Un enfant incontrôlable. Comment apprendre à ne pas crier après son enfant ? Contrôler nos émotions

Température de l'eau pendant le durcissement

Contrairement aux idées reçues, le durcissement ne nécessite pas de basses températures. Cela nécessite un contraste de température. Le froid provoque la contraction des vaisseaux sanguins, la chaleur les dilate. Et l'essentiel du durcissement est l'entraînement vasculaire.

L'émotivité n'est pas du tout un mauvais trait de caractère. Mais cela devient toujours un obstacle à une communication normale avec les autres si l'enfant réagit violemment à une bagatelle et tombe dans la colère ou pleure. Comment apprendre à un enfant à développer la maîtrise de soi et la capacité de se contrôler ?

De nombreux enfants sont naturellement très émotifs. Ils peuvent pleurer à la fin non désirée d’un dessin animé ou crier de joie à la vue d’un chien mignon. En soi, ce n’est pas mauvais. Mais ces enfants, hélas, ne s'intègrent pas bien dans l'équipe. Les émotions orageuses sont encore pardonnables Jardin d'enfants, mais dès qu’un enfant va à l’école et s’y comporte de manière tout aussi impulsive, il devient considéré comme « étrange » parmi ses camarades de classe.

Les enfants expressifs ont toujours beaucoup de conflits avec leurs pairs simplement parce qu'ils ne peuvent pas se retenir dans le temps et ignorer une blague ou une action. Ces filles sont généralement appelées « pleurnichards », tandis que les garçons sont considérés comme agressifs. Bien que ni l'un ni l'autre ne puissent être qualifiés de vérité, car tout est simplement une question de tempérament et d'impressionnabilité. Alors, comment apprendre à un enfant à se contrôler en public ?

"Bon et mauvais"

Essayez d'expliquer clairement et distinctement à votre enfant quelles manifestations d'émotions en public sont considérées comme appropriées et lesquelles sont considérées comme indécentes. Vous pouvez taper doucement dans vos mains lorsque vous êtes heureux de quelque chose, mais vous ne pouvez pas crier, même si c'est un cri de joie. Vous pouvez exprimer votre mécontentement face aux actions de quelqu'un en en parlant calmement, mais vous ne pouvez pas agiter les bras et pleurer. Bien entendu, les mots seuls ne suffisent pas.

La tâche principale des parents est de trouver exemples illustratifs du monde environnant. Lorsque vous regardez des dessins animés, faites attention aux personnages trop émotifs et dites que leur comportement semble stupide et laid de l'extérieur - votre enfant sera probablement d'accord avec cela. Soulignez également les réactions expressives des passants et discutez avec votre enfant des raisons pour lesquelles leurs actions semblent répugnantes. Parlez directement lorsque vous évaluez le comportement de quelqu’un d’autre : « Est-il possible de crier comme ça ? Je ne voudrais vraiment pas que toi et moi nous ressemblions aux yeux des autres.

Contrôle et encouragement

Surveillez le comportement émotionnel de votre enfant à chaque fois cas possible. N'attendez pas la fin du conflit pour faire une remarque à la maison, mais approchez-vous de l'enfant directement sur le terrain de jeu et exprimez doucement votre position désapprobatrice. Cela n'est pas nécessaire pour qu'il se sente coupable, mais pour qu'il comprenne quel type d'expression d'émotions est inacceptable. Par la suite, déjà dans environnement de la maison, reparlez de l'incident pour qu'il n'y ait pas de malentendu.

Dans ce cas, la règle fonctionne dans les deux sens, c'est-à-dire en tirant mauvais comportement Il devrait y avoir des encouragements pour les bonnes choses. Si vous remarquez que votre bébé émotif s'est retenu et est resté calme dans une situation difficile pour lui - récompensez-le Mots gentils.

Aussi, afin de maintenir l'équilibre émotionnel, proposez des activités au cours desquelles l'enfant peut délibérément se débarrasser de tous les sentiments accumulés. Batailles d'oreillers, jeux actifs terrain de sport, home cinéma - n'importe quoi, pourvu que le bébé puisse en montrer le plus en toute impunité différentes émotions, sachant que ce serait approprié.

Contrôle-toi

Ce n'est un secret pour personne que le principal modèle de chaque enfant sont ses parents. Par conséquent, s'il vous semble que votre enfant ne réagit pas toujours de manière adéquate aux petites choses, demandez-vous : restez-vous toujours calme ? Revoyez dans votre esprit des situations où vous avez vous-même réagi brusquement à un service pas très bon ou étiez en colère à cause du mauvais temps devant la fenêtre. Il est probable que le bébé réagisse violemment à tout ce qui se passe simplement parce qu'il accepte cela comme la norme, parce que maman et papa font de même.

