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Licenciement pour raisons médicales : une procédure par étapes. Interruption de grossesse pour raisons médicales

Pour effectuer n'importe quel travail, un citoyen doit avoir certaines compétences, capacités et capacités. Une attention particulière est portée à la santé du salarié. Si une personne devient invalide pour diverses raisons ou ne peut pas continuer à travailler dans un poste particulier, le licenciement est alors effectué pour des raisons médicales. Le processus doit être bien conçu. Les problèmes de santé peuvent être détectés lors d'un examen physique obligatoire ou après une intervention chirurgicale et une maladie.

Le licenciement d'une personne à l'initiative de l'employeur n'est possible que s'il existe de bonnes raisons. S'ils sont absents, la résiliation de la relation de travail est considérée comme illégale. Le licenciement pour raisons médicales est utilisé à condition qu'un spécialiste particulier ne puisse vraiment plus faire face à ses fonctions en raison de la détérioration de sa santé.

Un document officiel doit servir de base à la résiliation du contrat de travail. Il est présenté par un rapport médical, qui confirme qu'un citoyen particulier a subi une perte totale ou partielle de capacité de travail.

Un avis d'expert n'est délivré que par deux organismes :

Commission d'experts cliniques. Les membres de cette commission identifient à quel point l'état de santé d'un citoyen s'est détérioré sous l'influence de divers facteurs. De plus, des conseils sont donnés sur les conditions dans lesquelles il est permis de continuer à travailler.
Commission médico-sociale. C'est elle qui décide de la reconnaissance d'une personne déterminée comme personne handicapée. Des recommandations sont données sur où et dans quelles conditions l'activité de travail peut se poursuivre.

Les décisions de ces commissions sont contraignantes, par conséquent, si une personne souhaite toujours continuer à travailler dans les mêmes conditions, le responsable est tenu de lui fournir des conditions qui n'entraîneront pas une détérioration de son état.

Si la direction de l'entreprise reçoit la conclusion de la commission, qui indique que l'employé, en raison de son état de santé, ne peut plus faire face à ses fonctions principales, alors l'une des décisions suivantes est prise :

si l'employé ne peut pas du tout continuer à exercer des activités de travail, alors, conformément à l'art. 83 du Code du travail, il quitte immédiatement l'entreprise, de sorte que l'employeur n'a pas le droit d'exiger un arrêt de travail ;
si la capacité de travail n'est que partiellement perdue et qu'il est également recommandé de transférer l'employé à un autre poste, le chef d'entreprise peut offrir la possibilité de transférer à un autre poste, mais si l'employé n'est pas d'accord au transfert, le contrat de travail est résilié sur la base de l'art. 77 CT ;
si l'employeur n'a pas la possibilité de transférer l'employé à un autre poste, la relation de travail est résiliée et une référence à l'art. 77 savoirs traditionnels.

Le licenciement pour raisons médicales n'est autorisé que si le salarié n'est pas en mesure, sur la base de l'avis reçu, de prendre ses fonctions pendant 4 mois ou plus. Si la période de réadaptation ou de traitement ne dépasse pas 4 mois, l'employeur est obligé de retirer le spécialiste du travail sans épargner de revenus, mais avec la préservation du lieu de travail. A défaut, le salarié peut contester le licenciement pour motif médical. La procédure étape par étape pour mettre fin à un contrat de travail dépend de qui en est l'initiateur.

Le licenciement d'un salarié pour raison médicale est le plus souvent effectué à l'initiative du chef direct de l'entreprise.

Mais souvent, les spécialistes embauchés directement comprennent qu'ils ne peuvent plus s'acquitter de leurs fonctions officielles. Dans ce cas, ils écrivent une lettre de démission, où ils indiquent que leur départ est associé à une mauvaise santé. Dans ce cas, il est nécessaire de se référer aux résultats de l'examen médical.

Nuances avec invalidité partielle et complète

Le rapport médical contient des informations sur les conditions dans lesquelles un citoyen peut continuer à travailler. Si le poste répond à ces exigences, la personne peut continuer à travailler dans l'entreprise. Si les conditions ne répondent pas aux exigences de la conclusion, l'employeur peut proposer un autre poste ou résilier le contrat de travail.

Si la conclusion indique qu'une perte totale de capacité de travail a été enregistrée, la relation de travail doit être résiliée, après quoi le licenciement est enregistré dans le livret de travail. Ces mesures sont généralement appliquées lors de l'attribution du 1er groupe d'invalidité. Le licenciement pour raisons médicales dans ce cas ne contredit pas les exigences de la loi.

Si, en raison de diverses blessures ou maladies, un spécialiste embauché ne peut pas continuer à travailler, le licenciement est alors effectué pour des raisons médicales. La procédure étape par étape du processus comprend les étapes suivantes :

initialement, l'employé reçoit un certificat médical approprié, qui indique dans quelles conditions un citoyen peut continuer à travailler ;
le document est transmis à l'employeur;
si l'entreprise a des postes vacants adaptés à l'état de santé du salarié, une mutation lui est proposée ;
la proposition doit être formée par écrit, et également remise sous la signature ;
si l'employé n'est pas d'accord avec le transfert, il établit une déclaration correspondante ;
une décision est prise de résilier le contrat de travail ;
l'employé est informé de cette décision et l'avis doit indiquer le motif de la fin de la relation de travail ;
une ordonnance de licenciement est émise ;
il est fourni pour examen à l'employé qui signe le document ;
les règlements sont conclus avec le spécialiste licencié;
les informations nécessaires sont inscrites dans le cahier de travail et la carte personnelle d'un spécialiste de l'entreprise.

L'employeur ne doit sauter aucune étape, sinon le processus peut être remis en cause. Après avoir effectué ces actions, le salarié est licencié pour raisons médicales.

