Comment, après avoir maîtrisé le patchwork japonais, vous pouvez gagner beaucoup d'argent. Patchwork pour patrons débutants

Qu'est-ce qu'il comprend: coudre divers articles ménagers, jouets, accessoires à partir de morceaux de tissus, serviettes, maniques pour la cuisine. Avant de commencer le travail, vous devez vous rappeler la règle selon laquelle vous devez vous approvisionner en modèles, en particulier pour les débutants. Qu'est-ce qu'un gabarit, et c'est un patron en carton ou en papier, une forme de votre choix, qui peut être : un carré, un rectangle, un cœur, un triangle, un ovale, une étoile, un losange et bien plus encore.

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Motifs patchwork et motifs :

De plus, vous devez apprendre à coudre correctement vos flans ou en tissu. Pourquoi faut-il rappeler certaines règles :

• avant de couper le tissu, il doit être soigneusement lavé et repassé, ceci afin que le tissu ne se décolore pas et ne s'assied pas après avoir déjà tout cousu.
• Pour mieux travailler avec le tissu, le coton doit être amidonné et la soie baignée de gélatine. Ceci est fait pour rendre le tissu plus dense.
• Vous ne pouvez dessiner sur le tissu qu'avec de la craie, du savon, un crayon à l'intérieur de tout sauf le stylo, car vous ne pourrez pas le laver plus tard.
• Les patrons de coupe doivent être faits dans le sens du fil partagé, afin que le tissu ne se déforme pas lors de la couture du produit.

L'un des types est japonais, il diffère de l'européen en ce que les femmes japonaises cousent les lignes avec «l'aiguille vers l'avant», vers l'arrière. différence avec les Européens Japonais n'utilisez pas de machine à coudre. Et le matériau du tissu doit être exclusivement en soie. De plus, les Japonais aiment faire des images abstraites complexes, mais les Européens, au contraire, sont plus simples.

L'un des produits les plus courants dans la technique du patchwork est un couvre-lit ou. Pour ce faire, vous devez faire un croquis et des modèles de votre produit. Choisir chiffres pour les blancs. Créez le nombre requis de détails (motifs) et cousez-les en une seule toile.

Et maintenant, une classe de maître sur la façon de coudre des produits de vos propres mains en utilisant la méthode japonaise «aiguille vers l'avant». Elle s'effectue en faisant passer l'aiguille à travers le tissu à égale distance, la difficulté réside dans le fait que toutes les mailles doivent être absolument égales.

Une autre sorte est patchwork japonais sans couture» . L'essentiel est qu'ils ont pris une planche lisse dessus dans la suivante et ont appliqué un dessin de contour, des rainures ont été faites le long de celle-ci, sur lesquelles le tissu était maintenu. Puis, lambeaux de tissu préparé, ils semblaient être tendus sur les rainures de la planche. Maintenant, au lieu d'une planche, ils utilisent de la mousse ordinaire.

Et maintenant une classe de maître sur le "sac" en patchwork chinois étape par étape.

La première chose à faire est le nombre requis de blancs de bloc pour le modèle que vous avez choisi. Nous choisissons la forme, cousons les blocs ensemble, fabriquons la doublure et les poignées. Tout, un sac fait de vos propres mains est prêt.

Patchwork pour les débutants schéma étape par étape manique:

Règles:

Bon, commençons :

Manique patchwork master class "Mitten"

C'est peut-être la manique la plus simple et vous pouvez prendre votre main comme base pour votre modèle ou utiliser un modèle trouvé sur Internet. Encerclez-le sur un morceau de carton ou, mais vous devez ajouter cinq à six centimètres. Nous allons fabriquer deux mitaines.

Pour ça nous avons besoin de quatre parties pour chaque mitaine (pour une il vous faut : une partie, et la seconde est un miroir et on fait aussi une couche de tissu non tissé, répétez la même chose avec l'autre mitaine.

Ensuite, vous devez faire une bordure mesurant sept et demi sur trente-deux et demi et des boucles de dix sur quatre centimètres. Maintenant, tout doit être cousu, puis nous cousons la bordure et la boucle. Ce porte-pot est parfait pour n'importe quelle cuisine.

Crochet patchwork :

Cette technique de patchwork a été inventée par Virginia Woods Bellamy, pour ce type de patchwork, vous devez tricoter des carrés et les relier en divers produits, et non avec une aiguille, mais avec le même crochet.

