une femme secrets de la psychologie de l'amour. Chaque geisha japonaise personnifiait l'éclat de la lumière. Et ce n'était pas qu'une métaphore. La geisha savait que la vraie beauté d'une femme réside en elle. La source intérieure de beauté créera elle-même un contre-jour pour l'apparence extérieure.

La beauté intérieure s'exprime dans un sourire sincère, dans une attitude amicale envers les autres, dans la bonne humeur. Les yeux des beautés japonaises trouvaient beauté et splendeur dans tout ce qui leur ouvrait les yeux. Et ces qualités, comme un aimant, ont attiré les hommes vers les geishas.

La beauté physique est la sagesse d'une geisha

La beauté physique est impossible sans un sentiment d'harmonie dans l'âme. Il sera facile pour une femme d'atteindre l'harmonie si elle a une qualité telle que la sagesse. À son tour, la sagesse ne surgit pas d'elle-même. Cela devient le résultat naturel d'un travail constant sur soi, dans lequel l'accent est mis sur la capacité à trouver quelque chose de vraiment agréable dans les activités quotidiennes ordinaires.

Vous aussi, vous pouvez commencer à développer votre beauté intérieure dès maintenant. Par exemple, en revenant avec des colis du magasin, arrêtez-vous un moment et regardez le ciel. Pensez à quelque chose d'extrêmement agréable pour vous. Ou à la maison, écoutez une belle mélodie. Les pensées correspondantes surgiront dans votre tête sans aucun effort. Souriez plus souvent aux personnes rencontrées par hasard, aidez vos connaissances dans leurs petites demandes ou même sans elles.

Une attitude bienveillante envers le monde vous « illuminera » sûrement de l'intérieur. Et les gens diront de vous que vous semblez rayonner. Ce n'est pas pour rien que la beauté est souvent qualifiée de rayonnante.

Magie du regard de geisha japonaise

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Les secrets des geishas (vidéo)

La sexualité délibérée aujourd'hui n'a plus rien d'étonnant, et plus encore d'accrocher, si bien qu'en plein cœur et pour longtemps. De nos jours, il est difficile de trouver un film sans scènes explicites, un clip vidéo sans chanteur à moitié nu, et une publicité sans relents de franchise. Oui, et l'humour sur scène, d'ailleurs, frappe de plus en plus sous la ceinture. Et comment une femme moderne ordinaire, avec toute l'abondance de franchise et l'absence d'interdictions, peut-elle rester une amante merveilleuse et en même temps ne pas être infectée par la vulgarité? Voici de qui vous devriez apprendre l'art de la séduction, c'est donc la femme la plus mystérieuse du monde - geisha!

Ce sont eux qui ont les secrets secrets pour conquérir le cœur masculin d'un simple coup d'œil. Ce sont elles qui sont les détentrices de l'art de la séduction le plus ancien, et probablement le plus chaste, c'est à leur sujet que de nombreuses légendes ont été composées, de nombreux films ont été tournés, et ce sont elles qui sont encore considérées comme l'étalon de la sexualité. et la féminité. Quels sont les secrets de cette attraction magique des geishas ?

Tous consistent en un travail quotidien, minutieux et acharné sur soi, un développement créatif et intellectuel. Être geisha est un véritable métier qui s'apprend depuis l'enfance. Et le centre a toujours été et reste l'Homme (c'est-à-dire avec une majuscule). Les geishas étaient capables non seulement de séduire, mais aussi de respecter, d'écouter, de soutenir toute conversation, d'admirer, de soigner, de conquérir avec talent, de divertir, d'exciter et d'intriguer. Il n'est pas étonnant qu'ils aient pu littéralement subjuguer les hommes, pénétrer dans les recoins les plus secrets de l'âme et y rester longtemps. Peut-être pouvons-nous aussi prendre des cours dans une école de geisha et essayer de comprendre l'art ancien ?

Première leçon. Psychologie

Une vraie geisha parle couramment la science de la psychologie. Elle sait écouter attentivement, deviner l'humeur, céder avec grâce aux faiblesses masculines, savoir calmer toute tempête d'émotions, faisant toujours preuve d'une véritable sagesse et flexibilité féminines. Par conséquent, nous devons apprendre précisément ces qualités féminines nécessaires et importantes. Les entreprises et les intérêts des hommes doivent être soutenus, et obtenir ce que vous voulez n'est pas de l'hystérie et des larmes, mais de la sagesse. La première leçon est donc d'acheter la littérature nécessaire sur la psychologie et d'absorber intensivement des connaissances intelligentes au profit de la compréhension de l'amour.

