La relation entre garçons et filles. Psychologie des relations entre garçons et filles au primaire

Le rapport des sexes chez les plus jeunes âge scolaire

L'une des caractéristiques du comportement des garçons et des filles en âge d'aller à l'école primaire est la formation de groupes homogènes de genre (homogénéisation), dont la relation est souvent qualifiée de "ségrégation sexuelle". Les enfants sont divisés en deux camps opposés - les garçons et les filles - avec leurs propres règles et rituels de comportement ; la trahison de "son propre" camp est méprisée et condamnée, et l'attitude envers l'autre camp prend la forme de l'affrontement.

Ces manifestations externes la différenciation psychosexuelle et la socialisation sexuelle sont le résultat de schémas psychologiques.

Quels que soient le lieu de résidence et l'environnement culturel, certaines différences sont observées dans le comportement des garçons et des filles dès les six premières années de la vie. Les garçons âgés de 6 à 8 ans sont actifs et demandent plus d'attention, tandis que les filles sont plus douces et calmes. De plus, les garçons se comportent de manière plus agressive. L'agressivité est le type de comportement qui distingue toujours les hommes des femmes, quel que soit leur âge.

Toujours et partout, les garçons, à de rares exceptions près, se concentrent sur les hautes réalisations et dans plus devraient compter sur eux-mêmes que les filles. À leur tour, les filles se distinguent par la tendresse et la douceur. Les garçons sont encouragés à être plus actifs, tandis que les filles sont plus caressées.

Une autre conséquence des différents stéréotypes du comportement des enfants est que les hommes et les femmes forment des modes d'interaction de groupe complètement différents.

Les filles du groupe prêtent attention principalement à qui et comment elles se rapportent à qui. La conversation leur sert à établir des liens sociaux, à renforcer la cohésion de groupe et à entretenir de bonnes relations. Les filles ont toujours deux tâches - être "positives" et en même temps maintenir une relation aussi bonne que possible avec leurs amis afin d'atteindre leurs propres objectifs avec leur aide. Les filles ouvrent la voie en augmentant le niveau d'accord dans le groupe, en évitant les frictions et en mettant l'accent sur leur propre supériorité.

Dans les groupes de garçons, toute l'attention est portée sur les mérites personnels de chaque membre du groupe. Les garçons utilisent la parole à des fins égoïstes, pour se glorifier, pour protéger leur "territoire". Ils ont tous une tâche - l'affirmation de soi. Les garçons se frayent un chemin à travers les ordres, les menaces et les fanfaronnades.

Les jeux et les activités des garçons sont mis en valeur personnage masculin: guerre, sport, aventure. Les garçons préfèrent la littérature héroïque, lisent des thèmes d'aventure, militaires, chevaleresques, détectives, leurs modèles sont des héros courageux et courageux de thrillers et d'émissions de télévision populaires: James Bond, Batman, Indiana Jones.

A cet âge, les garçons ont un besoin particulier de proximité avec leur père, la présence d'intérêts communs avec lui ; beaucoup idéalisent les pères même contrairement à la réalité. C'est à cet âge que le départ du père de la famille est particulièrement vécu par les garçons. S'il n'y a pas de père ou si les relations avec lui ne vont pas bien, alors il faut une figure pour le remplacer, qui peut être un coach en rubrique sport, enseignant de sexe masculin.

Les filles de leur cercle discutent de "princes" littéraires et réels, commencent à collectionner des portraits de leurs artistes préférés, commencent des cahiers dans lesquels elles écrivent des chansons, des poèmes et une sagesse folklorique, qui semblent souvent primitives et vulgaires aux adultes, se plongent dans les affaires "féminines" (échanger des recettes culinaires, faire des décorations). Durant cette période, il y a un besoin particulier de proximité affective avec la mère : les petites filles apprennent à être des femmes en copiant le comportement de leur mère.

Étant donné que les filles développent un sentiment d'identité en s'identifiant à leur mère, leurs relations avec les autres sont fondées sur la dépendance et l'attachement aux autres. Les filles apprennent à être attentives, réalisent très tôt la nécessité de penser avant tout aux autres.

Pour eux, la valeur principale, ce sont les relations humaines. Les filles apprennent à percevoir toutes les subtilités de la communication des gens, à apprécier et à entretenir de bonnes relations. Dès l'enfance, ils sont toujours préoccupés par la façon dont leur comportement affecte les autres.

Les jeux de filles développent la capacité à coopérer. Jouer mère-fille ou poupées sont jouer un rôle, dans lequel il n'y a pas d'éléments de concurrence. Et dans les jeux compétitifs, par exemple, dans les classes, les filles améliorent leurs qualités personnelles plutôt que leurs compétences en communication de groupe.

Les garçons c'est le contraire. Ils répriment le désir de s'identifier à leur mère, ils doivent réprimer vigoureusement en eux-mêmes toute manifestation de féminité (faiblesse, larmes) - sinon leurs pairs taquineront la "fille".

Pour un garçon, être un homme signifie être différent de sa mère, et les garçons développent un sentiment d'identité en cultivant la conscience d'être différents de tout ce qui est féminin. Ils repoussent la compassion, la pitié, les soins, la conformité. Ils ne le donnent pas d'une grande importance relations avec les autres. Ce qui compte, c'est comment ils affectent le résultat final.

