Pourquoi les hommes modernes portent-ils ces horribles chignons hipster ? Alors pourquoi les gens normaux commencent-ils à porter le "chignon de l'homme".

4-6.

7-9.

Mais pour une raison quelconque, cette tradition a été perdue. Et dans d'autres parties du monde, ils portaient et continuent de porter. Ils portent des bagages sur la tête en Inde,

10. 11.

12.

Birmanie ().

Dans les pays du Moyen-Orient, dans le sud de l'Europe et dans toute l'Afrique, atteignant les sommets du savoir-faire des artistes de cirque :

13.

14.

Et là où ils ont commencé à porter des charges sur la tête - évidemment, là où cette tradition est la plus répandue et où les porteurs ont une dextérité inégalée. La réponse s'impose : bien sûr, en Afrique ! Mais ne nous précipitons pas et essayons de trouver les preuves les plus anciennes. Les images égyptiennes antiques de l'ère du Nouvel Empire sont bien connues, illustrant des porteurs avec diverses charges sur la tête, mais les plus anciennes appartiennent à l'Empire du Milieu :

15. Figurine de la tombe de Meketra à Deir el-Bahri, fin de la XIe dynastie.

Une femme fragile porte un canard vivant dans sa main droite, et de sa main gauche, elle tient un lourd panier avec des cruches remplies de bière. Ces figurines appartiennent également à la même époque de l'Empire du Milieu :

16.

Mais quelques siècles plus tôt, vers 2500 av. J.-C., dans la tombe du conseiller Ti, une procession de femmes faisant des offrandes au tombeau était représentée en bas-relief :

17.

Selon nos normes, une éternité entière s'est écoulée - un demi-millénaire - et rien n'a changé : les porteurs tiennent aussi des êtres vivants d'une main, et tiennent des paniers de nourriture de l'autre, les portant sur la tête. Ainsi, on peut affirmer qu'en Égypte et en Afrique en général, ils ont commencé à porter des charges sur la tête dès la préhistoire. Mais en plus de ce fait, il devient possible de clarifier les détails des coiffes égyptiennes antiques mentionnées par vissarion.

Un fragment agrandi de la dernière illustration montre que parfois les porteurs utilisaient des coussinets sous les charges, adoucissant la pression sur la tête et répartissant plus uniformément la charge :

18. Une femme utilise un rouleau en osier comme doublure pour sa tête.

Les doublures n'étaient pas toujours utilisées, mais selon les besoins ou selon les préférences individuelles. Une image similaire peut être vue dans les images de notre temps, données au début. Les porteurs russes utilisaient leur coiffe habituelle, ce qui semble être du bon sens : pas froid et pas dur. Mais dans les pays chauds, un chapeau est inutile, donc, comme on peut le voir sur les photos, les porteurs utilisent généralement un tissu plié plusieurs fois ou le mettent sur la tête d'une manière spéciale, le faisant ressembler à une coiffe. À cet égard, il y a de bonnes raisons de croire que le turban (turban) est apparu à l'origine précisément comme une coiffe utilisée comme doublure pour une charge portée sur la tête.

Ainsi, la coiffure des Africaines à bicyclette (ill. 14) ne diffère pratiquement pas d'un turban. De plus, les turbans sont communs exactement là où s'est développée la culture du port de charges sur la tête : en Afrique du Nord, dans la péninsule arabique, en Inde et en Asie. Les turbans sont traditionnellement portés par les hommes et les femmes :

19. 20.

Évidemment, dans les temps anciens, les porteurs s'habituaient à porter une doublure de tête en forme de turban et continuaient à marcher avec pendant leur temps libre. De plus, le turban du porteur a un avantage sur un rouleau fabriqué à partir de matériaux improvisés. Le turban est toujours en place et le porteur ne perd pas de temps à chercher une doublure - il est prêt à partir à tout moment. Ainsi, une coiffe est née, qui est devenue plus tard un attribut intégral de nombreux peuples.

Mais les rouleaux de revêtement ordinaires ont continué à marcher:

21. Emile Auguste Ublen - "Le chemin du marché, Finistère", 1878, France.

La femme du tableau d'Émile Auguste Houblin utilise le même rouleau en osier que sur la figure 18, bien qu'ils soient séparés par un écart de près de 4500 ans !