Leçon deux. Développement du potentiel créatif

Chaque matin, une geisha ne commençait pas par une tasse de café et une heure assise sur Internet, mais par le développement d'activités et de leçons. Geisha a appris à danser, dessiner, jouer des instruments de musique. Après tout, un homme est toujours conquis par le talent, bien qu'il ne se rende jamais compte qu'un entraînement épuisant et un travail acharné sont derrière une compétence habile. Il est temps pour nous d'oublier la paresse allongée sur le lit et de faire quelque chose de vraiment utile. Si vous rêvez de perdre quelques kilos - inscrivez-vous au fitness, si vous voulez conquérir un homme avec une danse - les portes du studio de danse sont toujours ouvertes. Les principaux atouts d'une geisha ne sont pas les strass sur les vêtements de marques mondiales ni les robes de nuit franches, mais ses talents, qui peuvent se manifester dans les situations les plus inattendues et porter un coup bien ciblé au cœur d'un homme.

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Leçon trois. Technique de la parole

Leçon quatre. L'art d'aimer

Contrairement à la croyance populaire, l'art d'une geisha n'avait pas du tout pour but de séduire un homme. Une geisha est loin d'être une aventure d'un soir. Les chanceux qui ont eu accès au corps de cette séductrice habile ont également dû maîtriser la geisha elle-même, en retour, ils ont en fait acquis une maîtresse à long terme. Une geisha expérimentée connaissait toutes les subtilités de l'art de l'amour et pouvait ouvrir de nouveaux horizons de plaisir jusque-là inconnus à un homme. Par conséquent, notre tâche est d'apprendre à sentir votre corps et à maîtriser magistralement l'art des caresses érotiques. Pour ce faire, il ne faut pas regarder de films porno et imiter les strip-teaseuses. Adoptons l'épreuve du temps Exercices de Kegel pour augmenter le tonus des muscles du plancher pelvien. Comment les faire peut être trouvé partout - à la fois dans les livres et sur Internet. Ils sont très simples et vous permettent de vous muscler même au travail, même dans le métro, même en file d'attente au magasin. L'effet d'un tel entraînement est incroyable depuis plus d'une douzaine d'années, non seulement pour les femmes, mais aussi pour les hommes, ouvrant littéralement de nouvelles frontières du plaisir sexuel.

Cinquième leçon. Harmonie

Mais le principal secret des geishas réside dans l'harmonie. Tout ce qu'ils font, touchent et disent respire le naturel. Pas d'artifice, seulement de l'art. L'homme a l'impression complète qu'avec toute cette beauté et ce talent cachés, vous êtes déjà né. Créer autour de vous ce monde d'une harmonie étonnante - c'est la plus haute compétence d'une geisha.

L'image d'une geisha - une femme en costume de kimono national traditionnel et avec une coiffure complexe caractéristique - est devenue un véritable symbole du Japon. Une beauté recevant des invités dans une maison de thé, versant du saké et menant de petites conversations n'est pas seulement un personnage déguisé. C'est une incarnation vivante des traditions primordiales du Pays du Soleil Levant. De plus, une femme moderne a beaucoup à apprendre des geishas japonaises. Malgré le fait que les geishas ne faisaient pas partie des femmes pour les plaisirs charnels, elles savaient tourner la tête. Mettons en service les principaux secrets de la séduction des geishas japonaises.

Fleurs naturelles

La culture japonaise originale du divertissement, qui comprend à la fois les geishas et les prostituées, n'est pas en vain appelée "karyukai", qui signifie "le monde des fleurs et des saules". Et les quartiers de Kyoto, Osaka et Tokyo, où vivaient les geishas, ​​portaient également un nom de fleur - "hanamachi", qui signifie "ville des fleurs".