Les jeux de garçons enseignent un type de comportement complètement différent. Dans les jeux de garçons, il y a toujours un début conflictuel et compétitif. Les garçons comprennent l'importance d'une autorisation correcte situations conflictuelles et apprenez les compétences pour les résoudre. Ils apprennent à se battre avec des adversaires et à jouer avec eux. Dans les jeux, les garçons apprennent les compétences d'un leader et d'un organisateur. Ils apprennent à se battre pour un statut dans la hiérarchie masculine. Les jeux sportifs collectifs sont très importants pour les garçons.

Les filles n'apprécient pas de gagner le jeu parce que maintenir bonnes relations pour eux, l'affirmation de leur propre supériorité est plus importante. En améliorant leurs compétences en communication, ils apprennent à se compléter, sans prêter attention aux gagnants. Dans les groupes de filles, il n'y a pratiquement aucun motif d'émergence de conflits, car ils sont homogènes et les règles du jeu elles-mêmes sont si primitives qu'elles sont difficiles à enfreindre.

Étant donné que les filles et les garçons établissent des relations de manière si différente, les relations dans les groupes d'enfants se développent différemment. Par exemple, avant de commencer à parler, la fille se référera à ce que l'interlocuteur précédent a dit et exprimera son opinion, qui est complètement différente de la précédente. Les garçons, pas gênés, s'interrompent, essaient de se crier dessus ; les filles se taisent, donnant à chacun la possibilité de parler. Les filles adoucissent les consignes et impliquent leurs copines dans le processus de communication. Les garçons donnent simplement des informations et des ordres pour faire ceci et cela.

Les filles s'écoutent poliment, insérant de temps en temps des remarques amicales encourageantes. Les garçons taquinent souvent l'orateur, s'interrompent et essaient de raconter immédiatement leurs propres histoires, espérant obtenir la palme et refusant de tenir compte des exigences des autres.

Lorsqu'un conflit surgit, les filles essaient de l'adoucir et de s'entendre, et les garçons résolvent les contradictions qui ont surgi à l'aide de menaces et de l'utilisation de la force physique.

Les garçons fonctionnent avec succès et efficacité en groupe, ce que l'on peut voir dans l'exemple des équipes sportives. Dans les groupes de garçons, personne ne se soucie des sentiments des autres, ces groupes sont soutenus par un respect extrêmement strict des règles.

Pour les filles comme pour les garçons, la période de division des intérêts selon le sexe est la période d'autodétermination dans le système des normes de rôle et des relations.

Mais ce développement comprend justement l'émergence d'un intérêt pour le sexe opposé, qui se manifeste par une sorte de parade nuptiale. Toute son originalité est compréhensible, étant donné qu'il est attirance en situation de répulsion, sympathie en situation de ségrégation sexuelle. Le garçon doit montrer à la fille qu'il l'a distinguée parmi d'autres filles et attirer son attention sur lui-même, sans provoquer la condamnation de ses pairs.

La fille, à son tour, sans provoquer la condamnation de ses pairs, doit répondre à cela. Ces tâches intérieurement contradictoires sont résolues par un système d'actions extérieurement agressives des garçons et d'actions défensives des filles. Pour les garçons qui tirent les cheveux des filles - façon traditionnelle attirer l'attention. Cette parade nuptiale ne provoque pas de conflits sérieux entre les enfants. Il diffère du hooliganisme en ce qu'il se produit toujours en public et ne porte pas de colère ou de désir d'offenser, même lorsqu'il a l'air très arrogant. Les filles elles-mêmes, pour ainsi dire, provoquent souvent les garçons à une telle manifestation d'attention, se moquant d'eux de toutes les manières possibles. Les plaintes des filles ont généralement une connotation d'alerter les autres à l'attention. L'absence de celui-ci peut amener une fille à se sentir inférieure, peu attrayante.

Lorsque des garçons et des filles aux comportements si dissemblables sont ensemble, les garçons parviennent toujours à prendre les devants. Les filles ne sont pas du tout passives dans le groupe de pairs, mais dans groupe mixte ils sont toujours sur la touche, permettant aux garçons de fixer les règles et de prendre les devants.

Les garçons en âge d'aller à l'école primaire s'efforcent déjà par tous les moyens d'établir leur "Z" dans le groupe de pairs, ils deviennent donc moins réceptifs aux demandes polies et aux suggestions des filles. Il n'est pas surprenant que les filles trouvent les jeux avec les garçons désagréables et les évitent de toutes les manières possibles.

Les jeux pour un garçon ne signifient pas du tout ce qu'ils signifient pour une fille. Les filles apprennent à interagir en développant et en entretenant de bonnes relations. Les garçons apprennent action conjointe en pratiquant des sports et des jeux compétitifs dans lesquels ils s'efforcent d'atteindre une position de leader.

Les caractéristiques du comportement pendant la période de séparation des intérêts en fonction du sexe provoquent de l'anxiété chez les adultes et le désir d'appeler les enfants à «l'ordre». Les parents et les enseignants ne doivent pas interférer grossièrement dans la communication entre garçons et filles, car ils peuvent interférer avec le passage complet et détaillé des enfants à travers le stade naturel de développement.

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D'abord ils nous tirent les nattes, puis ils font semblant de s'ennuyer avec nous, et puis soudain ils se mettent à écrire des mots d'amour ! Comment gérer tout cela ?

Dommage que l'école ne soit pas un sujet à part où ils apprennent à communiquer correctement avec le sexe opposé afin d'éviter les erreurs, les larmes et les déceptions. Mais rien, maintenant on va tout dire.