Donc, si votre enfant est trop émotif, comportez-vous de manière plus réservée avec lui, en essayant de devenir un modèle pour lui. Sur différents exemples faire preuve de positivité et comportement négatif en termes d'expression, et analysez également les situations dont vous avez été témoin. Retirez votre enfant parce qu'il est trop émotif sans laisser le conflit éclater. Et enfin, n’oubliez pas de le féliciter pour sa retenue et sa maîtrise de soi.

Comment apprendre à un enfant à exprimer ses émotions et à retenir son agressivité ? Il est facile pour un adulte de comprendre ce que signifie « retenir ses émotions ».

Peu de gens aiment communiquer avec un patron agacé, mais personne ne se permettra de le gifler.

Et c'est vraiment dommage quand la dernière taille chemisier élégant volé sous notre nez en pleine vente. Mais ce n’est pas une raison pour tomber à terre et le remplir de larmes brûlantes.

La vie en société impose de nombreuses restrictions, notamment sur l’expression de ses émotions. En grandissant, nous devenons émotionnellement plus forts et apprenons à retenir la colère et autres impulsions négatives. Mais comment expliquer cela aux enfants ?

Comment aider votre enfant à exprimer correctement ses émotions ? Comment expliquer que crier dans tout le magasin n'est pas civilisé, mais dire à ses parents « Je te déteste ! » - cela signifie-t-il les offenser profondément ?

Il est très important d'apprendre à un enfant à contrôler ses émotions à temps, afin d'éviter les problèmes de sa vie d'adulte.

Parfois maladroitement des garçons bien élevés se transforment en hommes infantiles, tapant du pied "Je veux et je veux!" et agitant les poings sans raison.

1. Tout d'abord, vous devez constamment expliquer à votre enfant ses sentiments.. Parfois, lui-même ne comprend pas ce qu'il ressent. La tâche de l’adulte est de faire le tri dans les émotions du bébé.

Situation:
On a promis à l'enfant d'aller au zoo, mais papa a été appelé au travail, et vacances en famille annulé. Votre enfant a jeté ses jouets, a poussé son papa, a fondu en larmes, a craché de nombreux injures captées à la télé, a claqué la porte et vous a laissé dans un état de stupeur.

Vous devez vous approcher de l'enfant et simplement lui parler. Les mots des parents ressemblent à ceci : « Vous êtes probablement très contrarié de ne pas aller voir les animaux ? Vous vouliez vraiment voir l'hippopotame et votre père vous a manqué, mais tout a été annulé et maintenant vous êtes en colère ?

Êtes-vous simplement furieux qu'ils vous aient promis et qu'ils n'aient pas tenu leur promesse ? Vous sentez-vous trompé, trahi par vos propres parents ?

L'enfant comparera ses sensations et sera d'accord avec vous. Et lorsqu’il commencera à mieux comprendre ses émotions, il pourra même s’opposer si vous êtes allé trop loin.

"Non, je ne suis pas en colère, je suis juste triste que papa ait encore pris son jour de congé et je suis jaloux de son travail."

2. Le parent est également obligé d'expliquer à l'enfant qu'il blesse les autres.. Lorsque nous avons compris ce que ressent l'enfant lui-même, nous passons à ce que ressentent les autres.

Revenons au voyage annulé au zoo. Pour apprendre à votre enfant à retenir son agressivité, expliquez-lui vos expériences et vos émotions : « Ce que vous avez dit à maman et papa lorsque vous étiez en colère était très offensant et triste à entendre.

Papa et moi avons été très désagréables et blessés lorsque tu as dit que tu nous détestais. Après tout, nous vous aimons beaucoup et la haine est un très mauvais sentiment.

Quand tu dis aux gens gros mots, tu leur fais beaucoup de mal."

3. Il est nécessaire d'apprendre à un enfant à parler de ses émotions sans gêne, d'encourager et de stimuler la communication sur des problèmes internes et douloureux.

Parfois, une conversation sincère fait des merveilles, les femmes le savent.

Si un enfant n'a pas l'occasion de parler de sa douleur et de sa frustration, il l'exprimera d'une autre manière : en poussant le délinquant, en cassant un jouet, en mordant sa mère, etc.