Imaginez la vie d'un Japonais il y a quelques siècles: au début, il obéit strictement à ses parents, puis - de rang supérieur, à des nobles plus nobles ou à des chefs militaires. L'essentiel dans sa vie est le devoir, et toutes ses actions sont subordonnées à l'accomplissement de ce devoir. Il a pris sa femme non pas par amour, mais par la décision de ses parents, et s'il a eu de la chance, alors au moins elle n'était pas dégoûtante pour lui. Un homme éprouve constamment une forte tension nerveuse et il a besoin de se détendre au moins parfois.

Eh bien, nous savons que la prostitution au Japon existe depuis des siècles, mais une seule joie corporelle d'une femme rémunérée ne suffit pas pour un homme qui se respecte. Il assiste, avec d'autres hommes de son entourage, à des banquets d'agrément dans des salons de thé. Il n'est pas d'usage d'emmener des épouses légitimes, gardiennes du foyer, à de telles fêtes, mais c'était tout simplement impensable à cette époque. Mais comme c'est agréable quand des femmes belles et instruites décorent le banquet, avec qui il est intéressant de parler !

Mais dans le monde difficile des samouraïs, il doit y avoir un lieu et un temps pour des plaisirs sublimes, c'est pourquoi les messagers du "monde des fleurs" étaient nécessaires.

Au début, les acteurs du théâtre kabuki, également des hommes, ont repris la fonction de divertissement et de banquet, et au fil du temps, des femmes sont apparues qui existaient spécifiquement pour briller lors de fêtes, verser du saké et du thé et, bien sûr, entretenir une conversation pleine d'esprit.

C'est peut-être le premier secret de l'attractivité d'une geisha - son statut particulier. Ce n'est pas une femme et tu ne lui dois rien. Ce n'est pas une prostituée, et il n'y a pas de quoi la mépriser, ce n'est pas une honte de s'asseoir à côté d'elle à table. C'est une femme pour l'âme, pas pour le corps ou la vie.

Vous la reconnaîtrez à mille

L'apparition d'une geisha est aussi un ensemble de règles strictes, et le Japon ne serait pas le Japon s'il en était autrement. Par conséquent, l'une des forces d'une vraie geisha est la discipline.

Le kimono à deux couches est attaché avec une ceinture, qui est rentrée dans un nœud complexe à l'arrière, de sorte qu'une geisha ne peut pas s'habiller, elle a besoin d'aides. A titre de comparaison : les prostituées nouaient un kimono devant avec un simple nœud pour pouvoir le dénouer plus facilement plusieurs fois par jour.

Les chaussures de geisha sont des sandales geta spéciales qui se portent sur des chaussettes blanches. Dans toutes leurs tenues élaborées, les jeunes étudiants pratiquaient jour après jour une démarche spéciale de hachage.

La secrétaire Verochka a parlé de la même chose dans le film "Office Romance", critiquant la démarche professionnelle des femmes: "Et maintenant, elle gratte pour le travail, comme si elle enfonçait des pieux!"

Les geishas marchaient à petits pas - ce ne sont pas des bonnes à marcher d'une manière rapide ! Et les hommes japonais ont réagi à cette démarche comme un signal : "la beauté c'est marcher !"

Le maquillage traditionnel d'une geisha semble désormais étrange, comme si le visage était couvert de farine. Mais les Japonais du dernier et de l'avant-dernier siècle croyaient qu'un visage blanchi, sur lequel les yeux peints ressortent brillamment et une fleur écarlate de lèvres peintes fleurit, est mystérieux et beau.

Au nom de ce mystère, les geishas ont été empoisonnées au blanc de zinc pendant des siècles, jusqu'à ce qu'elles inventent des cosmétiques plus doux.

"L'uniforme" d'une femme spéciale, le maquillage et la marche d'une femme spéciale - tout cela avait un effet envoûtant sur les hommes. L'un des secrets de la séduction des geishas est de créer une aura d'exclusivité autour d'elles.

"La beauté et le tourment sont inséparables pour nous"

La coiffure de geisha est une autre croix que les "femmes pour l'âme" ont portée toute leur vie. Une structure complexe et volumineuse, strictement conforme au canon, était décorée d'épingles à cheveux, de rubans, de fleurs ou de pendentifs. Les artisans-coiffeurs ont peigné les mèches avec de la cire et un composé de liaison, les ont disposées dans de grands rouleaux et les ont fixées avec des épingles à cheveux. Geisha a pris soin de la tête magnifiquement posée et, dans un souci de préservation de leurs cheveux, a dormi en tenant leur tête sur un support en bois spécial. Dès leur plus jeune âge, ils se sont habitués au fait que la beauté exige des sacrifices.