Ne joue pas avec mes jouets !

Dans les premières années de sa vie, un enfant n'a pas besoin d'un pair, ni du sien, ni du sexe opposé. Si vous regardez dans le bac à sable, vous pouvez y trouver deux enfants qui sont assis côte à côte et qui sculptent "kustki" de manière désintéressée sans faire attention l'un à l'autre. Et si vous regardez la rencontre de deux enfants de 2-3 ans, vous verrez qu'ils se traitent comme de grosses poupées intéressantes. Ils peuvent se tirer par les cheveux, essayer de se tordre la main. Et cela ne signifie pas leur agressivité. C'est juste une étape de développement.

Mais en vieillissant, les choses changent radicalement. 3 à 7 ans recherche active amis, garçons et filles. Mais de 7 à 12 ans, garçons et filles sont divisés en deux camps opposés.

Les garçons viennent de Mars et les filles de Vénus

Dans la période de 7 à 12 ans, le monde semble se diviser en deux planètes : la planète des garçons et la planète des filles. Chacun a ses propres règles et lois. Et surtout, les limites claires des territoires où le chemin du sexe opposé est ordonné. Si des sorties mutuelles se produisent, elles sont généralement de nature romantique. Presque toutes les filles peuvent se souvenir de leur premier amour à la maternelle. Ou un camarade de classe qui était vraiment, eh bien, vraiment aimé en première année. Cependant, la principale communication à cet âge se produit précisément entre pairs du même sexe. Une fille de 7 à 12 ans s'efforce de parvenir à une compréhension mutuelle avec ses pairs. En communiquant avec eux, elle élargit et enrichit ses idées sur elle-même, augmente son estime de soi et sa confiance. De plus, les filles de cet âge ont tendance à être plus disciplinées à l'école que les garçons. Ils sont plus responsables de leurs études, de l'exercice de leurs fonctions, ils veulent être de bons élèves. Et les garçons se précipitent dans les couloirs, ou sont absorbés par le jeu dans le smartphone, et regardent attentivement leurs camarades de classe.

Rencontre des civilisations

Tout change radicalement vers l'âge de 12-14 ans. Deux planètes se rencontrent. Les garçons et les filles commencent à montrer un intérêt mutuel. Cependant, du point de vue des filles, ce que font les garçons peut être qualifié de sabotage. Mais aucun intérêt. Que se passe-t-il? Les garçons tirent les nattes des filles, cachent leurs manuels, cahiers et étuis à crayons, lancent des boules de neige et mettent peut-être même quelque chose dans la mallette. Comment réagissent les filles ? Soit ils courent après leur agresseur, annonçant le quartier à grands cris. Soit ils le fuient, souvent en larmes et bouleversés. Mais peu à peu les garçons arrêtent de taquiner les filles. Ce comportement devient inacceptable et les relations se compliquent. Les adolescents commencent à apprécier la capacité de garder leur calme, d'être équilibrés dans la plupart des situations différentes. Il est important que les garçons et les filles soient interlocuteurs intéressants pouvoir s'exprimer meilleur côté y compris la communication avec le sexe opposé. Progressivement, le groupe de garçons et de filles de la classe est divisé en binômes. Il y a un premier amour et affection. Au fait, les garçons de cet âge tombent amoureux beaucoup plus facilement que les filles !

Papillons dans le ventre

Les garçons comme les filles ont besoin d'aimer et d'être aimés. sentiment mutuel remplit la vie sens spécial et sans rien de comparable au sentiment de plaisir, qui est appelé au sens figuré "des papillons dans l'estomac". L'amour vous aide aussi à mieux vous comprendre. C'est bien si votre classe prend soin des sentiments de l'autre. Mais il arrive souvent autrement, et votre liaison avec un collègue de bureau sera à l'honneur, dans les langues des auteurs de potins. Ce qu'il faut faire? Comme avec les garçons qui vous taquinent, ignorez-le. Il est important que vous et votre petit ami décidiez si vous êtes prêt(e) à discuter de votre relation avec vos camarades de classe. Le meilleur moyen de sortir de la situation est de remettre gentiment les curieux à leur place si vous ne voulez pas qu'on discute. Le voici, un pronom spécial, inséparable de l'amour. Plus "je" et "tu". "Nous" apparaît. Et avec elle viennent de nouveaux soucis.

L'amour n'est jamais sans tristesse

Un sentiment fort comporte de nombreux dangers. Et s'il n'y a pas de réciprocité ? Ou les sentiments de votre petit ami se sont-ils soudainement « calmés » ? La perte d'un amour peut être une expérience difficile, surtout s'il s'agit de votre premier amour et de votre premier petit ami. Après tout, on a tendance à idéaliser un partenaire, à lui attribuer des traits de caractère inexistants. Si vous avez été déçu en amour, voici quelques conseils pour vous aider à faire face à une tempête de sentiments :

Il est important de se rappeler qu'une tempête de sentiments est normale. Mais pour que la tempête ne vous couvre pas la tête, partagez vos expériences avec vos proches. Quelque chose à dire à tes parents meilleur ami. Mais s'il y a quelque chose que vos proches ne devraient pas savoir, parlez-en à un spécialiste.

Ne prenez pas de décisions hâtives. C'est facile de faire des bêtises dans le feu de l'action, et on ne veut pas ça, n'est-ce pas ?