Revenons maintenant à l'Égypte ancienne - au tombeau de Néfertari de la 19e dynastie. Sur les fresques de la tombe de l'épouse bien-aimée de Ramsès le Grand, Néfertari, elle apparaît, notamment dans une étrange coiffe ressemblant à un petit fez - modius :

22.

Sous modius se trouve un vautour, totem de la déesse Mut-Nekhbet. Le but du modus révèle une autre représentation de la reine :

23.

Il s'avère que modius remplit la fonction de support pour la couronne, dans ce cas - plaisanterie. Sur le relief du temple d'Abou Simbel, modius porte non seulement Néfertari, mais aussi les déesses Isis et Hathor :

24.

Il y avait aussi une version plus élégante du modius, comme, par exemple, dans le cas de la reine de la XVIIIe dynastie, Ahmose-Nefertari. Sa coiffe est encadrée de cobras Wajit :

25.

Une autre image d'Ahmose-Nefertari témoigne de sa nomination :

26. Sarcophage d'Ahmose-Nefertari.

Comme dans les exemples précédents (ill. 23, 24), le modius sert de support à la couronne (shuti). La déesse Hathor portait également des modius avec des cobras :

27.

Apparemment, le porte-couronne, porté sur la tête, est devenu depuis un certain temps une coiffe indépendante, symbolisant l'appartenance à la royauté ou à une cohorte de divinités, puisque seuls ces personnages pouvaient porter des couronnes. Un exemple est l'image de la déesse Taurt dans un mode fez :

28. Sculpture de la déesse Taurt, XXVIe dynastie, VIe siècle. AVANT JC.

Mais d'autres images de Tawart sont également connues, où le modius est utilisé conformément à sa destination - comme support pour la couronne :

29. 30.

Le caractère sacré du modius, évidemment, a servi de circonstance à ce que les prêtres aient commencé à le porter par la suite, dans lequel il a commencé à être appelé kamilavka ou klobuk :

31. 32.

Ainsi, la culture du port de charges sur la tête est connue depuis des temps immémoriaux et elle a probablement donné naissance à deux types de couvre-chefs connus aujourd'hui : un turban (turban) et un kamilavka (cagoule). De plus, les kamilavkas sont attisés par le caractère sacré, qui est associé à leur origine de personnages ressemblant à des dieux modius qui portaient des couronnes volumineuses sur la tête, tandis que le turban a une origine folklorique, ce qui a conduit à sa distribution massive dans différentes parties du monde.

Pour nous, personnes vivant au 21e siècle, ces images semblent incroyables. En effet, selon eux, il y a à peine quelques générations, les Moscovites du début du XXe siècle préféraient porter des charges sur la tête, en tout cas, ce n'était pas quelque chose d'extraordinaire.

Très probablement, cette méthode de transport de marchandises était courante chez les Slaves sur tout le territoire de peuplement. Tant de charges ont été transportées - des pots de fleurs aux bacs de poisson. C'est ainsi que les marchandises sont transportées dans les pays de l'Est.

Après la révolution, cette sage coutume populaire a complètement disparu de la vie de Moscou, et à l'époque soviétique, il était impossible de rencontrer une telle chose.

Pourquoi une tradition aussi intéressante a-t-elle disparu ? Était-ce le résultat de la propagande et de l'agitation, ou les bolcheviks ont-ils utilisé la terreur et la répression ? Et pourquoi même les fans du tsarisme et de la monarchie, l'Empire russe pré-révolutionnaire, n'en parlent-ils pas ?

Illustration du manuel de 1910 "Elementary Physics" par A.V. Tsinger

Il existe un tel appareil - un podomètre. Son action est basée sur le comptage des oscillations verticales du poids lors de la marche. Une balançoire, un pas. Dans une poche de pantalon ou à la ceinture, le podomètre fonctionne très bien. Dans la poche de poitrine - déjà pire, avec des dysfonctionnements. Et si vous le mettez dans un chapeau, il cessera complètement de "cocher". C'est comme si tu n'y allais pas. Le fait est que de légères vibrations de la tête lors de la marche ne lui suffisent pas. Il ne les remarque tout simplement pas.