Dans le célèbre roman "Mémoires d'une Geisha", l'une des héroïnes, la populaire geisha Mamea, dit à son élève Sayuri : "La beauté et le tourment sont inséparables pour nous : tes jambes vont te faire mal, tes doigts vont saigner, ça va même faire mal pour s'asseoir et dormir.

Tourmenter pour la beauté, que les hommes ne connaissent pas - un autre secret particulier des geishas. Les clients des banquets ont vu des beautés fraîches, amicales et souriantes, mais ils ne savaient rien des efforts déployés par cette beauté.

homme d'art

Lorsque de jolies et intelligentes filles ont été vendues pour apprendre l'art de la geisha, elles se sont installées dans le soi-disant "okie", dont la maîtresse était une ancienne geisha. Les filles aidaient aux tâches ménagères, servaient des geishas par intérim (qui soutenaient l'okiya avec leurs revenus) et apprenaient divers arts - danser, chanter, jouer des instruments de musique nationaux - shamisen (luth), flûte fue. De plus, les jeunes débutantes ont appris l'art de la cérémonie du thé, l'ikebana (les secrets de la fabrication des bouquets), la calligraphie, la peinture

Ainsi, une geisha doit avoir su chanter et danser - et si les invités au banquet voulaient profiter de ses talents artistiques ? Certes, les invités d'Europe et d'Amérique étaient perplexes devant le chant et la danse des geishas.

La danse pantomime, où chaque mouvement a un sens, était incompréhensible pour les étrangers. Et le chant n'était pas impressionnant - trop calme et nasillard, "comme un chat miaule"

Mais il suffit que tout cela ait été apprécié par les compatriotes des geishas.

Les beautés des fêtes pouvaient soigner, mais elles-mêmes ne mangeaient jamais en présence d'hommes. Ils pourraient verser du saké, mais se saouler signifie perdre son emploi. Pour cette raison, les geishas semblaient aux invités des créatures surnaturelles, aériennes et intangibles. Ce n'est pas pour rien qu'on leur a appris dès l'enfance à penser plus souvent aux fleurs de cerisier, et non au porc frit - pour que des pensées sublimes illuminent leurs visages de l'intérieur.

Geisha possédait des compétences particulières que les autres femmes n'ont pas apprises - un autre secret de leur attirance pour les hommes. De plus, ils gardaient sacrément leur mystère.

Qu'en est-il de parler?

L'art de la conversation est l'une des compétences principales et précieuses des geishas. C'est un monde d'hommes - les femmes japonaises l'ont compris depuis longtemps. Un homme se fatigue au travail et à la guerre, tandis qu'une femme doit ravir sa vue, son ouïe, son odorat et, bien sûr, son esprit. Des femmes cultivées et développées étaient invitées aux plus hautes réceptions, qui pouvaient soutenir des conversations sur n'importe quel sujet.

De plus, les beautés en kimono ont appris à être des psychologues subtiles. Dans leurs relations avec les clients, ils essayaient toujours d'être sobres, voire amicaux. Les hommes se sont détendus, recevant des compliments exquis et polis de la part des beautés. Lors des réunions, des questions parfois importantes de politique et d'affaires étaient discutées, de sorte que les geishas ont appris à se taire et à garder pour elles les informations sur ce qu'elles avaient entendu.

Quand une femme brille comme le soleil vers un homme et est prête à l'écouter attentivement, il l'appréciera certainement. C'est aussi un secret important de la séduction des geishas.

Un peu d'érotisme

Bien sûr, des clientes de haut rang, succombant aux charmes des geishas, ​​se sont fait des maîtresses parmi les représentants de cette classe. Mais lors des banquets, la relation n'allait jamais au-delà d'un léger flirt. Une geisha est un maître des allusions subtiles, pas des émissions de haut-parleurs.