Si l'employé décide lui-même d'arrêter de travailler en raison d'une mauvaise santé, il établit une déclaration. Il comprend les informations suivantes :

NOM ET PRÉNOM. et poste occupé ;
motif de licenciement, représenté par une mauvaise santé;
la date à laquelle la fin de la relation de travail est prévue ;
Signature.

Puisque l'employé est licencié pour des raisons médicales, le travail n'est pas requis pendant deux semaines. Cela est dû au fait que le citoyen n'a tout simplement pas la possibilité de s'acquitter de ses fonctions officielles. Un exemple d'une telle déclaration peut être trouvé ci-dessous.

Si la décision de mettre fin à la relation de travail est prise par l'employeur, il envoie une notification au salarié. Il contient les informations suivantes :

les motifs de résiliation du contrat sont donnés, présentés par un licenciement pour raison médicale ;
il est signalé qu'il n'y a pas de postes vacants dans l'entreprise qui pourraient être proposés à l'employé ;
indiquer la date de résiliation de l'accord;
la signature du chef et le sceau de l'organisation sont apposés.

Une telle notification est transmise pour examen à un spécialiste sous la signature.

Le licenciement pour raisons médicales ne se produit pas toujours. Le handicap du groupe 3 est considéré comme le plus simple et, lorsqu'il est enregistré, les citoyens peuvent continuer à travailler même dans des conditions plutôt difficiles. Par conséquent, les employeurs offrent souvent aux spécialistes la possibilité de changer d'emploi.

Cette offre contient les informations suivantes :

le besoin de transfert est indiqué en lien avec la détérioration de l'état de santé de l'employé ;
tous les postes vacants proposés pour la traduction sont répertoriés ;
le salaire que recevra un spécialiste après avoir occupé un nouveau poste est indiqué;
à la fin, la signature du chef et le sceau de l'entreprise sont apposés.

L'employé doit donner une réponse formelle à une telle proposition. Pour ce faire, un consentement ou un refus écrit est rédigé. Si un citoyen accepte un transfert, les informations pertinentes sont inscrites dans son cahier de travail, après quoi l'employé commence de nouvelles fonctions.

S'il n'est pas possible d'offrir un autre emploi ou si le spécialiste refuse de transférer, l'employé est licencié pour des raisons médicales. La procédure étape par étape consiste à émettre une commande appropriée. Il contient les informations suivantes :

le motif de la rupture de la relation de travail, représenté par la détérioration de la santé du salarié ;
date de résiliation du contrat;
des informations personnelles sur l'employé et sa position dans l'entreprise ;
à la fin, la signature de l'employeur et le sceau de l'entreprise sont apposés.

Cette commande doit être signée par l'employé direct.

Le licenciement pour motif médical prévu par le Code du travail doit être effectué en tenant compte de nombreuses règles. Cela inclut la nécessité de saisir certaines informations dans le cahier de travail. Le document doit contenir les informations suivantes :

numéro d'enregistrement ;
date de saisie des informations ;
des informations sur le salarié licencié ;
raison de la cessation d'emploi;
référence à la commande et à l'art. 77 savoirs traditionnels.

Le dernier jour de travail, un citoyen reçoit un cahier de travail avec d'autres documents nécessaires.

Si en effet un citoyen ne peut pas faire face au travail en raison de la détérioration de sa santé, un licenciement pour raisons médicales est alors nécessaire. L'invalidité du groupe 2 ne vous permet souvent pas de travailler normalement dans des conditions difficiles. En cas de licenciement, l'employeur doit verser à l'employé certains fonds. Ceux-ci comprennent les paiements :

salaire pour toutes les heures travaillées ;
compensation pour les vacances non utilisées ;
indemnité de départ en cas de licenciement pour raison médicale, égale au salaire de deux semaines de travail.

Avant de calculer l'indemnité de départ, il est nécessaire de déterminer quel est le salaire moyen d'un spécialiste dans l'entreprise. Si l'employé perd sa capacité de travail du tout du fait qu'il a effectué un travail dans des conditions dangereuses ou nocives, l'employeur est alors tenu de lui verser des prestations à hauteur du salaire moyen jusqu'à son rétablissement complet.

Si l'entreprise a des postes vacants avec des conditions de travail plus faciles, ils sont proposés à un spécialiste embauché. Cela permet d'éviter le licenciement d'un employé pour des raisons médicales. Les situations suivantes servent de base au transfert :

il y a une conclusion de la commission médicale sur la nécessité d'offrir des conditions de travail plus faciles ;
l'employé a été blessé, après quoi il ne peut pas faire face à ses tâches antérieures;
la personne a subi une intervention chirurgicale;
l'état de santé général s'est détérioré;
Le travailleur est atteint d'une maladie professionnelle.

Si un employé sait que l'entreprise a des postes vacants pour son transfert, mais qu'ils ne lui sont pas proposés, le spécialiste peut faire appel du licenciement devant le tribunal.

Pour déterminer l'état de santé de tous les employés, diverses entreprises procèdent souvent à un examen médical. Le licenciement pour raisons médicales est effectué s'il est révélé qu'un employé particulier ne peut pas faire face à ses fonctions en raison d'une détérioration de sa santé.

Dans de telles conditions, l'employeur ne peut pas exiger d'arrêt de travail, de sorte que le spécialiste quitte immédiatement le travail.

Le licenciement de tout employé est considéré comme un processus spécifique, car des désaccords surviennent souvent entre les deux participants lors de la mise en œuvre de ce processus. Les conflits du travail peuvent être résolus à l'amiable ou par le dépôt d'une plainte auprès de l'inspection du travail ou du tribunal.

Les problèmes les plus courants lors du licenciement d'un salarié en raison d'une détérioration de l'état de santé d'un salarié sont :

l'employeur n'offre pas de postes vacants dans l'entreprise ;
l'employé cache sa maladie ou sa blessure, car il veut rester dans l'entreprise et recevoir un bon salaire ;
l'employeur insiste pour que l'employé rédige une lettre de démission de son plein gré, bien qu'il s'agisse d'une violation flagrante des droits du travail d'un citoyen;
ne verse pas au chef d'entreprise les indemnités et indemnités de départ requises ;
le réalisateur insiste pour travailler.