Souvent, des innocents en souffrent. Par exemple, si un enfant frappe un jouet à cause de sa propre maladresse, il, réalisant qu'il ne peut pas endommager le jouet, s'approchera très probablement d'un autre enfant ou d'un parent et le frappera.

Ou une autre situation : complètement Petit enfant par curiosité, il a attrapé le plus âgé par le nez, ça ne lui faisait pas mal, mais il avait peur.

Les parents, ne voyant pas le problème, n'ont réagi d'aucune façon, n'ont pas parlé à l'aîné et ne l'ont pas regretté. Et puis, sans exprimer d'émotions maintenant et sans rancune, une demi-heure plus tard, il s'approche du plus jeune et le frappe sans regret.

Et cela est perçu par la mère comme une agression sans fondement, alors que la « victime » a toutes les raisons de se venger.

4. Apprenez à votre enfant à rejeter les émotions négatives sans causer de dommages - moraux et matériels.. C'est en partie ce que développement affectif enfant.

Dites-lui qu'être en colère est en fait normal. Mais vous devez rejeter la négativité de manière « culturelle ».

Vous pouvez sortir sur le balcon et crier haut et fort vos sentiments : « Aaaaah ! Je voulais vraiment aller au Zoo ! Je ne verrai pas de girafe ! Je suis offensé!

Vous pouvez lui apprendre, au lieu de crier, à passer brusquement à un murmure et à murmurer son mécontentement. Tu peux déchirer le papier, le jeter Peluches, écraser les journaux, piétiner, applaudir, sauter.

Certaines personnes aiment vaporiser furieusement les fleurs avec un vaporisateur.

Mais ne le laissez jamais frapper de jeunes délinquants, pousser les parents ou casser des jouets. Et, plus important encore, vous devriez vous-même être un exemple pour lui et ne pas déclencher de violentes querelles de famille en cassant la vaisselle.

5. Ne passez jamais devant un enfant bouleversé. Demandez toujours qui l'a offensé et ce qui s'est passé - à la maternelle, à l'école, sur le terrain de sport.

Discuter questions controversées, donnez des conseils et apprenez à pardonner au lieu de chercher les coupables.

Rien n'aide plus à faire face à l'agression et à résoudre les problèmes internes que la participation sincère de proches attentionnés. C'est ce qui peut apprendre à un enfant à contrôler ses émotions.

À un moment donné, les parents remarquent que leur enfant est complètement incontrôlable. Cela peut arriver à trois ans, à cinq ans, voire à neuf ans. Il est difficile de résister aux caprices, aux hystériques et autres manifestations de désobéissance. Peu de pères et de mères sont prêts à tolérer cela. Comment expliquer le comportement incontrôlable d'un enfant et que faire avec ? Vous trouverez les réponses dans notre article.

Vue de l'extérieur

Qui est un enfant incontrôlable ? C'est un enfant qui ne respecte pas les exigences et les règles de ses parents, qui ne leur obéit pas.

Rappelons-nous à quoi ressemble le comportement incontrôlable d'un enfant vu de l'extérieur. Par exemple, imaginez qu'un enfant se précipite comme une tornade dans un centre psychologique pour enfants. Il semble qu'il se trouve à plusieurs endroits en même temps. Il grimpe partout, touche à tout, tire, tire, s'adresse aux gens qu'il rencontre sans attendre de réponse. Lorsqu'il s'empare d'objets de valeur et reçoit des commentaires, il réagit de manière inappropriée, agressive, se précipite dans la bagarre ou ignore l'affaire et se précipite en menaçant de casser quelque chose. Dans de telles situations, les mères sont généralement complètement désemparées : elles ne veulent pas être sans cœur et cruelles envers l’enfant, mais elles ne peuvent rien faire pour arrêter le trouble.

Il arrive que l'enfant semble s'être calmé et fait preuve d'obéissance, mais au bout d'un certain temps tout redevient pareil : le bébé n'obéit pas, son entourage est mécontent, les parents sont choqués.

Et il arrive que les enfants se comportent assez calmement et paisiblement, à l'école ou lors d'une fête, mais à la maison, ils se transforment en véritables voyous et détruisent pratiquement toute la famille avec leur comportement.

Qu’est-ce qui peut provoquer un comportement aussi démonstratif ?