Crochet Patchwork : Tapis Patchwork, Longe Crochet :

Très souvent, la méthode du filet est utilisée pour tricoter des tapis en patchwork. C'est du tricot dans la technique de la dentelle de filet. Filet du français - maillage, c'est l'essence de cette méthode. Tricoter dans cette technique est simple et même les débutants comprendront les motifs. Les motifs se présentent sous différentes formes , mais l'option la plus populaire est carrée, mais il y en a d'autres - ce sont des ronds, des hexagones, des triangles, des losanges, des rectangles et bien d'autres pour correspondre à vos fantasmes.

Une classe de maître sur le tricotage d'un plaid à motif floral du coin: vous aurez besoin de fils et du crochet lui-même. Pourquoi est-il appelé anguleux? La réponse est simple, puisque le dessin lui-même se trouve dans le coin du carré. Dans notre cas, ce sera la camomille et nous commencerons par elle.

Camomille: premier rang : maille serrée, deux boucles d'air si alternant nous répétons huit fois; deuxième rangée: sur les arches des boucles d'air, nous tricotons cinq colonnes avec un crochet, et entre elles, nous crochetons cinq boucles d'air. Nous tricotons les troisième et quatrième rangées selon le motif circulaire en spirales, mais il est toujours préférable de se préparer avec des motifs.

Et à partir de la cinquième rangée, nous tricotons de la même manière selon le schéma, mais nous commençons déjà en rangées inversées des deux côtés du motif carré. Nous tricotons autant de carrés que nécessaire. Parmi ceux-ci, nous pouvons tricoter non seulement des couvertures, mais aussi des taies d'oreiller, des serviettes pour la cuisine, des sacs à main et bien plus encore. C'est incroyable comme vous pouvez tout faire par vous-même.

Patchwork tricotant diverses classes de maître

Cette technique de tricot vous permettra de créer de vos propres mains de nombreux produits tels que : des mitaines, des chemisiers, des robes, des sacs, des cardigans, des chaussettes, des couvertures, des tapis et bien d'autres articles.

Cours de maître sur la façon de tricoter des chaussettes de vos propres mains - des pantoufles pour débutants avec des aiguilles à tricoter.

Il est nécessaire de préparer un fil dense de différentes couleurs et des aiguilles à tricoter.

Nous tricotons trente-cinq boucles sur les aiguilles à tricoter, nous commençons à diminuer au centre, c'est-à-dire après seize boucles, trois boucles, puis jusqu'à la fin je tricote celles du visage. Ensuite, répétez selon le schéma jusqu'à ce qu'il reste neuf boucles. Maintenant, vous devez mesurer le pied. Si tout va bien, nous collectons 13 boucles sur une aiguille à tricoter libre à partir de la boucle du bord gauche et faisons de même sur la boucle du bord gauche. Donc, on continue jusqu'à ce qu'il reste une boucle, puis on coupe le fil. et nous tricotons encore 35 boucles sur l'aiguille à tricoter, mais d'une couleur différente, il suffit de tout répéter, nous obtenons le côté de la pantoufle, la seconde, elle s'adapte de la même manière.

Maintenant, nous tricotons le talon. Pour ce faire, nous collectons trente-quatre boucles et tricotons également, réduisant les boucles à neuf, maintenant nous collectons treize boucles et tricotons avec le point avant. Cela se traduit par un côté gauche et un côté droit. Nous continuons à diminuer les boucles et à tricoter le carré.

La prochaine étape du tricot à partir de carrés avec des aiguilles à tricoter autour du périmètre. Nous collectons des boucles de bord sur quatre aiguilles à tricoter - et commençons à tricoter dans un tricot circulaire avec une alternance de rangs envers et avant. Ainsi, vous pouvez enregistrer le motif donné. Nous réduisons les boucles sur les plis. Après huit rangées, fermez les boucles et essayez. De cette façon, vous pouvez tricoter des chaussettes et des mitaines.

Patchwork japonais : une direction à la mode pour le patchwork

Les maîtres japonais ont atteint des sommets sans précédent dans le domaine du patchwork Jusqu'à présent, il est impossible de dire avec 100% de précision quel pays a donné au monde un patchwork. On pense que l'Angleterre est devenue l'ancêtre de ce travail d'aiguille. En effet, le patchwork anglais est considéré comme la direction la plus célèbre. Mais une fois emporté par la technologie japonaise, il est difficile d'y rester indifférent.