Idem pour la charge portée sur la tête. Il hésite à peine, car la tête de l'homme se lève et s'abaisse à peine. De plus, la charge est concentrée le long de la ligne de la colonne vertébrale et ne pend pas quelque part derrière le dos. Et comme la charge est pratiquement immobile, aucun travail n'est effectué. Après tout, comme vous le savez, les forces principales lors de la marche sont dépensées pour soulever le corps.

Ainsi, vous pouvez porter une charge égale à près de 70% de leur poids corporel. Des études menées par des physiologistes prouvent que le port de poids sur la tête est le plus économique pour le corps humain.

Bien que 70% ne soit pas la limite : en Inde, il y a une personne spéciale qui vous aidera à mettre une moto sur le toit d'un bus moyennant des frais. Il y a des problèmes de transport dans ce pays, tant de gens montent sur les toits des bus. Et cet homme à l'allure plutôt élancée soulève n'importe quelle charge sur les toits pour moins de deux dollars. Ce n'est pas un problème pour lui de soulever une moto de 150 kg sur sa tête.

Selon Nikolaï M.

Pourquoi certaines nations portent-elles des poids sur la tête ? 8 juin 2014

"Parce que c'est confortable et que je suis moins fatigué comme ça." Tout résident d'Afrique, d'Asie ou d'Europe du Sud, où il est traditionnellement d'usage de transporter des marchandises de cette manière, pourrait répondre de cette manière. Et en effet, nous, nordistes, sommes toujours surpris par la facilité et la majesté avec lesquelles elles se déplacent, ne supportant que de peu d'énormes paniers ou vases en terre cuite, des femmes turques, résidentes d'Asie centrale. Il semble qu'ils puissent marcher avec une charge considérable sur la tête pendant plusieurs kilomètres, sans être un peu fatigués.

Examinons de plus près ce problème...

Cependant, c'est vrai. Mettez, par exemple, un soldat entraîné en concurrence avec une femme africaine, derrière laquelle il y a plus d'une marche forcée avec un équipement de combat complet. Qu'il et elle aient le même poids, disons 70 kg. Jetez un sac à dos de 50 kilogrammes sur le soldat (ce qui représente 70% du poids corporel) et placez un panier avec la même charge sur la tête de la femme africaine. Ainsi, non seulement elle pourra garder ses bagages, mais sur la même transition qu'un soldat, elle utilisera deux fois moins de force ! Réduisez maintenant la charge à un poids d'une livre (16 kg). La femme ne s'en apercevra même pas ! Ni son pouls ni son rythme respiratoire ne changeront. Mais regardez le pauvre soldat...

Ce qui précède n'est pas le fruit de notre imagination, mais de véritables expériences menées par des médecins. Quel est le problème ici? Comment expliquer l'extraordinaire économie de porter des poids sur la tête ? La réponse peut être obtenue en menant une autre expérience. Il existe un tel appareil - un podomètre. Son action est basée sur le comptage des oscillations verticales du poids lors de la marche. Une balançoire, un pas. Dans une poche de pantalon ou à la ceinture, le podomètre fonctionne très bien. Dans la poche de poitrine - déjà pire, avec des dysfonctionnements. Et si vous le mettez dans un chapeau, il cessera complètement de "cocher". C'est comme si tu n'y allais pas ! Le fait est que de légères vibrations de la tête lors de la marche ne lui suffisent pas. Il ne les remarque tout simplement pas.

Idem pour la charge portée sur la tête. Il hésite à peine, car la tête de l'homme se lève et s'abaisse à peine. C'est ainsi que nous sommes. De plus, la charge est concentrée le long de la ligne de la colonne vertébrale et ne pend pas quelque part derrière le dos (rappelez-vous le soldat). Et comme la charge est pratiquement immobile, aucun travail n'est effectué. Après tout, comme vous le savez, les forces principales lors de la marche sont dépensées pour soulever le corps.