Rangez "ses" cadeaux dans un tiroir éloigné, et, si vous le pouvez, n'allez pas chez "vos" lieux. Utilisez le temps dont vous disposez maintenant pour faire de nouvelles connaissances, pour faire les choses que vous remettez à plus tard.

Ces conseils simples vous aider à traverser la tempête et à redonner confiance en demain et qu'il y aura des vacances dans votre rue. Et vous rencontrerez certainement le même Prince. Même si maintenant il étudie dans une classe parallèle et ne ressemble pas du tout à Prynets.

Êtes-vous déjà tombé amoureux?

Les caractéristiques de communication et le style de communication des garçons et des filles ne sont pas les mêmes.

Malgré le fait que les garçons semblent être plus sociables que les filles, entrant plus activement en contact avec d'autres enfants, le niveau de sociabilité des garçons et des filles dans adolescence diffère plus qualitativement que quantitativement. Le contenu des activités communes, leur propre succès, signifient plus pour les garçons que la présence d'une sympathie individuelle pour les autres participants au jeu.

La communication des filles est plus passive, alors qu'elle est plus amicale et sélective. Selon recherche psychologique, les garçons entrent d'abord en contact les uns avec les autres et ce n'est qu'ensuite, au cours d'un jeu ou d'une interaction professionnelle, qu'ils développent attitude positive, il y a attirance l'un pour l'autre. Les filles, au contraire, entrent en contact principalement avec ceux qu'elles aiment, le contenu des activités communes est pour elles relativement secondaire.

La relation entre les garçons et les filles évolue également.

À l'adolescence, il y a un intérêt pour un ami du sexe opposé, le désir de plaire, l'identification sexuelle se produit: "Je suis comme un homme, je suis comme une femme". La conscience de l'attractivité personnelle vient au premier plan - c'est d'une importance capitale aux yeux des pairs.

Montrer de l'intérêt pour une personne du sexe opposé adolescence a un caractère différent. Avec la disparition de la spontanéité chez les adolescents, les relations intersexuelles deviennent plus difficiles. La nature des relations entre garçons et filles varie d'un comportement quelque peu arrogant à l'apparition de timidité, de raideur et de timidité, voire indifférence ostentatoire, attitude méprisante envers un pair du sexe opposé, etc.

Le développement inégal des garçons et des filles peut provoquer un certain nombre d'expériences. Le sentiment d'infériorité peut être causé à la fois par la forte croissance de la fille et petite taille chez les garçons. La croissance, la plénitude, la minceur sont particulièrement difficiles à vivre.

Il arrive un stade où l'intérêt pour l'autre sexe s'intensifie encore, mais extérieurement, dans la relation entre garçons et filles, il y a un grand isolement. Dans ce contexte, on s'intéresse aux relations établies, à qui aime qui. Chez les filles, cet intérêt surgit généralement plus tôt que chez les garçons : leurs propres sympathies sont mystérieusement signalées à un seul ami, mais souvent à un groupe de pairs. Même avec une sympathie mutuelle ouverte relations amicales sont rares, car pour cela, les adolescents doivent non seulement surmonter leur propre contrainte, mais aussi être prêts à résister aux moqueries et aux moqueries de leurs pairs.

Chez les adolescents plus âgés, la communication entre garçons et filles devient plus ouverte : les adolescents des deux sexes sont inclus dans le cercle social, il y a plus relation romantique. Ces relations provoquent le besoin de s'améliorer, le désir de devenir meilleur.

Avec la puberté, les adolescents arrivent à mieux comprendre le sexe opposé. Il arrive une période où un adolescent satisfait ses besoins en communication avec des membres du sexe opposé. Dans les groupes hétérosexuels, l'expérience psychologique est acquise, les stéréotypes masculins et comportement féminin. Les amis du sexe opposé contribuent à leur connaissance de soi et à leur affirmation de soi. Ils voient que le masculin et le féminin se complètent et deviennent plus fidèles aux membres du sexe opposé.

Où un facteur important façonner le processus de communication entre garçons et filles est une stratégie compétente du comportement adulte. Les étapes qu'un adulte doit suivre pour normaliser la communication des garçons et des filles de la jeune adolescence ont été développées par B.S Volkov et N.V. Volkova. (Annexe n° 1)

Les caractéristiques psychologiques du sexe masculin, bien que sous une forme non développée, sont déjà révélées à partir de jeune âge. Au fur et à mesure que l'enfant se développe, ils deviennent de plus en plus distincts. Dans chaque cas particulier l'éducation peut contribuer à leur identification et à leur développement, ou au contraire les aplanir ; en même temps, la résistance individuelle à une telle influence de lissage est différente : certains garçons, malgré toute influence des autres, présentent des traits masculins typiques, tandis que d'autres sont sensibles à ces influences, et leur comportement devient moins contrasté par rapport au comportement de leurs pairs. La nature relative des caractéristiques psychologiques sexuelles doit également être prise en compte : les traits, qualités et propriétés humains universels sont plus larges et couvrent complètement les caractéristiques sexuelles spécifiques ; par conséquent, nous pouvons parler de la prédominance de l'un d'eux chez les hommes ou les femmes, et cette prédominance implique, d'une part, une plus grande fréquence d'une propriété chez les représentants d'un certain sexe et, d'autre part, sa plus grande sévérité en présence d'une telle propriété dans les deux sexes.