Tous ces conflits devraient être résolus par l'intermédiaire de l'inspection du travail. De plus, avec l'aide du tribunal, l'employé peut demander une indemnisation pour préjudice moral.

L'état de santé de toute personne peut se détériorer pour diverses raisons à un moment donné. Cela conduit au fait que le citoyen cesse de faire face à ses fonctions officielles. La base de la cessation des travaux est la conclusion de la commission.

Un employeur peut non seulement licencier un employé, mais aussi lui offrir divers autres postes vacants, mais les conditions de travail doivent correspondre à l'état de santé d'un citoyen.

Lorsque le bonheur d'une femme enceinte est éclipsé par un formidable verdict de médecins, elle doit décider d'une étape sérieuse - un avortement pour des raisons médicales. Une telle interruption de la gestation par une méthode artificielle est réalisée dans deux cas - si des malformations graves sont détectées chez le bébé ou si une femme a des maladies incompatibles avec la grossesse. Selon la période, la procédure est réalisée par différentes méthodes et la procédure se déroule uniquement en milieu hospitalier. Considérez les indications médicales officielles de l'avortement, quelles complications peuvent survenir et comment survivre au «syndrome post-avortement»?

Pour des raisons médicales, une grossesse peut être interrompue de façon non planifiée à tout moment. La méthode d'interruption est étroitement liée à l'âge gestationnel.

Jusqu'à la fin du 1er trimestre, l'interruption dite précoce est entreprise. Il est à noter qu'au cours du premier trimestre, une femme a le droit de demander un avortement même sans preuves solides. En tenant compte de la durée et de l'état de la femme, l'obstétricien sélectionnera la méthode d'interruption optimale - avortement instrumental ou médicamenteux.

Après 12 semaines, une interruption tardive de grossesse est pratiquée pour raison médicale. Entre 12 et 22 semaines, diverses méthodes d'interruption peuvent être utilisées, après 22 semaines de gestation - seule stimulation artificielle de l'accouchement.

La méthode d'interruption de la gestation dépend non seulement du terme, mais également du tableau clinique, des qualifications de l'obstétricien-gynécologue, de son expérience et de la base technique de la clinique.

Les institutions médicales spécialisées interrompent la grossesse par les méthodes suivantes :

Interruption médicale. La prise de médicaments provoquant une fausse couche est autorisée jusqu'à 6 semaines. C'est l'option la moins nocive pour l'avortement.
Aspiration sous vide. L'option la plus sûre est l'avortement, qui peut être pratiqué avant 12 semaines de gestation. Après 12 semaines, une dilatation avec évacuation d'embryons est pratiquée. L'essence de la procédure est l'expansion mécanique du passage cervical et le pompage à l'aide d'une installation sous vide du fœtus. Le processus se déroule sous contrôle strict des ultrasons. Cela élimine les traumatismes de l'utérus. La femme est sous anesthésie pendant l'opération. La durée de la procédure est de 40 minutes à plusieurs heures.
Curetage. Une option plus traumatisante pour retirer le fœtus de l'utérus. Elle est réalisée jusqu'à 12 semaines en cas d'inefficacité de la prise de médicaments abortifs ou d'aspiration sous vide. De plus, le curetage peut être effectué ultérieurement, si le gynécologue considère cette option comme productive. L'essence de l'opération: à l'aide d'une curette (instrument médical), l'obstétricien-gynécologue gratte la couche supérieure de l'utérus, capturant l'embryon avec lui. La méthode présente de nombreux inconvénients, notamment une forte probabilité de dommages à l'utérus, des problèmes de conception et de gestation ultérieurs.
Accouchement artificiel. Si la femme a plus de 22 semaines et que le fœtus pèse plus d'un demi-kilogramme ou n'a aucun signe de vie, il est conseillé de déclencher le travail afin que le fœtus sorte naturellement. Cela élimine les complications possibles après interruption par d'autres méthodes.
Hystérotomie. Utilisé en cas d'urgence. Une incision de la cavité de l'utérus est réalisée, suivie d'une extraction du fœtus. Après 24 semaines de grossesse, il s'agit d'une césarienne complète. Il est utilisé dans les cas où d'autres méthodes n'ont pas donné de résultat positif.

Aspects juridiques de l'avortement pour raisons médicales

Pratiquer un avortement selon des indications médicales est une procédure complexe non seulement d'un point de vue médical, mais aussi d'un point de vue juridique. La décision d'effectuer la procédure est prise sur la base des lois en vigueur de la Fédération de Russie. Les indications d'interruption de grossesse contiennent un arrêté du 3 décembre 2007, tel que modifié le 27 décembre 2011.

Si une maladie est confirmée chez une femme enceinte qui sert de motif d'interruption, le gynécologue convoque un conseil de médecins, au cours duquel un examen complet de la femme enceinte est effectué. Si des processus pathologiques dans le corps qui sont incompatibles avec le portage ultérieur du bébé sont confirmés, un document approprié est établi avec un sceau. C'est lui qui sert de base à l'interruption de grossesse.

Une femme, selon la loi, doit être consciente de son état, des risques éventuels en cas de refus de se faire avorter. La femme enceinte doit consentir à la procédure ou la refuser délibérément. Sans cela, l'avortement est interdit. Si une femme est dans un état grave, l'autorisation ou le refus de se faire avorter est signé par le plus proche parent.

Interruption artificielle de grossesse - indications médicales

La décision d'interrompre prématurément est prise lorsque la vie d'une femme est en danger ou qu'il a été établi que le fœtus est atteint de troubles génétiques médicaux qui, après la naissance, entraîneront une invalidité à vie.