Les femmes kenyanes Luo, par exemple, sont capables de porter près de 70 % de leur poids corporel. Des études menées par des physiologistes prouvent que le port de poids sur la tête est le plus économique pour le corps humain. Et les lois de la physique peuvent servir de confirmation à cela - après tout, en déplaçant une charge à vitesse constante sur une surface horizontale, une personne ne fait pratiquement aucun travail, à l'exception du travail consacré à surmonter la force de friction.

Et pour que cela soit réalisé, il faut soit porter la charge avec accélération, soit la soulever. Cette dernière option se produit lors de la marche, lorsque le corps humain monte et descend. Ainsi, les forces principales sont dépensées pour soulever le corps et la charge à chaque pas. Dans le même temps, la tête monte et descend avec une amplitude verticale plus faible que l'ensemble du corps. De plus, cette caractéristique a été développée de manière évolutive : le cerveau était protégé des commotions cérébrales, tandis que la colonne vertébrale élastique à double courbure servait de ressort. Bien que, bien sûr, l'entraînement joue un rôle important dans le port de charges sur la tête, ce qui développe également une démarche belle et douce. Bien que les personnes ne connaissent pas cette méthode de transport de marchandises, il est préférable de ne pas faire de telles expériences sur vous-même.

Alors, allons-nous nous mettre des charges sur la tête maintenant ? Bien sûr que non. Que chacun fasse ce à quoi il est habitué. Il faut juste savoir qu'avec une bonne formation (et la compétence est indispensable ici), porter des poids sur la tête peut économiser beaucoup d'énergie.

Mais en Inde, par exemple, il y a une personne spéciale qui vous aidera à mettre une moto sur le toit d'un bus pour de l'argent :

Il y a des problèmes de transport dans ce pays, tant de gens montent sur les toits des bus. Et ce type soulève n'importe quelle charge sur le toit pour moins de deux dollars. Ce n'est pas un problème pour lui de soulever une moto de 150 kg sur sa tête.

Et voici les photos du blogueur igor_salnikov

Voici ce qu'il écrit :
Notre homme, pour porter la charge, au mieux, la mettra sur son dos. Ou il traînera le sac, en le pressant contre le ventre, jusqu'à ce qu'il se casse.

C'est différent en Inde.
Je ne cesse d'être étonné de la facilité avec laquelle les Indiens portent sur la tête des charges surdimensionnées et assez lourdes. Et souvent, ils ne supportent même pas cette charge avec leurs mains, faisant des miracles d'équilibrage.

Pourquoi portent-ils des poids sur la tête ?

D'abord parce que c'est pratique.

Et, deuxièmement, la charge placée sur la tête n'est presque pas soumise à des fluctuations pendant la marche.

Et une personne ne dépense pas d'énergie supplémentaire pour maintenir l'équilibre du fardeau et, par conséquent, se fatigue moins.

Beaucoup de gens ont développé et établi un stéréotype selon lequel tous les hommes orientaux devraient porter un dessin complexe d'une longue bande de tissu appelée turban sur la tête. Des coiffes similaires sont courantes parmi les peuples habitant la péninsule arabique, la partie nord du continent africain, en Asie et aussi en Inde. De plus, ce n'est pas du tout un simple vêtement qui a une origine ancienne. Le turban indien fait partie de la culture et des traditions, il est doté d'une signification sacrée secrète, mystique.

Turban indien - la sagesse multicouche de l'être

Le mot turban lui-même est d'origine persane, et il signifiait simplement un morceau de tissu assez long, qui était destiné à être enroulé autour de la tête d'une manière spéciale. En sanskrit, le turban s'appelle pak, mais dans le nord de l'Inde, dans l'état du Punjab, où vivent les gardiens notoires du savoir ancien, la caste sikhe, cette coiffe s'appelle pagri ou simplement pag. Dans une version respectueuse, le nom sonnera comme dastaar.