Les garçons se développent physiquement et psychologiquement à un rythme un peu plus lent que les filles. On sait qu'ils commencent à parler en moyenne 2 à 4 mois plus tard que les filles, plus tard ils développent également de nombreux concepts liés aux relations entre les personnes ; au moment où ils commencent l'école. ont tendance à être moins entraînés que les filles. Les garçons sont plus lents et plus difficiles à développer des qualités telles que la responsabilité, la conscience, la diligence ; même quand une bonne éducation en moyenne, il est plus difficile de développer ces qualités chez les représentants masculins.

Il est caractéristique que les filles, par exemple, se sentent plus à l'aise avec les garçons que les garçons avec les filles. À tout âge, les représentantes sont plus enclines à se tourner vers les autorités pour déterminer leur position ; en cas de difficultés, elles sont plus susceptibles d'adhérer à normes établies comportement. Les filles à l'école sont plus faciles à obtenir pour faire des devoirs. Apparemment, c'est pourquoi les enseignants (principalement des femmes) sont plus disposés à donner des instructions aux filles et sous-estiment la capacité des garçons à effectuer de telles tâches. Et souvent tout à fait surprenante et inattendue pour eux est la capacité des garçons à prendre la question au sérieux, à faire preuve d'activité et d'indépendance ; il est caractéristique que ce dernier se retrouve souvent précisément dans les activités parascolaires - par exemple, lors d'une randonnée. où va la classe. C'est ici qu'il s'avère que les garçons peuvent être sérieux, sérieux et actifs. et dans cette situation est nettement plus productive que les filles. Une partie de cela a à voir avec cela. que l'activité scolaire elle-même a un caractère plus proche de l'activité habituelle des filles que des garçons à la maison. et avec le fait que ces dernières sont toujours sujettes à des choses plus inattendues et hors du commun que font les filles. au contraire, elles sont souvent alarmantes.

Si les jeunes hommes en communication sont guidés principalement par leurs pairs, alors les filles dans une partie importante d'entre eux - par des représentants masculins plus âgés (étudiants, militaires, etc.). Comme le note I. S. Kon, à la question : "Quel âge d'ami préféreriez-vous ?" - les hommes jeunes préfèrent les pairs (jusqu'à 80% des réponses), moins souvent plus âgés (jusqu'à 20%) et très rarement plus jeunes. Pour les filles, les pairs occupent également la première place (jusqu'à 50-60%), mais elles préfèrent très souvent les plus âgées (jusqu'à 40-50%) et ne choisissent personne plus jeune qu'elles. Dans le même temps, ce sont les femmes qui sont enclines aux activités de mécénat, elles sont plus disposées à instruire, à s'occuper des jeunes enfants, à s'occuper d'eux, etc.

Les intérêts et les inclinations des représentants masculins sont souvent dirigés vers des objets et des phénomènes relativement éloignés, parfois éloignés de ce qui pourrait être inclus dans les devoirs directs d'un garçon, d'un adolescent, d'un jeune. D'où une tendance plus prononcée chez le sexe masculin à être distrait par des choses étrangères, à faire des choses autres que ce qui est directement requis. Si une fille, dès son plus jeune âge, se concentre sur une personne et la sphère de son être immédiat - la relation entre les personnes, les objets environnants, alors l'attention des garçons est beaucoup plus attirée par les objets et les phénomènes distants. Lié à ceci meilleures connaissances filles sur elles-mêmes, leur plus grande attention à leur apparence et aux particularités de l'apparence et du comportement des autres, un plus grand intérêt pour monde intérieur, grande sensibilité aux sentiments et aux expériences d'une personne. Ce n'est pas un hasard si les filles sont 3 à 4 fois plus susceptibles que les garçons de tenir un journal.

Les différences d'intérêts et d'inclinations déterminent certains avantages importants du sexe masculin, une plus grande largeur de pensée, une vision plus large, "une meilleure capacité à comparer des objets et des phénomènes distants, une plus grande objectivité de généralisation et en même temps des inconvénients importants - moins quotidiens adaptabilité, une moins bonne compréhension du nécessaire par rapport à la compréhension du possible .

Des différences dans la perception du temps et de l'espace sont perceptibles.Les représentantes féminines sont plus attirées par ce qui se trouve directement à côté d'une personne - la maison, la situation, l'environnement immédiat, les personnes avec lesquelles il faut communiquer. c'est-à-dire tout ce qui est directement interconnecté ; représentants du sexe masculin, quel que soit le besoin immédiat, des affaires quotidiennes. souvent intéressé par des objets et des phénomènes éloignés, sans aucun lien. L'attention des représentantes féminines n'est pas répartie aussi largement, mais dans les limites de ce qui est perçu, tout se reflète dans les esprits avec plus de soin et de détail. Donc, dans un environnement inconnu (nouveau terrain, nouveau parcours, etc.), des garçons, des adolescents. les jeunes hommes sont plus confiants que leurs pairs. Si vous voulez savoir comment vous rendre ou conduire quelque part, où se trouve tel ou tel objet, etc., mieux vaut demander aux garçons : leurs explications sont toujours plus utiles, et souvent plus sensées que les explications des adultes.

Cependant, les femmes se sentent souvent plus confiantes et sont plus actives dans les situations sociales. Si l'objet, le domaine, le sujet dans son ensemble est suffisamment connu des garçons comme des filles, alors ces dernières le connaissent mieux. Ce n'est pas un hasard si, en moyenne, ils rédigent de meilleurs résumés et essais : ils ont plus de cohérence et de descriptif, plus d'attention aux détails, mais pas plus d'imagination. Dans la perception de l'écoulement du temps lui-même, les représentantes sont inférieures aux hommes, ce qui, cependant, n'est pas toujours perceptible en raison de leur attitude plus responsable, en moyenne, à l'égard de leurs fonctions.