Indications médicales pour l'interruption de grossesse: maladies d'une femme

Selon la loi, l'avortement pour indications médicales est pratiqué en présence des pathologies suivantes :

Âge jusqu'à 15 ans.
Tuberculose : toutes les formes actives.
Rubéole : primo-infection au premier trimestre.
Maladies oncologiques malignes dont le traitement nécessite une chimiothérapie ou une radiothérapie des organes pelviens.
Diabète sucré : avec néphropathie sévère, après transplantation rénale, avec rétinopathie diabétique progressive.
Syndrome de Burnett sous forme sévère et en phase active.
Acromégalie en phase active.
Prolactinome (en cas de résistance aux agonistes dopaminergiques et troubles chiasmatiques).
La phase active du syndrome d'Itsenko-Cushing.
Leucémie aiguë principalement diagnostiquée.
syndromes myélodysplasiques.
Lymphomes à haut risque.
Maladie de Hodgkin stade 3-4.
Leucémie myéloïde chronique : en phase terminale ou nécessitant un traitement par des inhibiteurs de la tyrosine kinase.
Maladies myéloprolifératives chroniques en phase terminale.
Forme sévère d'anémie aplasique.
Anémie hémolytique, accompagnée de crises hémolytiques aiguës et d'évolutions récurrentes sévères.
Évolution chronique et récurrente de la maladie de Werlhof, qui ne répond à aucun type de traitement.
Maladie porphyrine : crise aiguë survenant moins de 2 ans après la dernière exacerbation.
Troubles mentaux : chroniques et prolongés, héréditaires et dégénératifs, causés par l'usage de drogues psychoactives, troubles psychogènes affectifs et graves.
Maladies inflammatoires du SNC.
Évolution sévère de la maladie de Huntington.
Evolution sévère de la maladie de Charcot.
Formes graves de parkinsonisme.
Handicaps généralisés de la dystonie.
Évolution progressive de la sclérose en plaques.
Épilepsie sévère.
Troubles aigus de la circulation cérébrale et/ou spinale.
Narcolepsie, catalepsie.
Dommages aux racines nerveuses et aux plexus.
Syndrome de Guillain-Barré sévère.

Important! En cas de refus, la femme assume la responsabilité de sa vie, ainsi que la santé du bébé à naître.

Liste des indications médicales de l'avortement : pathologie fœtale

Liste des indications d'interruption médicale en cas de pathologies irréparables du fœtus :

Constatation de la mort intra-utérine du bébé.
Anomalies génétiques détectées dans le développement du fœtus.
Malformations physiques du fœtus incompatibles avec la vie après la naissance.

Lorsque les anomalies ci-dessus sont détectées, un certain nombre de tests et d'études supplémentaires sont effectués pour s'assurer que le diagnostic est correct. Après cela, on explique à la femme l'opportunité d'un avortement et, avec son consentement, la grossesse est interrompue.

Indications sociales de l'avortement

Selon l'ordonnance du ministère de la Santé de la Fédération de Russie, une femme a le droit de prendre indépendamment la décision d'interrompre une grossesse jusqu'à 12 semaines de gestation. Après cette période, elle doit avoir des indications médicales fortes, qui sont documentées lors de l'examen.

Mais il y a une autre raison d'interruption - le facteur social. Ainsi, un décret du gouvernement de la Fédération de Russie donne à une femme le droit de consulter un médecin pour une interruption ultérieure de grossesse jusqu'à 21 semaines en cas de conception résultant d'un viol. Dans ce cas, l'interruption est effectuée dans le cadre du programme d'assurance maladie de l'État.

Interruption tardive de grossesse : indications médicales, contre-indications, complications

Le retard est appelé interruption au 2ème, 3ème trimestre de gestation. Les indications de l'avortement sont les mêmes qu'aux premiers stades - malformations fœtales, maladie grave de la femme enceinte, incompatible avec la grossesse, prise de médicaments tératogènes, transmission d'infections virales qui perturbent le développement du fœtus (rubéole), etc.

Une interruption tardive de grossesse pour des raisons médicales peut être indésirable en raison des contre-indications de la femme :

Conflit rhésus.
Pathologie de la coagulation sanguine.
Exacerbation de l'infection du système génito-urinaire, y compris le développement de MST.
Corticothérapie au long cours.

Pour assurer la sécurité de l'avortement aux 2e et 3e trimestres, la femme est soigneusement examinée. Assurez-vous d'effectuer une analyse pour la définition des infections génitales, un test sanguin clinique, des indicateurs biochimiques, une échographie, un cardiogramme. Si la cause est une anomalie génétique chez le fœtus, le liquide amniotique est examiné pour confirmer le diagnostic.

On sait que plus l'interruption est précoce, moins il y aura de complications. Pour cette raison, les interruptions tardives pour raisons médicales sont effectuées avec le plus grand soin. Mais cela n'exclut pas le risque de développer des conséquences négatives pour une femme, à savoir:

dommages à l'utérus;
infection de l'utérus et des appendices à la suite d'une extraction incomplète du fœtus;
endométrite;
processus adhésif;
dysfonctionnement hormonal;
endométriose;
infertilité secondaire.

Important! Compte tenu de la longue liste de complications, une future grossesse après une interruption pour des raisons médicales peut ne pas se dérouler aussi bien que nous le souhaiterions. Par conséquent, les femmes enceintes ayant subi un avortement au miel dans le passé doivent être suivies de près par un médecin.

Comment survivre à un avortement médicamenteux

Lorsque vous devez consciemment abandonner un bébé à naître, mais déjà très aimé, une femme plonge dans un état de stress extrême. C'est une véritable épreuve pour elle et ses proches. Comment faire face à cette douleur de la perte et trouver la force de vivre ?