Patchwork japonais

Aujourd'hui, le patchwork japonais est en quelque sorte un contrepoids au patchwork traditionnel. Et le point ici n'est pas que le patchwork altéré japonais. C'est juste qu'en général, leur art se distingue justement par la concentration, la solitude, le repos. Étant engagé dans la créativité, le japonais se détend, c'est une sorte de travail sur soi, son état intérieur. Le patchwork chinois et coréen est similaire à ce complot de couture japonais, mais le patchwork américain, par exemple, diffère considérablement.

Le patchwork japonais remplace les contrastes de couleurs habituels dans un patchwork régulier avec des transitions de couleurs douces.

À partir de magazines japonais, de nombreuses photos y figurent, vous pouvez comprendre quelle est la beauté de cette technique particulière.

Le patchwork à la japonaise se caractérise par l'utilisation simultanée de plusieurs techniques.

Patchwork japonais - caractéristiques :

• La base des tissus est la soie, mais, bien sûr, vous pouvez également utiliser des lambeaux de coton ordinaires.
• Le sashiko est une technique de broderie japonaise native, qui se distingue par le point « aiguille vers l'avant » ;
• Les articles de style japonais sont souvent décorés de franges et de glands ;
• Le patchwork japonais utilise à la fois des points et des éléments de patchwork.

Toute classe de maître comprend l'apprentissage de la technique même du sashiko. Sashiko est une carte de visite de patchwork japonais. Initialement, le sashiko était utilisé pour les couvertures épaisses matelassées, ainsi que pour les vêtements d'extérieur. Après cela, le sashiko a même été utilisé dans la fabrication d'armures.

Cependant, ce point est décoratif. Et une classe de maître sur l'enseignement de cette technique sera certainement intéressante, car le point «aiguille avant» est utilisé. De plus, les lignes droites ne sont pas nécessaires, mais la même longueur de point est la bienvenue.

Festival japonais de courtepointe (vidéo)

Patchwork japonais : des choses stylées

Si vous regardez des photos d'exemples de patchwork japonais, vous aurez immédiatement envie de trouver des motifs et de reconstituer votre collection de travaux d'aiguille avec ces éléments.

L'une des techniques de patchwork distinctives est le yosegire. Il a une histoire intéressante, qui était basée sur le fait qu'à une époque, les femmes japonaises étaient interdites d'apparaître dans des tissus coûteux. Et je devais cacher des tenues vraiment exquises sous des vêtements bon marché. Mais pour les artisanes, il fallait aussi faire preuve de classe ici, et elles ont appris à montrer des tissus coûteux par fragments, un peu à la fois.

Dans le patchwork japonais, la préférence n'est pas donnée aux tissus de coton, mais à la soie.

L'astuce a pris racine et est devenue une technique distincte de patchwork, des motifs inhabituels ont commencé à prendre forme à partir des patchs, des images entières. Ils se sont entrelacés avec le sashiko et sont devenus le visage du patchwork japonais. Les choses élégantes dans cette technique sont devenues si populaires qu'elles sont considérées comme la base de la tendance folle du patchwork qui est très à la mode aujourd'hui.

Le patchwork fou est une technique dont la tâche est de décorer le produit avec des patchs de telle sorte qu'il semble qu'il soit décoré de pierres précieuses ou de broderies élégantes.

sac patchwork japonais

Il suffit de regarder la photo, un sac patchwork japonais est un accessoire original et brillant qui fera de vous la femme la plus remarquable de tous les événements. Ce sont des sacs lumineux, colorés, cosy, un vrai bijou.

Une classe de maître sur la fabrication d'un tel sac vous aidera à déterminer par où commencer les premiers pas - la technique présente de nombreuses difficultés. Les schémas et les modèles peuvent être glanés dans des magazines japonais.

Soit dit en passant, les sacs dans le même patchwork fou sont l'accessoire le plus en vogue. La galerie de photos montre à quel point ces sacs à main élégants peuvent être brillants et intéressants. Ils montrent à quel point la couture moderne peut être moderne et jeune.

La technique sashko consiste à broder avec une couture « aiguille vers l'avant »

Détails intéressants de ce sac :

• Tissage patchwork avec détails tricotés, broderies;
• Beaucoup de tresse, perles, perles;
• Détails volumétriques ;
• Si le produit est panaché, alors cette panachure est assez ordonnée.