Caractérisé par un plus grand risque, un comportement de "balayage", une plus grande mobilité et une plus grande agitation des garçons, des adolescents, des jeunes par rapport à leurs pairs. Certes, cela coexiste souvent pacifiquement avec la plus grande inertie d'une certaine partie des représentants masculins dans la vie quotidienne, dans affaires de famille. Apparemment, ce dernier est lié aux particularités de l'éducation et de l'attitude à l'égard de ces questions. Comme le note à juste titre S. Sheinkman, et contrairement aux femmes, dont toute la vie est chargée d'un travail constant et minutieux, il a toujours été courant pour les hommes de remplacer brusquement l'activité superactive par un passe-temps passif, dont le danger est particulièrement grand de nos jours. notez cependant que beaucoup de femmes seraient heureuses de se détendre, mais le temps manque et les hommes ont la possibilité de s'offrir de telles vacances.

Toutes ces caractéristiques de la psychologie des garçons, des adolescents, des jeunes en situations différentes déterminer des différences significatives dans leur comportement par rapport à leurs pairs. La plus faible maturité des garçons par rapport aux filles se manifeste particulièrement clairement dans les classes inférieures. Ils sont plus distraits des cours et leurs pensées s'éloignent souvent de ce qu'ils devraient faire. Si les filles doivent être tenues de faire leurs devoirs, alors les garçons doivent être obligés de le faire. Les filles sont, en moyenne, plus précises, diligentes, consciencieuses et plus efficaces. Même si le garçon ne pense pas pire. UN meilleures filles, il est plus difficile de le faire réfléchir dans la leçon qu'une fille. L'agitation des garçons, leur moindre capacité à supporter une charge statique se manifeste par leur violation plus fréquente de la discipline dans la leçon, par un comportement plus bruyant pendant les pauses. Moins d'attention à lui-même et aux activités quotidiennes se traduit par le fait qu'il est beaucoup plus difficile d'apprendre au garçon à garder ses propres affaires en ordre. lieu de travail mais venant de la rue. plier soigneusement les vêtements et mettre les chaussures. Les garçons accordent beaucoup moins d'attention à leurs vêtements que les filles, sauf dans les cas où les caractéristiques des vêtements proposés affectent d'une manière ou d'une autre leurs idées sur la façon dont un garçon (par opposition à une fille) devrait s'habiller - il peut y avoir une forte protestation ici, et le le fait que les vêtements soient sales ou déchirés les intéresse moins et les affecte moins que les filles.

Les différences psychologiques entre garçons et filles s'expriment clairement comme causes d'échec scolaire. Comme le note Yu. Babansky, parmi les raisons de l'échec des filles dans toutes les classes, un pourcentage plus important est occupé par une mauvaise santé (c'est-à-dire que la raison est objective et valable), tandis que l'échec associé à des lacunes dans les compétences travail éducatif, avec une attitude négative envers l'enseignement, avec niveau faible l'éducation, chez les garçons, on l'observe plus souvent que chez les filles, et à tous les âges. En général, un complexe d'attitudes négatives envers l'apprentissage, la désorganisation, le manque de système et le manque de discipline est la cause de l'échec chez les garçons environ deux fois plus souvent que chez les filles. Ce n'est pas un hasard si, en moyenne (dans de nombreux pays), les garçons prédominent parmi les élèves en difficulté.

En même temps, dans école primaire la principale difficulté à enseigner aux garçons est précisément leur attitude immature face à l'apprentissage : ils ne se sentent pas responsables, ils s'inquiètent peu ou pas du tout à cause des mauvaises notes et de l'insatisfaction de l'enseignant et des parents, ils oublient ce qu'on leur donne, ou font n'y attachent pas d'importance, et les parents doivent pour eux apprendre à faire leurs devoirs. En fait, les garçons ici se montrent comme des enfants de plus jeune âge. Après tout, il est connu, peu importe à quel point il est intelligent et capable Petit enfant, on ne peut pas lui demander grand-chose simplement à cause de son immaturité d'âge, mais en fait, dans les classes I-III, les enfants sont assis au même bureau âges différents: garçons moyens jeunes filles pendant un an et demi, bien que cette différence ne soit pas dans âge du calendrier.

Parallèlement à cela, les garçons manquent également de compétences de travail appropriées et les qualités nécessaires à sa mise en œuvre réussie ne sont pas développées: persévérance, persévérance, patience, diligence, diligence, précision. Toute sorte activité mentale difficile pour eux si cela demande une manifestation consciente d'activité, des efforts sur soi. Il est intéressant en même temps qu'elles aient tendance à surestimer tout succès plus que les filles : si quelque chose fonctionne, les yeux sont prêts à déclarer que c'est facile et simple, la même chose qui ne fonctionne pas semble trop difficile et compliquée pour eux : dans ce manque de criticité. Les garçons sont plus susceptibles que les filles de connaître des sautes d'humeur - d'une confiance en soi excessive à la perte de cette confiance, bien qu'en général, par rapport aux filles, ils aient tendance à se surestimer. Quand mauvaise éducation cela peut être combiné de la manière la plus illégale avec un sentiment de supériorité envers les filles ; ce sentiment est caractéristique des mâles les moins matures, ceux qui eux-mêmes sont éloignés des normes de comportement de leur sexe.