« Vous avez une très belle main et une peau merveilleuse. Vous devez vous assurer que chaque homme assis à côté de vous voit votre main au moins une fois par nuit », a expliqué Mamea au jeune Sayuri dans le livre Memoirs of a Geisha. "La partie la plus agréable de la main est l'intérieur, vous devez donc tenir la théière de manière à ce que l'homme voie d'abord l'intérieur de la main."

Les geishas n'ont fait que subtilement laisser entendre aux hommes qu'elles n'étaient, en fait, pas seulement douées pour les conversations. Une expression franche de la sexualité était laissée aux femmes se vendant dans la rue.

ponctualité japonaise

Peut-être convient-il de noter un autre point important qui rend une geisha encore plus attrayante. Le fait est qu'une femme japonaise en costume traditionnel ne ressemble qu'à une poupée de porcelaine. C'est une décoration trompeuse. Les conditions naturelles difficiles sur les îles et la lutte constante pour la survie et pour une place au soleil rendaient les femmes japonaises très fortes, robustes et pratiques. Si ce sont des magnolias, alors ils sont vraiment "en acier".

Ici une citation du roman de Valentin Pikul "Les trois âges d'Okini-san" sera mise en place :

"Maintenant, pendant toute la durée du séjour à Nagasaki, je suis calme pour vous : il n'y a pas encore eu de cas où un jeune officier qui a épousé une Japonaise était en retard pour son quart !" Ainsi, un marin russe a dit à un autre quand, alors qu'il servait au Japon, il a pris une "musume" - une épouse temporaire de femmes locales. En effet, les épouses japonaises temporaires s'occupaient de leurs maris russes comme s'ils étaient des conjoints pour la vie. Et ils ont toujours veillé à ce que leur «mari» n'ait pas de soucis inutiles - ils ont eux-mêmes suivi le temps et loué un bateau pour que le marin soit livré au navire sans délai.

Une femme peut être très belle, mais ce n'est pas une garantie qu'elle ne peut être qu'un ornement toute sa vie - les geishas japonaises l'ont très bien compris, et donc les clients qui réussissent les ont souvent prises comme épouses. La qualité la plus précieuse d'une femme japonaise est que vous pouvez compter sur elle.

Beaucoup de gens pensent que les geishas sont des prostituées japonaises ordinaires. En fait, il est impossible de mettre un signe égal entre ces concepts.

Depuis des temps immémoriaux, au Japon, on a l'habitude de diviser les femmes en trois catégories. Pour la famille et la procréation - une femme, pour le corps - une oiran (prostituée), pour l'âme - une geisha.

Comment devenir une geisha

Devenir une geisha n'est pas facile. Il faut y consacrer au moins dix ans de vie : de six à seize ans. Les filles sont formées par des geishas déjà établies. Sous leur direction, ils étudient la littérature spécialisée, apprennent le chant, les danses, apprennent des étrangers et écrivent leurs propres poèmes, se familiarisent avec les bases de la psychologie masculine et comprennent bien d'autres choses tout aussi importantes.

Fait intéressant, selon les coutumes japonaises, les relations sexuelles avec une geisha ne pouvaient pas durer plus de deux heures, cette règle est encore observée aujourd'hui.

La différence entre les geishas et les prostituées

Et voici comment les geisha elles-mêmes expliquent la différence entre une geisha et une prostituée. Sakawa Eshi dit : « La principale différence entre une geisha et une prostituée est que le client reçoit le principal plaisir d'une prostituée, même la plus chère et la plus habile, au lit. Je suis formé à de tels mouvements qui font que le client éprouve un orgasme même pendant la danse elle-même. MAIS c'est le PREMIER ORGASME. Ensuite, la geisha doit être capable de restaurer le pouvoir masculin du client à l'aide des mains et des lèvres, et seulement avec ces touches légères, lui faire vivre un SECOND ORGASME. Et seulement le TROISIÈME qu'il vivra avec elle au lit. C'est notre "minimum de candidats". Dans mon pays natal, dans le temps imparti (deux heures), le client parvient à "jouir" non pas trois, mais six fois. Ce n'est pas une exagération, mais l'expérience des siècles. Votre prostituée ordinaire peut-elle faire quelque chose comme ça ? »

Les getters ne sont pas des prostituées

Comme les geishas, ​​vous ne pouvez pas traiter les hétérosexuels de prostituées. Pour comprendre cela, il suffit de lire le célèbre roman d'Ivan Efremov "Les Thaïlandais d'Athènes". Les getters étaient formés dans pas moins d'arts que les geishas, ​​et leur tâche principale était d'éduquer l'âme d'un homme.