Les sacs à main japonais se distinguent également par une forme inhabituelle, et si vous regardez les magazines, vous pouvez voir que la forme est parfois aussi brillante que le motif patchwork lui-même.

Patchwork japonais : appliques, motifs

Le plus souvent, une master class est demandée sur le thème "Application". En effet, la couture d'appliques est non seulement intéressante, mais aussi l'activité la plus productive. Vous pouvez utiliser différentes techniques ici, et les modèles sont faciles à trouver. Les mêmes magazines japonais fourniront à la fois une photo et une description de l'œuvre.

La particularité du patchwork japonais est que les artisans n'utilisent pas de machines à coudre : les couettes sont assemblées et matelassées exclusivement à la main.

L'application en patchwork japonais est :

• Jolis motifs avec de petits détails;
• Couleurs calmes ;
• Inclusion d'éléments supplémentaires (par exemple, des boutons) ;
• Préférence pour les couleurs pastel ou les couleurs primaires ;
• Utilisations d'applications même sur de petites choses - étuis et sacs à cosmétiques.

L'applique est l'une des techniques de patchwork japonaises les plus brillantes, c'est pourquoi cette technique a tant de fans. Oreillers, serviettes, sacs à main, couvre-lits, panneaux sont élégants, lumineux, sophistiqués.

Sac de technologie Boro (master class vidéo)

En regardant les photos d'œuvres en patchwork japonais, je veux voir plus d'une classe de maître et m'essayer à ce travail d'aiguille. En effet, c'est la technologie japonaise qui a donné beaucoup de patchwork intéressant. Eh bien, si vous suivez la philosophie de la créativité japonaise, ainsi que des compétences artistiques, vous pouvez apprendre la persévérance, la patience et la capacité de concentration.

Patchwork japonais (photo)

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Le patchwork, ou patchwork, est né presque partout dans le monde en même temps. Au départ, le but était d'économiser du tissu et d'utiliser ses restes. Mais maintenant, cette direction est devenue une véritable section de l'art. Les produits de cette technique sont devenus non seulement une belle décoration, ils sont également présentés lors d'expositions. L'une des tendances populaires est devenue le patchwork japonais, pour les débutants ce n'est pas plus difficile que l'anglais.

La principale différence est le point d'aiguille vers l'avant et l'utilisation de soie au lieu de coton. Même les artisanes japonaises n'utilisent jamais de machines à coudre - elles travaillent exclusivement à la main et obtiennent donc une chose individuelle et unique. Dans le style anglais, les appliqués ne sont pratiquement pas utilisés, mais au Japon, c'est une technique bien connue.

Domaine d'utilisation

Au départ, les lambeaux servaient à raccommoder les vêtements. Mais maintenant, vous pouvez trouver beaucoup de choses dans cette technique. Les créateurs fabriquent des meubles, des bijoux, des sacs, des rideaux et des taies d'oreiller. Il existe de nombreux schémas par lesquels vous pouvez répéter le travail des maîtres.

La collecte d'images à partir de morceaux de tissu peut être attribuée à une variété distincte. Parfois, le travail est si bien fait que les gens le confondent avec la peinture sur soie. Tout cela est décoré d'ornements naturels et géométriques, de maisons et de rizières. Souvent, des glands sont cousus le long du bord.

Point sashiko et couture yosegire

L'une des caractéristiques était, comme nous l'avons déjà mentionné, le point. Il était à l'origine utilisé uniquement dans le patchwork japonais. Il s'appelle - sashiko, c'est un point pointillé fin. Tous les points doivent être de la même longueur. Ils peuvent être à la fois sur des tissus contrastés et unis. La technique est utilisée non seulement pour connecter des patchs, mais aussi pour la décoration.

Conformément à la religion shintoïste, toute chose est animée. Cette attitude particulière a également été transférée au tissu. Une bonne soie pour une femme japonaise équivalait à des bijoux, donc les classes simples n'étaient pas autorisées à porter des vêtements coûteux. Ensuite, les guildes marchandes ont eu l'idée de coudre des morceaux de bon tissu pour les tenues. L'idée s'appelait yosegire - patchwork. Maintenant, il a été adapté pour créer de nombreuses choses élégantes.

Support chaud

Aujourd'hui, dans cette classe de maître, nous proposons de fabriquer une chose utile pour la cuisine - un support chauffant.