Dans les activités éducatives, les différences d'intérêts et d'inclinations des représentants masculins et féminins se manifestent pleinement. En général, le cercle d'intérêts des garçons est plus large que celui des filles. Les garçons ont un avantage dans la connaissance de quelque chose de spécial, de plus rare, de spécial, mais ils sont inférieurs aux filles dans la connaissance d'objets et de phénomènes plus simples et plus courants. Le vocabulaire des garçons est généralement plus large, notamment en raison d'objets plus éloignés et plus concepts généraux. Le discours des garçons est dominé par des mots qui traduisent des actions, tandis que les filles (et les femmes en général) sont plus sujettes au discours évaluatif du sujet. Parmi ceux qui réussissent en mathématiques, il y a plus de garçons que de filles ; parmi ceux qui réussissent en littérature et langues étrangères plus de filles que de garçons. Apparemment, la nature même des matières du plan humanitaire correspond davantage aux inclinations et à la nature de la pensée des filles, tandis que la nature claire, plus schématique et abstraite des matières du cycle physique et mathématique correspond davantage à les inclinations et la nature de la pensée des garçons. DANS temps libre les garçons sont plus enclins à faire du sport, à consacrer du temps aux jeux de plein air, tandis que les filles - à la lecture, à la musique, etc. Les garçons ont tendance à collectionner quelque chose en général plus que les filles, mais le succès de cette activité peut être presque le même : les filles sont aidées par une plus grande précision, les garçons - le meilleur systématique.

Il n'y a pas de différences significatives dans l'attitude des garçons et des filles envers les camarades et les enseignants. Dans les classes inférieures, tant pour ceux-là que pour les autres, la plus grande autorité est l'enseignant. A l'adolescence, l'avis des camarades et les relations intra-classe prennent de plus en plus d'importance. Dans le même temps, les filles sont plus enclines à faire des déclarations critiques à l'égard des enseignants et des camarades, à se plaindre de quelque chose, mais cela relève davantage de la nature d'une réaction unique à un événement particulier, est rarement généralisé et ne reflète généralement pas une image négative. attitude à l'égard des affaires à l'échelle de l'école et intraclasse. Au contraire, les garçons sont moins enclins à évaluer les événements et leurs déclarations s'accompagnent d'une moindre réaction émotionnelle. Néanmoins, dans certains cas, ce sont les garçons qui peuvent développer assez système stable attitude négative envers l'école.

Une lacune importante des écoliers des deux sexes est l'incapacité d'organiser activités conjointes. Cela est dû en partie au caractère indifférent au genre du processus d'enseignement et d'éducation, qui affecte sans aucun doute la qualité de l'enseignement et de l'éducation. Apparemment, plus d'opportunités devraient être utilisées activités extra-scolaires développer les compétences d'activité conjointe des écoliers des deux sexes. Une autre raison de l'incapacité des écoliers des deux sexes à organiser des activités communes est leur attitude méfiante les uns envers les autres, généralement initiée par des adultes. Lorsque la méfiance et, à une certaine période, même une certaine aliénation entre garçons et filles sont remplacées par un intérêt mutuel toujours croissant, leur activité mutuelle ne trouve plus bonnes manières, puisque cette croissance intérêt mutuel ils ne sont pas préparés par l'éducation précédente. En conséquence, de nombreux garçons et filles entrent la vie adulte avec des idées assez vagues sur la nature de la répartition socialement utile des responsabilités entre hommes et femmes, avec l'impossibilité d'organiser des activités communes avec des représentants du sexe opposé, ils éprouvent de grandes difficultés à communiquer avec eux.

L'éducation des garçons est, en général, une tâche plus difficile pour les enseignants à l'école, non seulement parce que parmi ces derniers la majorité absolue sont des femmes, mais aussi en relation avec ce qui précède caractéristiques psychologiques homme. En général, on peut dire que l'école fait actuellement moins bien face à l'éducation des hommes qu'à l'éducation des femmes. Ce n'est pas un hasard si, en termes de performances scolaires, les garçons sont en moyenne inférieurs à leurs pairs, parmi eux sont plus fréquents mauvaises habitudes(fumer, boire de l'alcool, jurer), ils sont plus susceptibles de commettre des infractions. Par conséquent, la connaissance des caractéristiques psychologiques de genre et leur prise en compte dans activités pratiques nécessaire pour tous ceux qui s'intéressent à l'éducation complète de la jeune génération. Et les difficultés liées à l'éducation des écoliers masculins ne peuvent en aucun cas justifier les carences qui existent ici.

Les filles de cet âge sont connues pour être plus actives que les garçons. Ils sont plus consciencieux, plus responsables. C'est souvent la source de l'opposition puérile au « leadership des femmes ». Cela signifie qu'il est nécessaire d'essayer spécifiquement le plus souvent possible de placer les garçons dans la position de membres responsables et d'initiative de l'équipe. Il est nécessaire de noter attentivement les manifestations du sens de l'âge adulte chez les garçons et de les soutenir soigneusement. L'atmosphère spirituelle de la famille a une influence décisive sur la formation qualités personnelles futur homme ou femme. Si un enfant n'a pas appris à aimer ses parents, ses frères, ses sœurs, son école. Patrie, il est difficile d'espérer qu'à l'avenir il pourra profondément aimer la femme qu'il a choisie.