Dans les temps anciens, avant même l'invention des couronnes, les nobles portaient des turbans en mousseline fine, qui servaient de signe que vous étiez une personne intelligente, dotée de sagesse, d'une haute spiritualité et de pouvoir. C'est dans les plis de leurs turbans, qui atteignaient parfois un poids de 25 à 30 kilogrammes, que les aristocrates gardaient pierres précieuses et or, sceaux et documents secrets. De plus, le port d'un turban sur la tête bloquait complètement la capacité de l'agresseur à prendre le contrôle du chakra Ajna, c'est-à-dire le principal flux d'énergie, car le tissu devait être exclusivement naturel, le plus cher et de haute qualité.

Comme un cadeau des ancêtres - un héritage préservé depuis des siècles

Les adeptes modernes des enseignements sikhs ont reçu un turban indien, qu'ils ont soigneusement porté à travers plusieurs siècles de leur histoire unique. Le turban a une signification très sérieuse pour les membres actuels du Khalsa, qui sont tenus de toujours porter avec eux les véritables signes de leur propre appartenance. Le premier signe est le cache, c'est-à-dire les cheveux, la moustache et aussi la barbe, que les ciseaux n'ont jamais touchés. Les hommes prennent toujours soin de leurs cheveux dans un ordre parfait, les soignent soigneusement et la vie de tous les jours, ils les poignardent dans une coiffure haute, qui est recouverte d'un turban pour les protéger et les ranger.

Les garçons peuvent simplement récupérer leur argent en queue de cheval haute, mais pour un homme qui a déjà une barbe ou une moustache, et encore plus pour un homme marié, apparaître en public sans turban est une véritable honte. Le plus souvent, les turbans modernes mesurent 3 à 7 mètres de long, mais tout est individuel et dépend des désirs personnels, voire du degré d'initiation.

La signification de la couleur des turbans sikhs

Le turban blanc éblouissant ne peut être porté que par les membres de la caste Namdhari. Un trait distinctif caractéristique d'une telle coiffe est l'enroulement direct, sans angle au-dessus du front. Si les Sikhs d'autres castes portent un pagri blanc, cela signifie qu'ils sont en deuil.

Les turbans rose et orange pâle peuvent être portés pour un mariage, à la fois pour le vôtre et pour la célébration d'amis ou de parents, c'est un dastaar festif.

La couleur jaune toxique d'un turban ou d'un paga convient à la fête printanière de Baisakhi.

Les guerriers de la secte Akali portaient des turbans exclusivement noirs, comme une aile de corbeau, mais maintenant ils les ont changés en acier ou en bleu foncé.

Les turbans rouges, oranges et verts sont une sorte de vêtement quotidien qui peut être varié à votre guise.

Les turbans kaki sont inclus dans l'uniforme militaire des Sikhs qui servent dans l'armée indienne.

La coiffe nationale juive a attiré l'attention des autres plus d'une fois. Kipa - qu'est-ce que c'est? Quelle est la signification de ce petit chapeau pour un hassid ?

Kipa - qu'est-ce que c'est?

Ce mot a plusieurs sens. Kipa - qu'est-ce que c'est? Il ne faut en aucun cas le confondre avec une pile de livres ou de papiers, ainsi qu'avec des équipements sportifs.

Alors, kippa - qu'est-ce que c'est? Ce mot fait référence à la coiffure de la population juive et pas seulement.

On sait qu'un homme, afin d'exprimer son respect pour son ami, enlève son chapeau devant lui. Les Juifs font, en fait, la même chose, mais sans enlever leur couvre-chef.

Très souvent, une kippa est appelée kippa. Ce mot est d'origine inconnue. Les scientifiques soulignent que cela peut provenir du langage de l'armée et signifier "crainte devant Dieu".

Et pourtant, kippa - qu'est-ce que c'est? Cette coiffe est un petit bonnet en tissu, qui est un symbole prononcé de la religiosité des Juifs. La loi ne peut obliger une personne à porter une kippa. Il ne le fait qu'en observant et en respectant les traditions.

Il convient de noter que les juifs orthodoxes portent toujours cette coiffe, les traditionalistes et les conservateurs - uniquement dans la synagogue ou pendant les repas. Les réformateurs insistent sur la couverture obligatoire de la tête d'une personne avec une kippa. Il est strictement interdit aux femmes de le porter. Ils ne peuvent se couvrir la tête que d'un foulard.