Pour commencer, réalisez que sans un désir personnel d'en faire l'expérience, vous ne réussirez pas. Après tout, il est impossible d'aider une personne qui ne le veut pas. Ouvrez-vous à vos proches, acceptez leur soutien.
Maintenant, vous devez accepter le fait que vous avez accepté l'interruption. Vous ne devriez pas vous blâmer pour quelque chose, car les circonstances de cette grossesse ne dépendaient pas de vous. Enfin, acceptez le fait que vous n'êtes pas responsable de ce qui s'est passé et pardonnez-vous. Sans cette étape, toutes les autres actions seront vaines.
Une autre méthode efficace vous aidera : essayez de vous exprimer. Un psychologue, un ami, un mari peut vous écouter. Surtout, ne vous battez pas uniquement avec vos souvenirs. Cela ne fait pas de mal d'être dans des conditions confortables - dans le parc, au théâtre, lors d'un événement culturel.
Portez une attention particulière à la santé. Assurez-vous de suivre un cours de rééducation prescrit par un obstétricien-gynécologue. Prenez également des mesures pour prévenir une grossesse dans les 2-3 prochains mois.

Interruption de grossesse pour raisons médicales - avis

La plupart des cas d'interruption forcée de grossesse sont dus à la formation de malformations du bébé. Les femmes qui vivent cette expérience de dépression, se blâment pour ce qui s'est passé. Les médecins appellent cette condition "syndrome post-avortement". De nombreuses femmes doivent corriger leur passé psycho-émotionnel avec la participation d'un psychologue, mais certaines s'en sortent avec l'aide de leurs proches.

En ce qui concerne les complications après la procédure, les femmes notent souvent un déséquilibre hormonal à court terme, qui se manifeste par un cycle irrégulier, des pertes anormales et des problèmes de conception. Mais un traitement correctement formulé vous permet de normaliser la fonction de reproduction.

Peu importe à quel point c'est difficile, restez positif. Bien sûr, l'interruption forcée d'une grossesse désirée est très difficile à vivre, mais vous avez une autre grossesse devant vous et une rencontre tant attendue avec votre bébé. Par conséquent, essayez de venir à ce moment en bonne santé et de bonne humeur.

Vidéo : Méthodes d'interruption de grossesse pour raisons médicales

L'avortement est l'interruption de grossesse jusqu'à 22 semaines. Le processus d'avortement artificiel est effectué dans un hôpital obstétrique et gynécologique ou dans une clinique prénatale par des spécialistes du profil approprié.

Types d'avortement

À ce jour, toute femme a le droit d'interrompre une grossesse à sa discrétion, si la période ne dépasse pas 12 semaines. Au cours des deuxième et troisième trimestres, les avortements ne sont pratiqués que pour des raisons médicales. Quelle que soit la technique choisie, la procédure s'accompagne de diverses complications et est extrêmement stressante pour le corps féminin, tant au début de la grossesse qu'aux stades ultérieurs.

Il existe de tels types d'avortement:

Un mini-avortement ou une aspiration du fœtus est pratiqué lorsque les menstruations ne sont pas retardées de plus de 20 jours. Vous pouvez interrompre une grossesse précoce dans un hôpital gynécologique ou dans une clinique prénatale ;
Le curetage de l'utérus est réalisé sous anesthésie locale ou à l'aide d'une anesthésie intraveineuse. La procédure pour retirer le fœtus est plus agressive, mais acceptable pour les dates ultérieures;
L'avortement médicamenteux est le moyen le plus récent d'interrompre une grossesse, qui consiste à utiliser des médicaments spécialement sélectionnés qui provoquent une fausse couche spontanée sans aucune intervention chirurgicale.

Interruption planifiée et non planifiée de grossesse

Une femme peut interrompre une grossesse jusqu'à 12 semaines à volonté, s'il n'y a pas de contre-indications. Dans le même temps, un médecin peut fortement recommander à une femme qui souhaite porter et donner naissance à un enfant de recourir à la procédure d'interruption de grossesse. Dans tous les cas, l'interruption artificielle de grossesse est une mesure nécessaire (lorsque le port d'un fœtus peut menacer la vie d'une femme ou que l'enfant lui-même présente des anomalies du développement incompatibles avec la vie).

Il est conditionnellement possible de diviser les indications de l'avortement médicamenteux en deux catégories :

Jusqu'à 12 semaines;
Aux stades ultérieurs (aux deuxième et troisième trimestres).

Indication pour l'avortement précoce

Maladies du système cardiovasculaire, qui s'accompagnent d'une grave insuffisance circulatoire (c'est dangereux pour la femme et le fœtus lui-même);
Leucémie;
Maladies pulmonaires chroniques ;
Maladie rénale, absence d'un rein ;
Forme ouverte de tuberculose;
Maladies endocriniennes graves (diabète, etc.) ;
Interventions chirurgicales reportées, après lesquelles le corps n'a pas eu le temps de récupérer;
Dommages graves au système nerveux;
Rubéole transférée au 1er trimestre ;
Maladie mentale (schizophrénie, épilepsie, démence);
Forme sévère de toxicose précoce ;
Grossesse gelée;
Défauts identifiés de l'œuf fœtal.

Indications pour l'avortement tardif

A partir de la 13e semaine, la grossesse ne peut être interrompue que pour des raisons sociales et un certain nombre de raisons médicales. Pour avoir un avortement médicamenteux, une femme doit se trouver dans les situations suivantes :

Familles nombreuses (plus de trois enfants);
Mort subite du mari pendant la grossesse ;
Divorcer pendant la grossesse ;
La présence d'un enfant handicapé dans la famille ;
Problèmes avec les services sociaux (après la procédure de privation de maternité).

Pour effectuer la procédure d'avortement dans les étapes ultérieures, ils ont recours à la technologie intra-amniotique. Il s'agit d'une méthode impliquant l'introduction de solutions hypertoniques dans la cavité utérine. La vessie fœtale est percée à travers le canal cervical avec un tube stérile et la quantité requise de solution est injectée. Ensuite, la cavité de l'amnios (fœtus) est également remplie de liquide. Pour accélérer le processus d'avortement, ils pratiquent l'introduction de l'induction du travail.