Procurez-vous le tissu de base (36x36 centimètres). Décidez immédiatement dans quelle palette de couleurs le produit fini doit être. Pour le rembourrage, prenez un hivernant synthétique (33 × 33 centimètres). Le motif sera composé de six bandes de tissu (90x4).

Selon le gabarit en carton triangulaire prédécoupé, disposez le dessin en laissant un demi-centimètre de marge. Vous pouvez vous référer à la photo ou utiliser votre propre version. Huit triangles doivent être isocèles avec un angle de 45°. Pliez la disposition de la serviette, cousez et repassez.

Coupez deux carrés en deux et cousez les coins. Coupez maintenant les bords et pliez les trois couches. Il devrait y avoir un hivernant synthétique entre le motif et la base. Enveloppez soigneusement, cousez le bord.

Si vous êtes une couturière débutante, cet article vous sera utile. Nous vous aiderons à comprendre ce qu'est la technique du patchwork japonais et vous montrerons une classe de maître.

Le patchwork est un art ancien, et personne ne peut dire l'année et le lieu de sa naissance. Les artisanes ont essayé d'économiser sur les coûts des matériaux, elles ont donc fabriqué des objets, des sacs, des jouets, etc. à partir des restes de matériaux. Auparavant, la couture à partir de patchwork était considérée comme l'artisanat des pauvres, mais à notre époque, c'est un travail beau et laborieux.

Japon et patchwork

Patchwork a commencé avec les vêtements des moines. Les communautés religieuses n'avaient pas d'argent pour de nouveaux vêtements, à cause de cela, un patch a été mis sur les trous et matelassé. C'est de là que vient la technique du matelassage. Après une couture similaire a été utilisée dans les vêtements militaires.

Les Japonais, vivant dans les villes et les villages, n'ont pas accepté cet art jusqu'à la crise. Lorsque les usines ne pouvaient pas fournir de vêtements aux résidents en raison de l'interdiction d'importer des tissus de Chine, elles devaient coudre à partir des restes. Peu à peu, le patchwork est entré dans la tradition de la nation.

Ainsi, les Japonais non seulement réparent les vêtements, mais décorent et décorent également.

Caractéristique de l'art national

Les Japonais ont une performance inhabituelle en couture, ils ne se contentent pas de coudre des chiffons, mais créent des images sur des choses. Les tissus sont sélectionnés en soie ou en coton, imprimés et texturés. Ce choix est fait intentionnellement pour que le point apparaisse volumineux.

La couture japonaise est très appréciée car il s'agit d'un travail exclusivement manuel, nécessitant une longue persévérance. La machine ne peut pas faire de chefs-d'œuvre de patchwork.

La principale différence entre l'art de l'État oriental et le reste est l'utilisation de points de suture, qui renforcent la structure de couture. Les points portent également la décoration.

Dans le monde oriental moderne, le patchwork aide à se détendre, à méditer et à abandonner toutes les pensées lourdes.

Modernité et patchwork

Le temps passe et les changements dans les travaux d'aiguille nationaux arrivent. Ces dernières années, les artisanes ont ajouté des perles, des perles, des glands et plus encore à leurs créations. Cela ajoute plus d'intérêt aux produits de tous les designers d'Europe et du monde civilisé tout entier.

Talents et affaires de l'Est

Fini le temps où le patchwork était signe de pauvreté. Au 21ème siècle, un métier aussi laborieux est bien payé. Les couturières du monde entier peuvent étudier cette direction artistique et un passe-temps peut devenir une entreprise rentable.

Mais la pratique et les compétences sont importantes, alors offrez votre travail en cadeau pour tous les anniversaires. Laissez le bouche à oreille se répandre.

La mode des choses faites à la main ne va pas disparaître dans les siècles à venir ! Après tout, presque toute l'Europe est tombée amoureuse de choses d'une telle technologie.

Reconnexion avec la nature

Depuis l'Antiquité, les Japonais ont essayé de vivre en harmonie avec la nature, reflétant cela dans leur art. Et souvent, les images brodées ont un motif floral. Même les formes géométriques dessinent de belles feuilles et fleurs. Les gens, les maisons, les animaux sont représentés moins souvent. Les couleurs des tissus sont choisies dans des tons calmes.