Considérons les raisons

Les raisons de l'incontrôlabilité des enfants sont différentes :

1. Caractéristiques congénitales du développement (psychophysiologiques). Les experts évoquent le plus souvent le syndrome hyperkinétique, qui se traduit par des mouvements involontaires excessifs. Cette pathologie se manifeste sous forme de troubles du comportement. Malheureusement, dans de tels cas, les parents ne se précipitent pas toujours pour consulter un médecin, même si dans ce cas, un traitement est simplement nécessaire.
2. Crise d'âge. Si vous remarquez qu'un enfant n'écoute régulièrement pas du tout et réagit aux commentaires avec hystérie, la raison de son incontrôlable est probablement crises d'âge(de un à trois, six à sept ans, adolescence). Crises liées à caractéristiques d'âge, arrive à tous les enfants normaux. Réagir aux événements de votre vie avec des crises de colère et des caprices (en plus jeune âge), l'entêtement et la paresse (à un âge plus avancé), l'enfant grandit et découvre le monde, en découvre une nouvelle compréhension, prend conscience des limites de ce qui est permis. Durant ces périodes, les parents doivent simplement être plus attentifs à leurs enfants.
3. Enfant malheureux. Les troubles internes peuvent rendre un enfant incontrôlable. Dans ce cas, le comportement de l’enfant, difficile à contrôler, est un appel à l’aide de l’enfant. Par son comportement, le petit rebelle démontre aux adultes qu'il a des problèmes.
4. Mauvaise conduite des parents. Les parents qui n'ont pas suffisamment de connaissances et d'expérience pédagogiques peuvent se comporter de manière incorrecte envers un enfant rebelle : le provoquer, encourager ses caprices, etc. Un enfant ne naît pas mauvais. Il se comporte simplement comme ses parents le lui permettent. Le comportement de l’enfant est affecté selon que nous autorisons ou interdisons, autorisons ou restreignons, si nous sommes attentifs à lui ou indifférents.

« Cela peut être utile. La confiance des parents dans leurs actions et la cohérence dans leurs exigences envers l’enfant, une idée claire de ce qui est possible et de ce qui ne l’est pas, sont la clé de l’obéissance et d’un comportement adéquat.

Le plus souvent, c'est l'analphabétisme pédagogique des parents, leur réticence à consacrer du temps à élever un enfant, qui est à l'origine de l'incontrôlabilité des enfants.

Que faire en cas d'hyperactivité ?

Il arrive que la raison de l’incontrôlabilité d’un enfant réside dans son hyperactivité. Pour un enfant ayant une activité accrue, un état d'incontrôlabilité est courant. De tels enfants, même avec tout leur désir, ne peuvent pas se retenir.

Que faire en cas d'hyperactivité ?

1. Nous étudions la question de l'hyperactivité. Premièrement, les parents devraient comprendre ce problème en découvrant quelles manifestations comportementales sont caractéristiques des enfants hyperactifs. Ces enfants se distinguent des enfants ordinaires par un comportement trop libre et une désobéissance. Ils ne répondent pas aux interdits et aux demandes, et ne savent pas non plus gérer leurs émotions et leurs désirs. Ces caractéristiques sont à la base de leur inquiétude, de leurs contradictions et de leurs peurs. Être dans une tension logique constante provoque des dommages émotionnels chez l'enfant, ce qui fait que l'enfant et ses parents se sentent mal.
2. Faisons preuve de calme. Rappelez-vous ce qui donne lieu à l'agression. Si vous ne vous retenez pas vis-à-vis de votre enfant, vous ne pourrez pas vous entendre avec lui, mais ne ferez qu'aggraver le scandale. Retenez vos émotions (après tout, nous sommes aussi des adultes), soyez cohérent dans vos actions et vos décisions. En voyant votre comportement calme, le bébé pleurera et se calmera.
3. Nous introduisons une routine quotidienne claire. Les enfants hyperactifs ont besoin d’être occupés à quelque chose tout le temps. Réalisez une petite affiche lumineuse avec l’horaire quotidien et placez-la dans le champ de vision de l’enfant. Notez le temps alloué à chaque activité. N'oubliez pas de lui rappeler ses responsabilités.
4. Nous le donnons au sport. La meilleure façon trouver une utilisation à l'excès d'énergie enfant hyperactif- écris-le à section sportive. L'enfant doit aimer faire du sport. Pendant les cours, il ne se contentera pas de jeter l'énergie négative et l'agressivité accumulée, mais aussi apprendre à maintenir la discipline.