Et si nous parlons des arts, alors, peut-être, les femmes indiennes ont surpassé tout le monde dans ce domaine. Voici une liste de 64 arts qu'un "hetaera" était censé maîtriser :

• en chantant
• instruments à jouer;
• dansant;
• dessin;
• dessiner une marque sur le front;
• disposer en rang des grains de riz et des fleurs;
• décoration florale;
• coloration des dents, vêtements, membres du corps;
• décorer le sol avec des bijoux;
• préparation du lit;
• jouer des instruments dans l'eau;
• asperger d'eau;
• trucs spéciaux;
• tissage de diverses guirlandes ;
• production de couronnes et diadèmes;
• l'art de s'habiller;
• décoration d'oreille;
• préparation d'arômes,
• l'utilisation de bijoux;
• la sorcellerie;
• les tours de Kuchumara ;
• légèreté des mains (en toutes matières);
• préparation de décoctions comestibles à partir de divers légumes;
• préparation de boissons, jus, boissons fortes stimulantes;
• l'art de la couture et du tissage;
• jeu de fil;
• jouer de la vina et du damaruka;
• puzzle;
• jouer dans la poésie;
• l'utilisation de mots difficiles à prononcer;
• Lire des livres;
• connaissance des pièces de théâtre et des histoires;
• ajout d'une partie donnée du verset;
• tisser divers tissus et roseaux;
• fil de discussion;
• charpenterie;
• entreprise de construction;
• échantillon d'argenterie et de bijoux;
• métallurgie;
• connaissance de l'origine et de la couleur des pierres précieuses;
• l'art de l'entretien des arbres;
• organisation de combats de béliers, coqs, cailles;
• apprendre aux perroquets et aux étourneaux à parler ;
• l'art du massage, du frottement, du nettoyage des cheveux;
• transférer des mots avec les doigts;
• divers types de langage conditionnel;
• connaissance des dialectes locaux;
• décorer le wagon avec des fleurs;
• interprétation des présages;
• possession de schémas;
• l'art de la mémorisation;
• lecture conjointe;
• contemplant la poésie;
• connaissance des dictionnaires et des ouvrages de référence;
• connaissance de la prosodie;
• dispositifs poétiques;
• façons d'induire en erreur ;
• couvrir (du corps) avec des vêtements;
• divers jeux de hasard;
• jeu de dés;
• jeux pour enfants;
• connaissance des règles de la décence;
• l'art de gagner;
• exercices corporels.

La liste ci-dessus est certainement impressionnante. Naturellement, une telle éducation n'était pas accessible à tous, la maîtrise des arts étant à cette époque le privilège de l'aristocratie et des hétaïres. Mais le fait que la « barre » éducative ait été maintenue haute est évident. Hélas, on ne peut pas en dire autant de l'éducation actuelle des femmes (cependant, comme des hommes). Combien d'entre nous maîtrisent au moins certains des arts de la liste ci-dessus ? Je pense qu'il y a très peu de telles personnes.

Femme idéale

Bien sûr, étudier tous les arts de cette liste n'est tout simplement pas réaliste dans nos conditions. De plus, de nombreux types d'art de cette liste sont assez spécifiques et quelque peu dépassés. Mais il ne fait aucun doute qu'à notre époque, une femme qui s'efforce de devenir idéale a besoin d'étudier les arts de base et de les pratiquer - musique, danse, chant, peinture, poésie, couture, broderie, connaissance du maquillage, fabrication de fleurs artificielles, phytodesign, l'art de l'amour et un autre genre d'art.

La geisha est peut-être l'un des symboles les plus frappants du pays du soleil levant, l'incarnation de la vraie féminité et de la grâce. Et ce symbole est beaucoup plus profond et plus complexe qu'un simple costume stylisé, un maquillage spécial ou une coiffure élaborée de figurants qui prennent volontiers des photos avec des touristes au Japon pour une somme modique.