Art et futons

Un futon est un matelas qui est un classique de l'usage domestique depuis l'Antiquité. Les Japonais ne dépensent pas d'argent pour réparer de telles choses, mais les recouvrent de lambeaux pour ne pas les jeter, car ils pensent que les choses devraient avoir une seconde vie.

Par conséquent, traditionnellement, le futon a l'air attrayant, certains sont brodés comme des peintures.

Yosegira

Ce mot intéressant désigne une branche du patchwork oriental. Il a été inventé par des femmes japonaises afin de contourner judicieusement l'interdiction de porter des tissus coûteux. Les femmes cousaient des vêtements en coton, mais avec des morceaux de soie, comme si elles les cachaient.

Au fil du temps, ce type de créativité est devenu le visage du pays et la folle tendance de la mode patchwork.

sashiko

Pour maîtriser cette compétence, vous devez savoir ce qu'est le sashiko. C'est la technique de broderie à l'aiguille japonaise, qui révèle tout le secret des choses insolites. Les points sont décoratifs, bien qu'ils soient utilisés dans les armures militaires.

La régularité des lignes n'est pas aussi importante que leur taille uniforme. C'est par le dernier critère que l'habileté de la couturière est évaluée.

Vous pouvez regarder une master class vidéo détaillée de la technique sashiko ci-dessous :

Yo-yo

C'est une autre technique de patchwork japonais. L'essentiel est que de petits restes de matière sont utilisés, qui ont la forme d'un cercle et d'un carré. Les détails peuvent être cousus comme décoration ou ils peuvent être cousus ensemble.

Il existe plusieurs domaines principaux de cette technique:

1. Stylisation. Ce sont surtout des jouets.
2. Décoration en forme de fleurs. Vous pouvez tout décorer : rideaux, vêtements, oreillers. L'intérieur avec de telles choses devient plus noble.
3. Mosaïque. Éléments cousus ensemble, il s'agit le plus souvent de couvre-lits, de taies d'oreiller décoratives, de nappes, etc.

Les motifs et les détails seront faciles à réaliser, car il n'y a que 2 formes.

• taille finie x 2 + 1 = taille de la pièce ;
• en utilisant cette formule, vous pouvez calculer la longueur (largeur) du côté pour une forme carrée.

Certaines artisanes parviennent à fabriquer des yo-yos à partir d'hexagones et d'ovales.

Que peut-on faire dans le style du patchwork japonais

C'est exactement la couture quand il n'y a pas de restrictions :

• sacs, sacs à cosmétiques;
• peintures, applications;
• oreillers;
• couvertures, couvre-lits, couverture;
• vêtements;
• tapis;
• Draps de lit;
• meubles rembourrés;
• omiyage ;
• petits objets d'intérieur et de décoration.

Kinusaiga

Je voudrais porter une attention particulière à ce type particulier d'art appliqué. Tout cela est cousu à partir de petits restes de tissu, mais sans aiguille. Dans ce cas, une planche de bois est ajoutée aux outils, où le «collage» des tissus aura lieu.

C'est un art jeune apparu à la fin du 20ème siècle. L'idée est venue d'une Japonaise qui, par amour de la nature, ne voulait pas jeter son kimono. Elle vient de commencer à faire des photos que son entourage aimait tant.

Cette direction a le soutien des femmes dans de nombreux pays. Pour cette raison, le développement est constant. Créez des paysages, des portraits, juste des peintures .

Pour que le travail à 100% réussisse, le gabarit est initialement recréé. Ensuite, le dessin doit être transféré sur le panneau où se trouvera l'image.

Les artisanes modernes utilisent du polystyrène au lieu du bois. Parce que c'est plus pratique dans tous les sens : douceur, accessibilité.

Des motifs sont également nécessaires dans ce sens du patchwork. Selon la base, cela dépend de combien vous avez besoin pour augmenter la taille du motif. Pour le polystyrène, les éléments le long des bords sont découpés de 1 cm de plus.

Et pour une base en bois, juste quelques ml. Cette différence est due à la douceur du matériau, car vous ne pouvez pas coller 1 cm dans l'arbre.

Vous pouvez maintenant démarrer le processus : assembler manuellement toutes les pièces de la matière et les «coller» dans la base.

C'est ainsi que naissent les chefs-d'œuvre.