Si aucune des méthodes décrites n'aide ou ne convient pas, il est préférable de consulter un psychologue ou un médecin : la raison de l'incontrôlabilité peut résider dans Maladie congénitale cerveau

Modèles de comportement parental

"Saviez-vous qu'il n'y a pas d'enfants incontrôlables, mais qu'il y a des parents qui ne peuvent pas s'occuper de leur enfant ?"

Lorsque le bébé grandit, il commence à se battre pour attirer l'attention sur lui-même. Le plus souvent, cela se manifeste sous la forme de diverses protestations contre la tutelle et la surveillance, les exigences, la rigueur ou, au contraire, l'indifférence des parents. Ces modèles de comportement parental ne font que stimuler la désobéissance des enfants et développer leurs caprices.

L'une des causes les plus courantes de problèmes incontrôlables et comportement démonstratif l'enfant est attention insuffisante parents. Le fait que les parents ne prêtent pas attention à l’enfant ou ne passent pas suffisamment de temps avec lui peut l’encourager à se comporter de manière inappropriée. Il n'y a rien de pire pour les enfants que l'indifférence. Alors ils essaient d’attirer l’attention sur eux.

Des problèmes surviennent dans les familles où maman et papa sont incohérents dans leurs exigences : ils ne tiennent pas leurs promesses ; aujourd'hui ils le permettent, et demain ils le permettent ; papa dit une chose, maman dit exactement le contraire et grand-mère dit la troisième. Un enfant d'une telle famille manipulera facilement les adultes en mettant en scène des spectacles entiers. Les parents doivent se mettre d'accord sur une tactique éducative commune, décider de ce qui est autorisé ou non pour l'enfant et définir les limites de ce qui est autorisé.

"Conseil. Un adulte doit se rappeler qu’il est le principal initiateur de la construction d’une relation avec un enfant.

Nous sommes désolés pour maman

C'est vraiment dommage pour ces parents qui n'arrivent tout simplement pas à gérer enfant incontrôlable. Vous pouvez souvent entendre des mots désagréables adressés à votre mère peu agité. Les gens autour d'eux considèrent que ces mères sont indifférentes à l'éducation. propre enfant, incapable de l'influencer, de le calmer ou de lui expliquer les règles de comportement. C’est facile à dire : après tout, c’est l’enfant de quelqu’un d’autre. Il est difficile pour les autres de se mettre à la place de la mère. Et une fois que vous l’avez enfilé, vous ne pouvez que ressentir une tension, une fatigue et un désespoir insensés.

En fonction de la caractéristiques psychologiques mère, elle peut percevoir différemment un enfant incontrôlable. L'un d'eux réagira au stress avec une inhibition protectrice, montrant extérieurement de l'indifférence, mais étant intérieurement très inquiet. Une autre mère, au contraire, contrôlera chaque pas du garçon manqué, se sentant agacée et faisant preuve d'irritabilité. Les deux styles sont loin d’être les meilleures options.

Lorsqu'une mère a honte du comportement violent de son enfant, il est signe sûr. Elle réalise le problème, essaie de s'en sortir, cherche des raisons en elle-même. Si la mère justifie l'enfant en tout, quoi qu'il fasse, en accusant les éducateurs, les enseignants, les enfants et tout autre entourage de problèmes existants, alors elle perçoit mal la situation. Une telle mère a une idée déformée de les normes sociales comportement, elle n'est pas en mesure de changer la situation pour le mieux. Cette mère inculquera facilement à son enfant l'idée de l'hostilité du monde, semant la peur dans son âme. Et les enfants hyperactifs se caractérisent déjà par une anxiété accrue.

Dans tous les cas, d’autres devraient traiter avec compréhension une mère qui a un enfant à problèmes, car ce n’est pas une épreuve facile. UN la meilleure option Le début du problème pour la mère devrait être l'amour pour l'enfant, mais pas de manière irréfléchie, mais visant une éducation positive.

Que faire si votre enfant est incontrôlable

Dans la plupart des cas, un comportement incontrôlable peut être contrôlé, quoique difficilement. Voyons ce qui peut être fait à chaque âge spécifique :

1,5 à 2 ans. Mieux dès le début petite enfance Faites une liste de vos exigences pour votre enfant et surveillez leur satisfaction. À cet âge, un enfant peut être influencé par n'importe quelle méthode qui fonctionne : distraction avec un jouet lumineux ou des bonbons, jeu intéressant. , ne range pas ses jouets - cela continuera jusqu'à ce que vous changiez d'attitude à l'égard de ces questions. N'oubliez pas : ce n'est pas vous qui dépendez du bébé, mais lui qui dépend de vous. Pour les enfants, la règle de « l'interdiction absolue » devrait fonctionner, qui doit être strictement respectée. Par exemple, ne vous approchez en aucun cas de la cuisinière ou du fer à repasser.