Le mot "geysya" est traduit par "homme d'art". La première geisha est apparue au 17ème siècle, quand il y avait des quartiers spéciaux au Japon où l'on pouvait s'oublier dans les bras d'une courtisane, boire, se détendre et généralement s'évader de l'agitation du monde. Mais le pain seul (ainsi que le thé et le saké) ne suffisait pas, les braves shoguns voulaient des lunettes. Et les hommes geishas s'occupaient d'eux du mieux qu'ils pouvaient : ils plaisantaient, chantaient, dansaient, jouaient des scènes et augmentaient de toutes les manières possibles le degré de plaisir. Le rôle féminin n'était réduit qu'à la satisfaction des besoins sexuels du client.

On dit que l'une des filles, soit déçue par le métier lui-même, soit par les revenus qu'il rapportait, a décidé de s'essayer au rôle de geisha divertissante. Cela s'est bien passé. Bientôt, d'autres Japonaises entreprenantes suivirent son exemple, évinçant lentement mais sûrement les hommes du « marché du travail ». En 1770, le métier de geisha a été reconnu comme une profession et leurs activités ont commencé à être contrôlées au niveau de l'État.

Seulement sans mains !

Geisha a donné (plus précisément, vendu) à un homme sa société, son talent artistique, son charme, mais pas son corps. La loi leur interdisait de fournir des services d'amour - à ces fins, il y avait des femmes plus accessibles et beaucoup moins respectées. Et les geishas étaient des femmes riches, prospères et influentes, et elles n'avaient pas besoin d'offrir quelque chose de plus à leurs clients.

Populaire

Une personne sophistiquée, d'un seul regard, pouvait déterminer qui était devant elle - une formation exquise, sophistiquée et à long terme et en même temps une geisha inaccessible ou simplement une beauté de vertu facile. Au début, la ceinture obi était nouée dans le dos. La seconde avait un nœud frontal et moins complexe, car elle devait enlever son kimono de temps en temps.

Il y avait un autre type de femmes "pour l'âme et le corps": des courtisanes instruites, gracieuses et chères - tayu et oiran. Ils connaissaient parfaitement l'ABC des plaisirs amoureux, et leurs services coûtaient de l'argent fabuleux. De plus, les maîtresses arrogantes pouvaient facilement refuser un client si elles décidaient qu'il n'était pas assez bon. Tayu et oiran ont noué leur obi devant avec un magnifique nœud en forme de cœur - signe qu'elles étaient de nobles dames qui n'avaient pas le temps de travailler. À l'apogée de la geisha, tayu et oiran ne supportaient pas la compétition et commençaient à perdre rapidement leur popularité.

La beauté exige...

Une geisha passe 4 à 5 heures par jour à créer une image idéale. Ses robes valent des milliers, voire des dizaines, des centaines de milliers de dollars. Mais dans leur garde-robe il y a plus d'une ou deux tenues, car cela doit correspondre à la saison, dont il y en a déjà 28 dans l'année japonaise.

La coiffure geisha est le résultat d'une visite hebdomadaire chez le coiffeur, qui crée de véritables œuvres d'art à l'aide de vernis, d'épingles à cheveux et de superpositions. Et comme une véritable œuvre d'art, elle nécessite une manipulation soigneuse. Pour entretenir sa coiffure, une geisha doit s'habituer à dormir absolument immobile sur un oreiller en bois placé sous sa nuque. Pour comprendre la science, du riz a été dispersé près de l'oreiller: si vous bougez la nuit, il se coincera dans vos cheveux, le style sera gâché et la fille elle-même sera certainement réprimandée.

Les femmes japonaises de vertu facile pouvaient se permettre des ornements de cheveux luxuriants, tandis que les éléments de la coiffure d'une geisha expérimentée ou d'une étudiante en geisha (maiko) étaient stricts et concis. Soit dit en passant, les bâtons de bois dans les cheveux n'ont pas seulement une valeur esthétique: bien aiguisés, si nécessaire, ils pourraient devenir un moyen de protection contre les hommes ivres ou simplement agressifs.

Le maquillage de Geisha est blanc sur le visage et le cou, rougissant sur les joues, les lèvres écarlates, les yeux ridés et les sourcils fins. Un accent important dans l'image est une petite zone nue, non recouverte de peau blanche à l'arrière du cou. Il crée l'illusion que la geisha porte un masque, ce qui rend la fille particulièrement séduisante et mystérieuse.