Ce type de travaux d'aiguille, comme le patchwork, auparavant utilisé uniquement dans un souci d'économie, a acquis une nouvelle forme élégante dans le monde moderne. Le patchwork est devenu une sorte de tendance de la mode. De nombreux créateurs utilisent le style patchwork dans leurs collections. Les résidents des pays européens utilisent avec succès ce style dans la conception de meubles et, si nécessaire, restaurent eux-mêmes le rembourrage de ces meubles. Même les usines de tissus ont inclus des tissus avec une image imitant des patchs cousus dans leur assortiment.

Il n'y a pas de consensus sur le pays d'origine du patchwork. Il était très courant en Russie et a également connu un succès en Europe. Et bien que le patchwork anglais soit considéré comme le plus célèbre, nous nous tournerons vers non moins divertissant - la couture japonaise à partir de patchs en tissu.

Le patchwork japonais, comme de nombreuses autres activités japonaises, vise le repos, la détente et la solitude. Le patchwork pour les Japonais est une sorte de magie qui n'accepte pas les contrastes nets dans les performances des couleurs.

La courtepointe n'est pas apparue immédiatement au Japon sous sa forme moderne. Ses embryons se reflètent dans les robes monastiques matelassées, cousues à partir de patchs rectangulaires qui caractérisent les rizières.

Soit dit en passant, c'était le point qui était un trait caractéristique du patchwork japonais. Plusieurs couches de tissu étaient reliées par des points spéciaux, formant ainsi des motifs géométriques amusants sur les vêtements. En règle générale, cette technique était populaire principalement en raison des économies de matériel lors de la réparation de vieux vêtements.

A l'époque, dans un même souci d'économie, les célèbres oreillers ou matelas futons japonais étaient cousus selon cette technique. Le fait est que le futon était un meuble assez cher et qu'il changeait rarement.

Ensuite, l'ingénieux Japonais a eu l'idée de couvrir les endroits usés avec de nouveaux rabats, à la suite de quoi les oreillers avaient l'air neufs et convenaient à une utilisation ultérieure.

Mais tout cela n'était que des inclinations, les conditions préalables au véritable art du patchwork, bien sûr, étaient associées à l'économie, mais d'un genre légèrement différent. Comme en Angleterre, l'émergence du patchwork japonais a été facilitée par les restrictions imposées par les politiciens à l'importation de tissus chinois dans le pays.

Puis le Japon a connu une terrible pénurie, qui a fini par influencer le développement de l'industrie textile japonaise, mais l'habitude de n'utiliser le tissu qu'en cas d'absolue nécessité est devenue une véritable tradition. Alors pas un seul Japonais ne pouvait se permettre de jeter même le plus petit morceau de tissu - tout devait entrer dans les affaires.

Et comme les rabats n'étaient plus utilisés pour les réparations, mais directement pour la couture des vêtements, ils ont été sélectionnés avec une attention particulière. Parallèlement à cela, un nouveau type de créativité manuelle est apparu - kinusaig.

Une caractéristique distinctive de ce travail à l'aiguille était l'utilisation de la peinture dans l'art textile. Cela s'est passé comme ceci: des images ont été réalisées sur des planches de bois spéciales à l'aide de divers lambeaux de couleur, et lorsque l'image était prête, les lambeaux ont été cousus ensemble. Bien sûr, il convient de noter qu'à cette époque, cette technique ne poursuivait plus des objectifs économiques, mais plutôt créatifs.

À première vue, une personne qui n'a jamais rencontré le patchwork a l'impression que la technique japonaise n'est pas différente de la version anglaise.

Mais en fait, le patchwork japonais a des particularités :

1. Dans le patchwork japonais, les points et les éléments de patchwork sont utilisés en même temps.
2. Les belles fleurs et les rizières sont le motif principal des peintures japonaises depuis le tout début. Très bizarrement, les Japonais construisent des motifs géométriques à partir de patchs, représentant éventuellement des fleurs en fleurs.
3. Le patchwork japonais diffère de l'anglais par le choix des tissus utilisés. Dans la version traditionnelle, on choisit des patchs en coton, mais le patchwork japonais se compose principalement de tissus en soie.
4. La couture japonaise se caractérise par sa propre technique de broderie - le sashiko. Son essence est d'utiliser le point "aiguille avant".
5. Les produits de patchwork japonais sont généralement décorés de glands ou de franges, ce qui donne au produit un aspect plus orné.