3-4 ans. A cet âge, le bébé apprend à être indépendant, il veut tout faire lui-même. Les enfants explorent ce qui est possible et ce qui ne l'est pas. S'ils se comportent bien, leurs parents les approuvent avec le sourire. Sinon, ce n'est pas grave. Faites attention à ce que votre bébé fait bien et félicitez-le plus souvent. Avec l'aide d'encouragements, vous pouvez changer le comportement de votre bébé meilleur côté. La tâche des parents n'est pas de gronder (et en aucun cas de battre) leurs enfants, mais de les guider avec douceur, en leur montrant comment bien se comporter.

6-7 ans. C'est une période de développement intensif les processus cognitifs enfant, ainsi que l'entrée dans une nouvelle société - l'école. L'enfant commence à étudier de manière intensive, s'habitue à la nouvelle routine quotidienne et essaie d'établir des relations avec ses camarades de classe. Les parents doivent être attentifs à l'enfant, l'aider à s'impliquer dans processus éducatif, surmonter les difficultés de communication, le soutien.

9 ans et plus. Vers cet âge, ils commencent changements hormonaux qui peut influencer le comportement de l'enfant. L'étudiant grandit, ses intérêts changent, il se développe physiquement et émotionnellement. Vous devez travailler avec des adolescents d'une manière spéciale, parce que la solidarité et la compréhension parentales sont importantes pour eux. Nourrir dans esprit optimiste. Trouvez des passe-temps communs et passez les week-ends ensemble. Soyez une figure d’autorité pour votre enfant.

Si les parents travaillent non seulement sur leurs enfants, mais aussi sur eux-mêmes, en réfléchissant aux méthodes d’éducation, ils réussiront et surmonteront l’incontrôlabilité de l’enfant.

Comment trouver une approche

Pour prévenir ou corriger un comportement incontrôlable d’un enfant, nous suggérons de suivre un système de règles :

1. Être cohérent. Apprenez à tenir parole donné à l'enfant, et tenez vos promesses. Ne violez pas ceux établis.
2. Soyez ferme dans vos interdits. Un enfant peut se sentir faible si quelque chose n'est pas autorisé le matin, mais le soir, c'est déjà possible.
3. Communiquez avec votre enfant sur un pied d’égalité. Respectez l’opinion de l’enfant, valorisez sa personnalité, tenez compte de son opinion. Lorsque vous refusez quelque chose, expliquez pourquoi.
4. Développer une routine quotidienne. Et assurez-vous que votre enfant y adhère. Cela enseignera à l'enfant la discipline et l'ordre et réduira les protestations au minimum. Soyez proche de votre bébé et apprenez-lui les activités quotidiennes. Répétez les étapes encore et encore. Il lui faudra beaucoup de temps avant d'apprendre à suivre le régime de son plein gré.
5. Ne pleure pas. Un enfant est une petite personne qui veut être respectée. Par conséquent, soyez respectueux envers le bébé, n'élevez pas la voix, ne le grondez pas, ne le blâmez pas, ne le frappez pas.
Si l'hystérie se produisait

• Vous pouvez asseoir le bébé sur vos genoux, le serrer dans vos bras, lui parler tendrement, le regarder dans les yeux, jusqu'à ce qu'il passe.
• Vous devez distraire l'enfant avec quelque chose de neutre, utiliser l'humour et l'affection. Lorsque l'enfant se calme, vous devez lui expliquer calmement que cela ne peut pas être fait.
• Quittez la pièce pendant la crise. Le spectacle s'adresse toujours au public.

L'essentiel lorsque l'on travaille avec l'incontrôlabilité des enfants est que vos efforts, restrictions et interdictions doivent être unis par la force. amour parental, le soin et la confiance que vous élevez un enfant pour le bien.

conclusions

Face à l'incontrôlabilité des enfants, les parents doivent réfléchir à ce qui dérange l'enfant, à quoi la vraie raison un tel comportement, comment peut-il être aidé. Si les parents sont attentifs aux problèmes de l’enfant, son comportement redeviendra normal. Soyez attentif à votre comportement. Un enfant apprend tout de ses parents. Par conséquent, essayez de devenir un modèle.