Comment se préparer à la procédure

À tout stade de la grossesse, une femme doit se préparer soigneusement à la procédure à venir. Tout d'abord, il est nécessaire de procéder à un examen gynécologique approfondi. Un médecin de n'importe quelle clinique qu'une femme a vraiment un ovule fœtal, ainsi que l'âge gestationnel exact.

Le rendez-vous chez le médecin commence par une anamnèse approfondie. Il est important non seulement d'établir le fait même de la grossesse et de s'assurer que la femme souhaite vraiment recourir à la procédure d'avortement, mais également de déterminer s'il existe des contre-indications à tout type d'élimination du fœtus. L'interruption n'est pas effectuée si une femme souffre de processus inflammatoires, d'infections aiguës de l'utérus, de l'endomètre ou d'autres organes et tissus du système reproducteur.

Il est obligatoire de procéder à un examen de base du patient sur la chaise gynécologique. Ensuite, le fait de la grossesse est confirmé par les tests nécessaires (analyse de l'hCG) et l'échographie. Après cela, le spécialiste prélève un écouvillon du vagin et de l'urètre. Cela est nécessaire pour déterminer si une femme a un processus infectieux-inflammatoire. Un test sanguin pour la syphilis et l'infection par le VIH est obligatoire.

Comment se déroule un avortement médicamenteux ?

Après avoir effectué les procédures préparatoires standard et la décision finale concernant la procédure d'interruption de grossesse, le gynécologue doit calculer soigneusement la dose de la substance active. Aujourd'hui, de nombreux médicaments différents ont été développés et introduits dans la pratique officielle qui permettent l'avortement médicamenteux et se débarrassent du fœtus à un stade précoce de manière extrêmement confortable et sûre.

L'interruption à l'aide de médicaments spéciaux conduit au fait que l'œuf fœtal est retiré de la paroi utérine et expulsé du corps de la femme. L'auto-élimination du fœtus s'accompagne de saignements, rappelant les menstruations, mais plus douloureux, prolongés et abondants.

Le patient reste à la clinique pendant plusieurs heures, puis rentre chez lui. Après 24 heures, elle est obligée de se rendre à nouveau chez le gynécologue. Si l'avortement a eu lieu, la patiente se voit prescrire des médicaments pour corriger le fond hormonal et un réexamen est prescrit après 3 mois.

Aspiration sous vide

La procédure d'aspiration sous vide pour l'interruption de grossesse dans les premiers stades est réalisée dans un hôpital gynécologique. Le col de l'utérus du canal utérin n'est pas élargi de manière traditionnelle, mais a recours à une pointe spéciale. Il est attaché à un appareil spécial qui crée un vide. Pour l'œuf fœtal au stade initial de développement, une faible fixation à la paroi de l'utérus est caractéristique. En raison de l'effet du vide, l'œuf est facilement séparé. L'aspiration sous vide est réalisée sous anesthésie locale et générale.

Une fois l'avortement pratiqué, la femme reste dans la chambre pendant plusieurs heures.

Curetage de l'utérus

Pendant la grossesse à une date relativement tardive, la méthode traditionnelle de se débarrasser du fœtus est pratiquée - le curetage de l'utérus. L'avortement est pratiqué dans un hôpital sous anesthésie générale.

Tout d'abord, une expansion préliminaire du canal cervical est réalisée avec des dilatateurs spéciaux. Dès que le médecin parvient à ouvrir l'organe, les tissus de l'œuf fœtal sont séparés des parois de l'utérus au moyen d'une curette. Après avoir retiré le fœtus, le médecin effectue un curetage de contrôle. Après s'être assuré que la procédure d'avortement a réussi (cela se traduit par la contraction complète de l'utérus, suivie d'un saignement à court terme et de l'absence réelle du fœtus), le spécialiste termine l'intervention.

Ce type d'avortement n'est pas possible pour les procédures ambulatoires. Après la procédure d'avortement, la patiente est transférée dans le service, des médicaments sont administrés pour réduire l'utérus et le bien-être de la femme est surveillé. La tension artérielle est surveillée et la température corporelle est mesurée. Si la patiente se sent normale, elle sort de l'hôpital. Si l'avortement a provoqué le développement de diverses complications, la patiente est laissée à l'hôpital jusqu'à ce que la pathologie soit complètement éliminée.

Aucune des femmes pour lesquelles une grossesse est souhaitée ne pense même à l'avortement, mais, malheureusement, il existe des cas où il est nécessaire d'interrompre la grossesse pour des raisons médicales, même à une date ultérieure.

La décision d'interrompre une grossesse peut être prise si l'enfant à naître a :

Déformations
Anomalies chromosomiques
Malformations dans le développement du fœtus, pouvant entraîner sa mort dans l'utérus

Dans ce cas, des indications d'interruption de grossesse sont prescrites si, à l'aide d'un diagnostic prénatal, la non-viabilité du fœtus ou des anomalies de son développement sont détectées.

L'interruption de grossesse peut être réalisée de quatre manières

L'avortement médicamenteux - est pertinent jusqu'à six semaines et est effectué à l'aide de médicaments.
Aspiration sous vide, mieux connue sous le nom de mini-avortement (jusqu'à cinq semaines).
Avortement opérationnel ou chirurgical, dans lequel la cavité utérine est grattée - jusqu'à 28 semaines, et c'est le dernier terme pour l'avortement.
Travail provoqué artificiellement au troisième trimestre. Leur mécanisme est similaire à l'accouchement conventionnel, mais avec un curetage ultérieur.
Dans de très rares cas, la grossesse peut être interrompue et à une date très tardive, puis une opération est effectuée - une petite césarienne. Mais généralement, les experts essaient d'éviter une interruption aussi tardive, car un enfant encore vivant peut naître.

Ce qu'une femme devrait savoir

Le verdict - un avortement pour des raisons médicales, doit être précédé d'un examen d'une femme dans un hôpital. De plus, il ne peut être souscrit que par un conseil de médecins, qui comprend le médecin traitant, un spécialiste spécialisé (oncologue, interniste, cardiologue, etc.), ainsi que le responsable de l'établissement médical. Une telle décision ne peut être prise par le seul médecin de la clinique prénatale, tout comme il n'a pas le droit de persuader une femme d'interrompre une grossesse.