Différentes techniques de patchwork japonais

technique du sashiko

Comme mentionné précédemment, le point est l'une des "cartes de visite" du patchwork japonais. Stitch a une histoire assez riche. Alors qu'il était à l'origine utilisé pour les couettes épaisses et les vêtements d'extérieur, on a découvert plus tard que les vêtements fabriqués à l'aide de la technique de matelassage pouvaient être utilisés comme armure par les guerriers.

En effet, une armure matelassée protégeait parfaitement les guerriers des flèches ennemies et des coups d'épée. Il est à noter que l'idée des gilets matelassés a également été adoptée par les habitants de la Corée, de la Chine et de l'Inde.

Le point de couture japonais est spécial, il est différent des autres pays. Il remplit moins sa tâche fonctionnelle que décorative. Le point «aiguille en avant» peut être fait dans différentes directions (il n'est pas nécessaire de faire des lignes droites, l'essentiel est que la longueur de chaque point soit la même).

De plus, le point peut être réalisé avec des fils d'une couleur différente de la couleur du tissu principal. La forme du point peut être ordinaire ou créer des motifs pittoresques, des peintures sur le tissu et servir d'appliqué.

En d'autres termes, tout ne dépend que de l'imagination de la personne impliquée dans le patchwork, l'essentiel est que le produit soit soigné.

Technique Yosegire

Parlant directement du patchwork au Japon, il convient de noter que ce type de couture n'était pas seulement une activité de loisir, mais avait également une signification particulière. Des produits fabriqués à partir de différents déchets étaient donnés dans le but de souhaiter longue vie au destinataire, et l'altération des choses anciennes était considérée comme renforçant l'esprit.

En général, les produits textiles au Japon ont toujours été traités avec beaucoup de respect. Selon la religion shintoïste, les tissus, étant des objets inanimés, étaient dotés d'une âme.

De plus, en raison du coût et de la valeur élevés, il y avait des moments où les tissus étaient utilisés comme récompense et même comme argent, et un morceau de soie coûteux était vénéré par les femmes au-dessus des bijoux et était considéré comme le meilleur cadeau.

Mais il y a eu une période dans la vie de ce pays où les tissus coûteux étaient interdits et où les femmes devaient inventer diverses astuces pour montrer leurs tenues. Pour cela, la méthode du «déguisement» a été utilisée, lorsque des vêtements riches étaient cachés sous des vêtements moins chers.

Mais les femmes japonaises ne se sont pas arrêtées là et ont eu l'idée qu'il est possible de montrer un peu des tissus coûteux, c'est-à-dire de coudre par petites pièces. Cette technique s'appelle yosegire.

Cette technique s'est tellement répandue qu'elle est progressivement devenue à la mode, puis est devenue une tradition nationale. Si au départ les rabats étaient cousus comme il s'est avéré, sans aucun système, plus tard, les fashionistas ont appris à en faire des images à motifs, qui se sont ensuite entrelacées avec la technique du sashiko et sont devenues connues sous le nom de patchwork japonais.

Fait intéressant, sur la base du patchwork japonais, la direction moderne du patchwork fou se développe, dont la tâche principale est de décorer le produit avec des patchs de tissu afin qu'ils aient l'air d'être décorés de broderies ou de bijoux.

Fait main

La principale caractéristique du patchwork japonais était et reste l'utilisation d'un travail exclusivement manuel. Malgré l'abondance de machines mécaniques capables de faire le même travail beaucoup plus rapidement, les femmes japonaises continuent d'effectuer la technique à la main, en comptant. ce n'est qu'ainsi que le produit s'avère être "réel".

C'est pourquoi les vrais vêtements japonais ont un prix assez élevé et sont d'une qualité incomparable. De plus, modifier de vieilles choses et les mettre à jour avec des chutes de tissu reste une tradition japonaise bien-aimée, dont les habitants du pays peuvent certainement être fiers.

En général, il convient de noter que le patchwork japonais, en comparaison avec des techniques européennes et américaines similaires, semble beaucoup plus élégant et sophistiqué.

Un travail manuel minutieux fait du patchwork japonais une véritable œuvre d'art, qui ne peut être créée que par un vrai japonais qui préserve fièrement les traditions de son pays.

Les Japonais ont toujours su distinguer leur culture des habitants d'autres pays en ce sens qu'ils voyaient la beauté dans la vie quotidienne et pouvaient créer de la beauté, en s'appuyant sur les diktats de leur âme. Grand pays et grande culture!