Alors que les scientifiques et les éducateurs discutent des moyens d'interagir avec des enfants qui sont sous l'influence de sentiments destructeurs, les parents recherchent des méthodes pour enseigner à leurs enfants les compétences de maîtrise de soi émotionnelle.

Le contrôle des émotions est un privilège humain

Mary Sheedy Kurcinka, experte reconnue dans le domaine des relations intrafamiliales, est convaincue que le désir de gérer ses émotions est une caractéristique humaine fondamentale. Cela encourage les gens à analyser constamment leurs expériences et les sentiments des autres avant d’agir. Les parents et autres membres de la société responsables des enfants peuvent et doivent enseigner cet art à la jeune génération.

Les dernières recherches montrent que la capacité à « s’autoréguler » la vie interne est inhérente à la progéniture humaine. « Maîtrise de soi » signifie opportunité potentielle enfants à « ralentir » leur réaction émotionnelle réflexive à influences extérieures pour en faire une action significative. Les compétences « d'autorégulation » sont importantes non seulement dans la communication interpersonnelle, mais aussi dans le processus d'amélioration de l'individu, l'amenant vers de plus hauts sommets. haut niveau développement. Les parents ont la responsabilité d’utiliser tous les contacts qu’ils ont avec leurs enfants pour leur enseigner les principes de « l’autonomie gouvernementale ». Mary conseille aux parents par où commencer dans cette affaire :

Établir des normes de comportement claires

L'enfant doit avoir des critères clairs pour évaluer ses actions. Par exemple, si son comportement cause du tort à lui-même, à autrui ou à environnement, alors il doit s'arrêter et réfléchir à ce qu'il fait de mal. Lorsque les règles ne sont pas claires ou difficiles à comprendre, les enfants ont beaucoup de mal à se contrôler.

Prendre une pause

Si vous entendez des mots de la part de votre enfant qui ne correspondent pas à ceux auxquels vous vous attendiez, faites-y attention. Respirez profondément. Ne vous fâchez sous aucun prétexte. Vous devez être non seulement un mentor, mais aussi un modèle. Faites simplement une pause et répondez : « Essayons à nouveau. J'écoute attentivement. Je comprends que tu veuilles me dire quelque chose d'important. Dis-le de manière à ce que je puisse t’aider. Si le vocabulaire de votre bébé est encore en développement, apprenez-lui ce que vous considérez comme des expressions « confortables ».

Par exemple:

"S'il vous plaît, laissez-moi faire les choses différemment..."

"Papa, peux-tu me donner..."

"Je commence à m'inquiéter, je vous le demande - aidez-moi..."

"Faites attention à moi, s'il vous plaît..."

Seulement la paix

Après naissance enfant, de nombreuses femmes gentilles et calmes se transforment en une personne nerveuse et hystérique, réagissant à chaque petite chose par une « explosion » émotions négatives. Manque constant de sommeil tension nerveuse En raison de divers problèmes de santé du bébé, du manque d'aide des proches et des tâches ménagères que personne n'a annulées, la mère commence à se noyer dans ses émotions. Elle crie régulièrement après l’enfant si elle n’arrive pas à le calmer, et lui crie dessus si le bébé ne fait pas ce qu’elle lui demande.

Même les plus calmes et équilibré une mère ne peut pas contrôler ses émotions si elle décide d'en donner un deuxième alors que le premier n'a pas encore 3 ans. Dans le même temps, le plus jeune commence à l'affamer et le plus âgé montre déjà son caractère. Il n'est pas utile de demander ou de persuader l'enfant plus âgé de jouer tranquillement pour que le bébé s'endorme. Seules les femmes dont le mari ne disparaît pas du matin au soir au travail ou dont les parents les aident peuvent assumer dignement la tâche de mère de nombreux enfants. Et si vous êtes la seule à essayer de devenir une mère attentionnée et une bonne épouse, alors panne Et désir irrésistible crier après l'enfant est inévitable. Par conséquent, il est préférable de donner naissance à un deuxième enfant 5 à 6 ans après la naissance du premier enfant, ce qui épargnera les nerfs non seulement à la femme elle-même, mais également au premier enfant. Sinon, à cause des cris et des menaces constants, il aura peur de refaire la mauvaise chose, souffrira d'un complexe d'infériorité et sera sûr que sa mère ne l'aime pas.