Les sous-vêtements européens traditionnels ne se portent pas sous un kimono. Son rôle est joué par deux bandes de tissu qui enveloppent la poitrine et les hanches. Au-dessus du kimono se trouve un large obi qui soutient le dos, et la longueur et la position de la ceinture dépendent du statut d'une geisha.

Aux pieds d'une geisha se trouvent des chaussures à hautes semelles en bois. Garder l'équilibre et ne pas tomber en grande tenue est assez difficile. « Je pesais quatre-vingt-dix livres. Tous les vêtements - un kimono avec des ornements de cheveux - pourraient bien peser quarante », a écrit Iwasaki Mineko, l'une des célèbres geishas, ​​​​dans ses mémoires.

Sans surprise, la démarche des geishas est particulière : le haut du corps est très droit, les genoux légèrement fléchis, les pas effilés et les orteils légèrement pointés vers l'intérieur. Selon une poétique expression japonaise, une geisha qui marche serait une vague se brisant sur un rivage sablonneux. Mais tous les mouvements d'une geisha sont déjà perfectionnés à la perfection : on leur a appris à entrer, s'asseoir, verser du thé, servir du saké, utiliser un parapluie ou un éventail depuis des années.

Femme silencieuse

Les geishas connaissent bien l'art, la politique, jouent du shamisen et dansent. Plus important encore, ils utilisent toutes ces connaissances et compétences pour plaire à l'interlocuteur, l'aider à se détendre et à se détendre.

Un homme à une réception de geisha devrait se sentir comme un invité bienvenu. Avant la visite, elle recueillera des informations sur ses loisirs, ses centres d'intérêt, sa profession et les appliquera au bon moment. Une geisha qualifiée augmentera certainement l'estime de soi de l'invité, sera gentille et attentive. De plus, les clients apprécient les geishas pour leur sens de l'humour. Précis et drôle, voire modérément audacieux, mais les remarques de fierté caressantes agissent parfois encore plus fort que la beauté et la grâce.

Mais la compétence la plus importante d'une geisha, si rare pour une femme, est de garder la bouche fermée. Une belle femme japonaise a un sceau de silence sur ses lèvres. Un homme sait avec certitude que tout ce qu'il dit ne quittera pas la pièce. En grande partie grâce à cette précieuse qualité, les geishas se sont élevées si haut à leur époque. Quand, en 1867-1868, les braves samouraïs prévoyaient de renverser le shogunat Tokugawa, ils tenaient leurs réunions secrètes anti-étatiques précisément avec les geishas. Et ils n'ont pas déçu. Bien sûr, après l'accession au trône du nouvel empereur, les geishas étaient proches du groupe de nobles le plus puissant du pays.

Bien sûr, il y a des exceptions : l'une des geisha a raconté à la presse sa relation avec le Premier ministre, et s'est même plainte des mauvais traitements. Le malheureux premier ministre a démissionné. Et la geisha influente du pays a condamné la collègue bavarde, car elle a violé le code du silence.

Pour la maison, le sexe et l'âme

"Une femme c'est pour le foyer, une prostituée c'est pour le sexe, une geisha c'est pour l'âme", dit un proverbe japonais. Il y a aussi un conte de fées dans le folklore sur une femme remerciant une geisha sur son lit de mort pour avoir pris soin de son mari bien-aimé. Bien sûr, tout se passe dans la vie, mais une femme vraiment sage ne fera pas la leçon à son mari pour avoir rendu visite à une geisha. Après tout, la tâche de la femme est de gérer la maison et d'élever les enfants. Et c'est bien si un mari peut parler de sujets abstraits, soulager le stress et se détendre en compagnie des meilleures femmes du pays. D'autant plus que désormais, alors qu'il y a un peu moins d'un millier de geishas au Japon (contre des dizaines de milliers à l'apogée de l'artisanat), de telles visites sont un indicateur de la haute position et du goût raffiné d'un homme. Bien sûr, les épouses japonaises regardent différemment les intrigues avec des femmes ordinaires, mais une visite à une geisha est, pourrait-on dire, un honneur pour toute la famille.