La coiffe kippa : une brève histoire

Il y a une opinion que les lois notoires du calife musulman Omar ont servi d'incitation à l'adoption de la casquette ci-dessus comme coiffe. Selon eux, il était interdit aux Juifs de porter des turbans musulmans. Ils doivent se couvrir la tête avec d'autres couvre-chefs.

Une autre version prétend que la mode du port de la kippa a été apportée aux Juifs par les Turcs. Les scientifiques insistent : c'est le deuxième nom de ce couvre-chef - kippa - qui est traduit de la langue turque par "imperméable".

Seuls les prêtres du Temple de Jérusalem pouvaient d'abord se couvrir la tête avec la coiffe ci-dessus. Mais au fil du temps, tous les Juifs ont commencé à porter une kippa, non seulement pendant la prière, mais aussi dans la vie de tous les jours. Par cela, ils ont montré leur service à Dieu.

Même plus tard, les sages juifs ont publié une loi selon laquelle un hassid n'était pas autorisé à marcher quatre coudées (soit environ 2,4 m) sans kippa. Cette coutume s'est progressivement fortement renforcée dans de nombreuses communautés de ce peuple.

La valeur d'une kippa pour un juif

Traduit de la langue hébraïque, kippa signifie le mot "top", "top". Les hassidim croient que cette coiffe couvre une personne d'en haut, étant ainsi le point le plus élevé du microcosme.

La kippa juive est un symbole de la religiosité de chaque personne de ce peuple. Aussi, le porter est un signe de respect des traditions et des rituels. Les célébrations de la majorité et autres fêtes, la prière dans la synagogue, la consommation de nourriture, le deuil des morts sont une excuse pour mettre la kippa. Après tout, un homme n'a pas le droit de venir à tous ces événements la tête découverte.

La signification de porter une kippa est déterminée par l'explication suivante :

1. Le Juif est conscient de l'existence de Dieu.
2. Le Juif réalise la sagesse du Tout-Puissant.
3. L'apprécie au-dessus de sa tête.

Types de kippa

Cette coiffe juive aide souvent à déterminer de quelle population religieuse une personne provient :

• Les sionistes (surtout en Israël) portent souvent une kippa tricotée de forme ronde de couleur arbitraire, c'est pourquoi on les appelle "kipot srugot" (traduit par "kippa tricotée");
• une coiffe noire de ce type indique que son propriétaire est croyant et observe strictement tous les commandements;
• les personnes qui portent un chapeau sur une kippa sont appelées "haredim" en Israël parce qu'elles sont les plus religieuses (elles n'enlèvent pas la kippa même pendant leur sommeil).

Il existe également d'autres types de pansement ci-dessus:

• une kippa blanche avec un petit pompon est souvent portée par les représentants de certaines riches cours hassidiques, car ils souhaitent faire allusion à leur appartenance à l'étude de la Kabbale ;
• la coiffe à six pans mentionnée ci-dessus est portée par les partisans du mouvement Habad.

Traditions de porter une kippa

Dans l'Israël moderne, on pense que lors des grandes fêtes, il est nécessaire d'aller à la synagogue avec une coiffe blanche.

Une personne qui a récemment porté une kippa l'ajuste généralement confortablement sur sa tête. Par exemple, il ne le porte pas sur le dessus de sa tête, comme prévu, mais le garde à l'arrière de sa tête.

Les juifs soutiennent que si une kippa pend aux cheveux ou repose simplement sur une épingle à cheveux, son propriétaire est loin d'être un croyant. Il l'a mis en raison de sa nécessité officielle et à la première occasion, il l'enlèvera certainement.

Certains hassidim pensent que le jour du deuil ou du jugement, il est nécessaire de porter une kippa de couleur foncée. Une coiffe de cette couleur peut être portée tous les jours. Mais les samedis jours fériés, il est conseillé de porter une kippa blanche.

Très souvent, certains hassidim portent des chapeaux de fourrure pendant les vacances. Ils croient que se couvrir la tête avec une kippa n'est pas assez pieux.

Une kippa est un symbole des juifs croyants qui observent les traditions et les rituels.