Crier- c'est un signal d'impuissance d'une femme, et non un accès de rage ou un désir de paralyser le psychisme de l'enfant. Chaque femme veut élever son enfant pour qu'il devienne une personne confiante et souffre de l'incapacité de contrôler ses émotions dans les moments d'irritation et de colère. Comment empêcher votre enfant d’enrouler les nerfs à vif de sa mère autour de son petit poing ?

Après tout, les enfants sont inconscient niveau, ils provoquent eux-mêmes leur mère à crier pour comprendre à quel point elle les aime et est capable de les protéger. Et quand il y a deux enfants, ils vérifient lequel d'entre eux la mère aime le plus. Et il est très difficile de résister à ce contrôle minute par minute, mais chacun de nous peut analyser son comportement dans ces moments où nous avons envie de crier après un enfant. Comme vous le savez, pour obtenir un résultat, il faut avoir une bonne motivation. Par exemple, pour perdre du poids efficacement, vous devez vous fixer un objectif : devenir mince à une certaine date. événement important. Il en va de même pour élever des enfants. Afin de ne plus crier après votre enfant et de retenir vos émotions, vous devez savoir quelles conséquences cela peut entraîner. Et chaque fois que vous avez envie de gronder votre enfant, rappelez-vous que vos cris peuvent provoquer :

1. Maladies graves . Les parents qui crient et punissent régulièrement leurs enfants mettent la santé de ceux-ci en danger. risque élevé. Le cri hystérique d'une mère peut tellement effrayer le bébé qu'il commence à bégayer et à avoir peur de tout. Selon des psychologues de l'Université de Plymouth dans le Devon, élever la voix et punition physique augmente le risque de développer un cancer chez un enfant de 1,7 fois, l'asthme de 1,6 fois et une maladie cardiaque de 1,2 fois. Plus votre enfant est exposé au stress, plus divers changements se produisent dans le fonctionnement des organes et des systèmes de son corps.

2. Troubles mentaux chez l'enfant. La plupart des enfants ne perçoivent pas les informations lorsqu’on leur crie dessus. Une mère qui crie signifie une chose pour eux : ils doivent se taire et cesser de montrer leurs émotions. A l'avenir, cet enfant aura peur de tout le monde, il lui sera très difficile de le trouver langage mutuel avec des adultes. Certains enfants réagissent aux cris de leur mère par des pleurs et de l’irritation, ce qui devient également la cause d’un psychisme brisé chez l’enfant. Comme on le sait, cellules nerveuses ne sont pas restaurés. L’enfant devra vivre avec cette mentalité pour toujours. Il deviendra adulte, vous ne pourrez plus lui crier dessus, mais lui-même s'en prendra à ses proches et criera après ses enfants dans un but d'éducation.

3. Le doute de soi. L'enfant pardonnera tout à ses parents, même s'ils le punissent avec une ceinture, mais il grandira pour devenir le genre de personne que ses parents lui ont assignée. En élevant, ils inculquent à l'enfant quel genre de vie il aura et comment il doit se comporter dans la vie. différentes situations. Si les parents ont l'habitude de crier pour forcer un enfant à refuser d'accomplir des actions, il ne le fera jamais. une personne qui a réussi qui savent se défendre et défendre leurs positions. Il aura peur de tous ceux qui s'adressent à lui à voix haute ou qui semblent plus forts que lui.

À apprenez-vous à ne pas crier après votre enfant, gardez toujours à l’esprit que votre enfant l’est. Il mérite le même traitement que vous et moi. Après tout, autant ne pas crier après notre mère, notre mari ou notre petite amie, même si parfois leur comportement ne nous convient pas non plus. Apprenez à respecter votre enfant en tant qu'individu et à vous comporter envers lui de la même manière que vous le feriez envers les autres membres de la famille. Si l'enfant est en colère et n'obéit pas, essayez de l'arrêter calmement et de détourner son attention.

Gardez toujours un œil sur intonation, n'élevez pas la voix lorsque vous communiquez avec votre enfant et ne l'insultez pas. Rappelez-vous les instructions du grand écrivain classique A.P. Tchekhov aux parents : "Les enfants sont purs et saints, comme les anges. Ils sont à bien des égards meilleurs que les adultes. Même parmi les crocodiles et les voleurs, les enfants font partie de rang angélique. Par conséquent, nous devons les envelopper dans une atmosphère digne de leur rang, même si nous grimpons nous-mêmes dans un trou. Vous ne pouvez pas faire d’un enfant un jouet de votre humeur et user de l’impunité en sa présence… Vous ne pouvez pas lui taper du pied follement, puis l’embrasser tendrement… »