La raison de l'incapacité des écoliers des deux sexes à organiser des activités communes est leur attitude méfiante les uns envers les autres, généralement initiée par des adultes. Lorsque la méfiance, et à une certaine période d'éloignement entre garçons et filles, est remplacée par un intérêt mutuel toujours croissant, leur activité mutuelle ne trouve pas les bonnes voies, puisqu'ils ne sont pas préparés à cet intérêt mutuel accru par une éducation antérieure. . En conséquence, de nombreux jeunes hommes et femmes entrent dans l'âge adulte avec des idées plutôt vagues sur la nature de la répartition socialement utile des tâches entre hommes et femmes, avec l'incapacité d'organiser des activités communes avec des représentants du sexe opposé, et éprouvent de grandes difficultés à communiquer avec eux.

Pour une réussite éducation morale garçons et filles, les conditions les plus favorables sont celles dans lesquelles trois générations vivent dans une famille, lorsque la famille compte un nombre à peu près égal d'hommes et de femmes, de garçons et de filles. Cette composition favorise l'accumulation par les enfants de l'expérience des relations intersexuelles tant au sein des générations qu'entre elles. Mais la plupart des garçons et des filles vivent dans des familles de deux générations et communiquent rarement avec leurs grands-parents. Le manque de communication entre les enfants et l'ancienne génération appauvrit leur éducation en tant que futurs hommes et femmes. La communication avec les grands-parents, plus encore que la communication avec les parents, crée chez les enfants un sentiment de confort mental, une atmosphère de chaleur et d'affection. Bien sûr, cela ne signifie pas que les jeunes parents ont ainsi une raison de transférer les tâches d'éducation sur les épaules des plus âgés. Il faut aussi tenir compte du fait que ce sont parfois les grands-mères qui sont enclines à ne pas imposer d'exigences éducatives inconditionnelles à l'enfant. Parfois, un enfant en conflit avec ses parents trouve protection auprès de sa grand-mère - ce qui entraîne une détérioration.

L'éducation des garçons et des filles réussit mieux famille complète quand père et mère vivent ensemble. Dans les familles où l'un des parents (généralement le père) est absent, les garçons et les filles peuvent grandir fermés, aliénés, avec un sentiment d'appauvrissement de leur enfance. Chez les garçons qui grandissent sans père, il y a soit de la mollesse, soit de l'amertume. Une mère élevant un garçon sans père. il est nécessaire d'organiser la communication du fils avec des parents masculins intéressants, des collègues, des amis, les pères des camarades du fils, compensant ainsi le manque d'influence paternelle.

Pour l'éducation morale des garçons et des filles dans la famille rôle spécial une équipe d'enfants de sexes différents joue - alors l'expérience primaire de la communication intersexuelle s'acquiert facilement et naturellement. Si la famille n'a pas de deuxième ou de troisième enfant, cela peut compenser le manque de communication avec les membres du sexe opposé, par exemple, en amitié avec des familles qui ont des enfants du sexe opposé.

L'atmosphère spirituelle de la famille, la relation des parents revêt une importance particulière.
Les défauts de l'éducation morale sont particulièrement grands dans les familles où il n'y a pas de respect mutuel, d'amitié ou d'amour entre les parents. Les garçons et les filles de ces familles entrent dans la vie avec idées déformées sur les relations entre hommes et femmes. Le garçon développe une idée erronée du comportement véritablement "masculin", des principes et de l'éthique des relations dans le mariage et la famille. Les filles qui ont grandi dans de telles familles ont parfois une attitude négative envers les hommes, la famille et le mariage à l'avenir.
Exemple personnel père et mère - l'un des principaux moyens d'élever les garçons et les filles dans la famille. Aucun effort particulier ne donnera résultats positifs s'il y a un exemple négatif devant les yeux des enfants propres parents.

Le comportement des hommes et des femmes qui l'entourent influence grandement le développement de l'enfant. Ainsi, il a été établi que chaque garçon et chaque fille communiquent avec une moyenne de 200 hommes et femmes, qui sont répartis, pour ainsi dire, dans sept zones : famille, voisins, cour, école, microdistrict, autres microdistricts, autres agglomérations. Chaque zone de communication a ses propres caractéristiques. Après l'école, la cour et le microdistrict jouent un rôle décisif dans la vie des garçons, pour les filles - la famille et en partie la cour. Cette disposition est à la fois positive et Sens négatif. Pour le général Développement intellectuel et élargissant les horizons de l'enfant, une large sphère de communication affecte favorablement, mais sur développement moral- pas toujours. Les enfants ne savent pas encore comment sélectionner consciemment leurs valeurs spirituelles et valeurs morales V différentes régions communication, perçoivent l'environnement sans critique appropriée. C'est la source impacts négatifs sur un enfant. Bien sûr, un enfant élevé avec des qualités morales et intellectuelles stables a plus de possibilités résister influences nocives. Cela impose une lourde responsabilité aux adultes - pas besoin de penser que leur comportement et leur apparence n'ont d'importance que dans propre famille. Sans s'en apercevoir eux-mêmes, les adultes ont souvent un impact sur les enfants - et de diverses manières et endroits inattendus. La nature de ces influences dépend du contenu moral des actions des adultes. Et ils doivent être guidés par la règle suivante : parmi les enfants des autres, il est important de se comporter comme vous aimeriez que les autres se comportent en présence de votre enfant. La solution réussie de tous ces problèmes suppose l'unification des efforts de l'école et de la famille dans le travail avec chaque enfant.