Cependant, si le diagnostic est néanmoins confirmé (de plus par plusieurs spécialistes), alors pour maintenir la santé, et parfois la vie, ainsi que pour maintenir la capacité de porter et de donner naissance à un enfant à l'avenir, une femme doit accepter pour interrompre la grossesse.

Conséquences de l'avortement

En ce qui concerne l'avortement, même pour des raisons médicales, vous devez être conscient des conséquences qu'une femme peut attendre d'un avortement, et ce sont :

Maladies de l'utérus causées par des ruptures avec des instruments médicaux, ainsi que par un amincissement des parois de l'utérus.
Maladies inflammatoires de l'utérus, menaçant l'incapacité ultérieure de porter un enfant, ainsi que l'infertilité.
Inflammation du bassin avec formation d'abcès, qui ne peuvent être traitées qu'avec des méthodes chirurgicales.
La péritonite est un processus inflammatoire du péritoine qui peut être fatal.
Septicémie, sinon empoisonnement du sang.
Travail prématuré, activité de travail faible, insuffisance placentaire, décollement placentaire, etc.

En outre, l'avortement a des conséquences psychologiques, sous la forme du syndrome dit post-avortement, qui se caractérise par une dépression profonde, un dysfonctionnement sexuel, la peur, un profond sentiment de culpabilité et d'autres facteurs qui traumatisent l'état mental d'un femme. Autrement dit, en plus du stress physiologique transféré, une femme endure également psychologique. Une charge aussi grave peut provoquer un dysfonctionnement du système immunitaire, qui se traduit par l'apparition de diverses maladies, notamment celles liées au système reproducteur. Par conséquent, ne négligez pas la communication avec un psychologue qui peut apaiser les sentiments, aider à faire face à un faux sentiment de culpabilité et de dépression.

Ce qu'il faut éviter après un avortement

L'état d'une femme après un avortement ne dépend pas seulement des médecins, vous devez donc connaître les contre-indications après un avortement, et ce sont:

Les rapports sexuels sont interdits pendant trois semaines.
Pas de stress physique et psychologique.
Hypothermie.
Se baigner dans n'importe quel plan d'eau, y compris prendre un bain pendant au moins deux semaines.

La relation entre un patron et un subordonné devient beaucoup plus compliquée lorsque le second, selon un rapport médical, ne peut pas exercer ses fonctions. Peuvent-ils être licenciés pour raison de santé et quelle est la procédure de licenciement pour raison de santé pour ne pas enfreindre ?

Un employeur, lorsqu'il licencie des employés en raison d'une maladie qui les empêche de travailler dans une entreprise, doit s'appuyer sur le cadre légal.

La violation du Code du travail de la Fédération de Russie peut avoir des conséquences désastreuses. Plusieurs articles du Code du travail de la Fédération de Russie conviennent à la résiliation des relations de travail pour des raisons de santé. Par ailleurs, l'initiative de démission peut venir aussi bien de la direction que du salarié lui-même :

point 5 - un subordonné pour cause de maladie ne peut plus travailler - la direction devra présenter des documents d'un établissement médical confirmant qu'une personne n'est pas en mesure de travailler ;
8 point - le subordonné, pour cause de maladie, ne peut accepter les nouvelles conditions de travail proposées par l'employeur et, en raison de l'impossibilité de rester plus longtemps sur le même lieu de travail, est contraint de démissionner pour des raisons de santé ;
3 paragraphe (A) de l'article 83 du Code du travail de la Fédération de Russie - le licenciement d'un employé pour des raisons de santé en raison du fait que ce fait ne lui permet pas d'accomplir pleinement son travail.

En plus du Code du travail (et tous ses articles réglementant ce domaine des relations de travail ne sont pas mentionnés ci-dessus), l'employeur doit également s'appuyer sur d'autres normes de la législation moderne. Ceux-ci inclus:

Article 5 du Code des infractions administratives ;
la Constitution de la Fédération de Russie;
Lois sur la protection des droits des travailleurs et de leur santé ;
Arrêt de la Cour suprême, adopté en 2004.

En cas de non-respect des dispositions des actes juridiques réglementaires, un employeur licenciant un salarié en raison de problèmes de santé peut être tenu pour responsable.

Refus de changer de poste pour cause de maladie

Et si, sur la base d'un rapport médical, il peut continuer à travailler au même endroit où il ne pouvait plus le faire auparavant ? Dans ce cas, le licenciement pour raison médicale n'est possible que dans les cas suivants :

le salarié n'a pas accepté d'être muté dans un autre lieu de travail proposé qui lui correspond pour des raisons médicales ;
l'employeur ne peut offrir au subordonné quoi que ce soit qui lui convienne en fonction de sa position.

Cette disposition de la loi s'applique dans les cas où la nécessité d'un transfert est temporaire ou permanente (en cas d'option temporaire, un transfert de plus de quatre mois est envisagé). Le nouveau poste proposé peut correspondre au précédent en termes de qualifications et de rémunération des employés. Ou cela pourrait être pire (le poste est inférieur, le salaire est inférieur, etc.). Dans ce cas, la législation vise principalement la sécurité de la santé et de la vie humaines, et non le prestige et le bien-être matériel.

La procédure de transfert d'un poste à un autre doit être consignée par écrit.

Le subordonné doit recevoir un document contenant une proposition de déménagement vers un lieu de travail plus approprié pour lui. Dans ce document, une personne laisse sa résolution - qu'elle accepte ou non la proposition de l'employeur. Après le refus du subordonné de transférer, un ordre de licenciement doit être émis (il doit également en être informé sous signature). Une entrée correspondante est faite dans (licencié "à quelle date" en vertu de l'article 77, partie 8 du Code du travail de la Fédération de Russie).

Conclusion d'un établissement médical

Une conclusion d'un établissement médical est la seule base pour mettre fin à un contrat de travail en raison d'une mauvaise santé. Et juste un certificat du thérapeute de district ne suffira pas. Documents publiés :

KEK - examen d'expert clinique ;
MSEC - commission d'expertise médico-sociale.

La conclusion de l'une des commissions est incontestable. Et même si la personne elle-même ne veut pas divulguer le résultat, la conclusion lui sera remise pour le travail des médecins sans faute. Par exemple, une personne travaille comme chauffeur ATP dans un bus de passagers et une tumeur au cerveau est découverte en elle. Une personne peut mourir à tout moment et détruire en même temps tous ses passagers, sans parler des voitures aléatoires qui se trouvent à proximité.

Procédure de licenciement

Ainsi, le licenciement pour raison de santé, qui ne contredit pas les lois modernes sur la protection des droits des travailleurs, est possible dans un certain nombre de cas :

les employés de l'établissement médical, à la suite de l'enquête, ont rendu un verdict concernant la personne licenciée - totalement inapte au travail ();
si les problèmes de santé sont si importants qu'une personne ne peut pas travailler au même endroit, mais ne veut pas changer de poste;
si une mauvaise santé peut nuire à la fois au salarié et à ses collègues dans l'exercice de leurs fonctions (menace pour la santé/la vie, atteinte à la production).

Si un employé, indiquant la présence d'une maladie incompatible avec le travail, n'a pas besoin de travailler pendant deux semaines. Une déclaration non fondée sur la maladie ne fonctionnera pas. L'employé devra confirmer toutes ses paroles avec des documents. Pour ce faire, vous devez obtenir l'avis de la commission médicale. Lorsqu'un employé veut démissionner, la procédure est standard. En cas de rupture du contrat de travail à l'initiative de l'employeur, la procédure de licenciement présente certaines particularités.

Autre offre d'emploi

Une fois que le subordonné a fourni au patron la confirmation de l'organisation médicale concernant sa maladie, la direction devra prendre une décision.

S'il existe des postes dans l'organisation selon la liste du personnel qui conviennent aux «malades», le chef est obligé de proposer un transfert à ce poste. Même si en même temps le subordonné perdra en salaire. L'offre est faite par écrit. Le consentement/désaccord doit également être écrit.

Refus d'un employé de muter

Les options d'emploi pour un travail plus facile doivent être préparées par le service des ressources humaines. Le subordonné se familiarise avec les options proposées. Si rien ne lui convient, la personne peut être licenciée en vertu de l'article correspondant. Il est préférable de recevoir un refus d'un employé par écrit ou de rédiger un acte de refus devant témoins. À condition que l'employé ait des problèmes de santé temporaires et qu'il puisse commencer à travailler au plus tard dans 4 mois, il n'est pas nécessaire de licencier un tel employé. Il peut simplement être envoyé en « vacances », mais en même temps, le lieu de travail de la personne est préservé.

L'avis de vacance / offre d'emploi doit être émis en double exemplaire. L'un d'eux doit rester avec le salarié, l'autre est transféré au manager avec une marque d'accord/désaccord. S'il n'y a pas de postes vacants appropriés, les "malades" doivent également être informés de cette situation par écrit.

Ce document est compilé dans l'organisation et enregistré conformément au flux de travail accepté. La commande contient des informations sur :

entreprise;
chef;
congédié ;

A la fin, des signatures sont apposées avec le décryptage des parties intéressées.

En cas de suspension temporaire de ses fonctions en raison du fait qu'une personne est malade, l'arrêté indique la durée pour laquelle le salarié est suspendu.

Inscription au cahier de travail

Dans le cahier de travail, une mention obligatoire est faite sur le licenciement et un article du Code du travail est indiqué, conformément auquel. Cela signifie qu'un enregistrement est nécessairement fait dans le livre de travail qu'une personne a été licenciée en raison d'une mauvaise santé.

Paiements de retraite

Tout licenciement est toujours accompagné du versement d'espèces :

argent gagné (salaire);
vacances non-vacances - ;
autres paiements dus à diverses catégories d'employés.

En cas de perte de travail pour cause de maladie, une allocation supplémentaire est versée - le salaire moyen pendant deux semaines.

Sous réserve de la perte de la capacité de travail pendant l'exercice de ses fonctions, à l'exclusion de la faute du salarié lui-même, l'indemnisation du salaire moyen par l'employeur doit se poursuivre jusqu'à son rétablissement complet.

Caractéristiques du licenciement du personnel militaire

Le licenciement du service militaire en relation avec une maladie découverte a ses propres caractéristiques. Le principal est la possibilité de partir uniquement à la demande du soldat lui-même. Une restriction de santé n'est pas un motif de licenciement d'un militaire à la demande d'un grade / grade supérieur. Lorsqu'un contrat avec un militaire est résilié, il est transféré dans la réserve. Auparavant, le militaire doit être informé de ses droits et opportunités :

des informations sur la période de temps pendant laquelle les documents seront préparés pour être soumis au transfert à la réserve ;
la possibilité d'exprimer des souhaits pour le service et la vie future;
des informations sur les avantages et les opportunités préférentielles pour un militaire dans la réserve;
des informations sur le bureau d'enregistrement et d'enrôlement militaire dans lequel il faudra s'inscrire, etc.

Les paiements pour le personnel militaire différeront également des paiements pour les civils :

allocation monétaire - jusqu'à la fin de l'exercice du service militaire;
allocation - une fois après avoir été transférée à la réserve - deux salaires pour ceux qui ont servi moins de vingt ans, sept salaires pour ceux qui ont plus;
prime de distinction dans l'exercice de leurs fonctions jusqu'à 25% du salaire attribué à la discrétion du commandant.

Si la blessure est reçue au travail, une indemnité sera perçue d'un montant de deux millions de roubles pour les entrepreneurs et d'un million de roubles pour les conscrits.